Confinés ! chérissez la santé ! Vous malades En peine et en souffrance en ces jours longs et fades, À votre chevet, eux, ils sont là sans faillir.
Depuis ton hôpital, sans plus compter tes heures,
Fidèle à ce serment, sans jamais le trahir
Tu guéris la morsure sur l’âme qui pleure.
Vous ! près des cœurs en fièvre et des yeux éprouvés
En ville déprimée, dans la pâle campagne,
Votre prévenance, les souffrants, accompagne.
Merci ! humbles héros, trop souvent réprouvés.
Quand Hippocrate veille, Épione protège
Les vivants, les mortels des feux du sortilège !
Georges Lazarre
Cri du cÅ"ur...trop bien écrit.. plein d humanisme..Fière d etre créole quand.d je vous lis et vous ai écouté sur REUNION 1ere
Poème qui nous touche au plus profond de nous-même et qui reste un très bel hommage à nous tous, hospitaliers de tous grades et fonctions. MERCI pour cette pensée dont les valeurs que nous portons chaque jour transpirent dans ce doux poème. Un grand merci !