
Le principe du tout le monde à l’eau. Voici l’objectif d’OPR et de son secrétaire, Jean-François Nativel. Il invite les usagers à venir avec leur planche ou à nager le 10 septembre. Une initiative soutenue par les commerçants et la mairie de Saint-Paul "à qui l'État refuse la sécurisation de ses administrés". Les organisateurs appellent le public à venir en nombre. Ils se chargeront eux-mêmes d'assurer la sécurité car selon eux : "L'État est impotent et n'assure pas son rôle."
Les pêcheurs sont donc invités à venir avec leurs filets, leurs fusils et leurs bateaux afin de protéger la zone de baignade. "Non, la vie d'un poisson ne vaut pas plus que celle d'un Réunionnais ! Non à une interdiction qui dure depuis plus de quatre ans et qui bafoue les principes de liberté et d'égalité", écrivent-ils.
Ils reprochent à l'État "d'institutionnaliser la fermeture de l'océan et de faire croire à la fatalité." Les activités nautiques et la baignade restent interdites depuis la mi-juin à Boucan Canot et aux Roches Noires. La faute aux filets anti-requins en mauvais état et dégradés par la houle. La dernière attaque de squale remonte au 18 juin aux Roches. Depuis 2011, on compte 22 attaques.
ts/www.ipreunion.com
1 Commentaire(s)
- les millions d'argent du contribuable flambés dans les filets avec pour consequence directe l'attaque d'un body boarder qui croyait qu'il pouvvait se permettre de surfer au soir.
- les millions d'argent gaspillé par la gabagie de cap requin constatée par la chambre regionale des comptes.
les responsables directs doivent rendre des comptes au lieu de ramener leur fraise.