C'est une affaire qui lui colle à la peau. En septembre 2017, Thierry Robert encore député à l'époque tient des propos jugés tendancieux dans son émission radio. Il remet en question la subvention de deux millions d'euros attribués par la Région au JIR. Le saint-leusien dénonce " une politique de copains coquins " et enfonce le clou avec les termes qui lui ont valu l'audition de ce matin du lundi 20 aout 2018 " une politique de gros blanc " . La semaine suivante, le directeur général du Journal de l'Ile dépose plainte.
Audionné durant plusieurs heures ce lundi 20 août 2018, Thierry Robert a dû s'expliquer sur ses propos aux gendarmes de la caserne Vérines. L'homme politique n'en démord pas, bien au contraire, il assume. Regardez.
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— Imaz Press Réunion (@ipreunion) 20 août 2018
Finalement peu surpris par cette convocation, Thierry Robert est satisfait d'une chose : "au moins, ils ne m'auront pas placé en garde à vue".
L'ex député-maire s'est même permis l'une de ces sorties théâtrales dont il a le secret. En grimpant dans sa belle voiture avec chauffeur : "je roule en BM mais je ne suis pas un gros blanc".
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— Imaz Press Réunion (@ipreunion) 20 août 2018
Selon nos confrères de Linfo.re, Thierry Robert aurait déposé plainte contre la Région et le JIR. Il réclame plus de transparence concernant l'attribution de deux millions d'euros de la Région au JIR. L'ex député-maire met aussi en cause un autre dossier : celui de l'achat d'un terrain à Montgaillard par la Région Réunion en 2011 dans des conditions que le saint-leusien juge opaques.
fh/www.ipreunion.com
N’importe tawak