
Notre journaliste est sur place, suivez ses directs :
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Nous mettons désormais fin à ce live, merci de nous avoir suivis. À demain pour la troisième journée de mobilisation des transporteurs.
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Pas de nouveau pour conclure la journée
Avant de passer leur première nuit devant le siège du groupement, les transporteurs ne font état d'aucun fait nouveau. "Il ne s'est rien passé", relate Didier Hoareau. "On va passer la nuit ici."
Quant au comité directeur qui doit se tenir demain mercredi 23 septembre, le président de l'OTI dit "ne rien en attendre".
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Les transporteurs toujours devant le groupement
Les 60 poids lourds font toujours le pied de grue devant le siège du groupement au Port-est. "Rien n'a avancé" nous indique Didier Hoareau de l'OTI.
"On réfléchit déjà à durcir le mouvement" ajoute-t-il, alors qu'aucun membre du groupement n'est sorti voir les transporteurs. Didier Hoareau confirme en tout cas que les camions vont bien rester sur place ce soir, les transporteurs présents vont passer la nuit devant les bureaux du groupement.
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Les transporteurs bloquent l'accès au groupement, ils resteront au moins jusqu'à demain :
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"Si on trouve une solution demain, alors on partira, sinon on restera ici de façon illimitée" indique Jean-Gaël Rivière
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"Ca fait un mois et demi qu'on travaille au compte-goutte, on ne peut rien prévoir, ce n'est plus possible" s'indigne Didier Hoareau
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"Nous allons rester le plus longtemps possible, selon les réponses que l'on obtiendra" indique Joël Mongin
Il souligne que les transporteurs n'ont pas bloqué les routes, mais se contentent de bloquer le gorupement. "On est pas là pour embêter la population, on vient pour faire comprends que c'est nous, les transporteurs, qui pâtissent de la situation" continue-t-il
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Les transporteurs sont arrivés au groupement
Plusieurs dizaines de poids lourds sont sur place, suivez notre live :
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Une vingtaine de camions sont en route pour le groupement
Ils ont démarré depuis la Halle des manifestations du Port. Les transporteurs klaxonnent et roulent à allure normale
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Les transporteurs démarrent en direction du groupement, suivez notre live :
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«On reste unis, soudés, de bonne humeur. On a passé une petite nuit il faut l’avouer" explique Didier Hoareau, du syndicat OTI
"On attend de tous se rassembler pour monter au groupement. On va aller leur rendre une petite visite de courtoisie» continue-t-il
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Les transporteurs, un peu moins nombreux que ce lundi, sont à nouveau rassemblés sur le parking de la halle des manifestations. Les leaders syndicaux se réunissent et devraient monter vers le siège du groupement aux alentours de 10h finalement .
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Les transporteurs sont de nouveau réunis sur le parking de la Halle des manifestations, regardez :
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Les transporteurs sont toujours à la Halle des manifestations du Port, après une nuit passée sur le parking
Ils vont démarrer aux alentours de 9h en direction du groupement, afin de perturber les arrivées des travailleurs
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Bonjour
Nous ouvrons ce live pour suivre le deuxième jour de mobilisation des transporteurs
Ils se préparent à bloquer le siège du groupement au Port-est
A propos
Les transporteurs en opération blocage
Ils avaient promis de durcir le mouvement en cas de désaccord, c'est chose faite. Ce mardi 22 septembre, les transporteurs font faire le pied de grue devant le siège du groupement. Au tour, donc, de GTOI-SBTPC-Vinci d'être bloqué, deux mois après la Région.
- Pas de reprise le 15 septembre -
Au cœur de la discorde : la reprise du chantier de la NRL. Les transporteurs attendaient, en accord avec les négociations du Conseil régional et du groupement, une reprise effective du travail dès le 15 septembre.
Didier Hoareau, président de l'OTI, avait prévenu dès le début : impossible de reprendre dès le 15, alors qu'il faut déblayer tout le chantier pour refaire le remblais. Ça n'a pas raté et de fait, les transporteurs n'ont pas repris le 15. Ils espéraient au moins des travaux compensatoires en attendant le lancement officiel du chantier digue, en tout cas la partie de 216 mètres qu'il faut construire en attendant la résiliation du marché et un nouvel appel d'offres pour attaquer les 2,7 km de digue dans leur intégralité.
La goutte d'eau : un communiqué du groupement, annonçant que le chantier avait bien repris le 15 septembre, sans aucune mention des transporteurs.
Fatigués d'attendre, la plateforme syndicale a donc décidé de se rassembler en ce début de semaine et de monter au groupement pour réclamer des réponses sur la reprise du travail.
Les transporteurs espéraient notamment s'occuper avec du stockage de roches venues de Saint-Pierre, durant le mois nécessaire pour que les travaux préparatoires de la digue soient terminés.
- Rassemblement au Port -
C'est tôt ce lundi 21 septembre qu'ils se sont rassemblés sur le parking de la Halle des manifestations au Port. L'ensemble de l'intersyndicale réunie, une délégation constituée des principaux leaders s'est mise en route pour le groupement.
"Ils sont au courant que nous venons aujourd'hui" expliquait alors Didier Hoareau. Un horaire a finalement été fixé : 14h30.
Une fois sur place, la délégation a été reçue par deux représentants du groupement, parmi lesquels le directeur général de GTOI en charge du chantier de la NRL, Bruno Nguyen.
- Réunion chaotique avec le groupement -
Mais rien ne s'est passé comme prévu et c'est dans des éclats de voix que la réunion s'est terminée, plus tôt que prévu. "Pour l'instant le chantier ne peut pas avancer plus que ça, ils n'ont fait aucune proposition. La reprise pourrait aller au-delà de novembre !" déplorait Hubert Poinapin, de la SRTT.
"Il n'y a aucune évolution, on nous dit toujours : en fin de semaine ! Encore des bobards ! On en a marre !" criait Jean-Gaël Rivière de la FNTR en sortant de la salle de réunion, quand Joël Mongin de la FTOI parlait lui de "réunion stérile".
"Encore une fois, on nous fait arrêter, ça fait un an et demi que c'est comme ça. On nous dit : dans une semaine, peut-être qu'il y aura une réponse ! On ne peut plus travailler comme ça" disait Didier Hoareau.
En-dehors de l'absence d'indications sur la reprise du travail, les transporteurs ont également appris que l'espace normalement dédié au stockage des roches n'était plus disponible, et que les prix de livraison à la tonne pourraient à nouveau changer. De quoi mettre le feu aux poudres.
- Blocage jusqu'à mercredi au moins -
Une colère partagée par l'ensemble des transporteurs. De retour sur le parking de la Halle des manifestations, les leaders syndicaux ont, à regret, fait un résumé de la réunion à leurs collègues. Après concertation, les transporteurs ont décidé de bloquer le siège du groupement au Port à compter de ce mardi 22 septembre, après avoir passé la nuit sur le parking.
Le blocage pourrait durer jusqu'à mercredi au moins, selon Joël Mongin de la FTOI. "Le comité directeur du groupement a lieu ce mercredi. On ira jusque là, on verra ce que ça donne. On va ramener les tentes et le barbecue."
Le déplacement des camions vers le siège du groupement pourrait entraîner des ralentissements importants sur la commune du Port ce mardi matin.
10 Commentaire(s)
Pour le bien de tous .... on ne peut pas stagner dans des impasses pareilles !
En pleine crise du covid, l économie est très instable pour tous , il ne faut pas en rajouter une couche ....
On sait qu il y a des paroles non tenues, des intérêts personnels en jeu, mais il faut dépasser tout ça ... il faut avancer !!!