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C'est la fin de ce live, merci de nous avoir suivi !
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La tension est montée d'un cran à Paris
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La nuit est à peine tombée sur la Métropole que des blessés sont vraisemblablement déjà à signaler
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De nombreux feux ont été allumés, dont un dans la cour de la Banque de France
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La tension monte, des heurts avec les forces de l'ordre ont éclaté à Bastille
🇫🇷 ALERTE INFO - Tensions place de la #Bastille. Un individu à terre est traîné par un policier puis interpellé. Jets de projectiles sur la #police qui recule au milieu de fumigènes. (@ybouziar pour Mediavenir) #StopLoiSecuriteGlobale #MarcheDesLibertes pic.twitter.com/pxcfauW1NJ
— Mediavenir (@Mediavenir) November 28, 2020 -
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La tension monte à Paris
Des barricades feu ont été déjà été errigées, des voitures ont été brûlées, alors qu'il n'est que 16h30 en métropole
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Outre la restriction de filmer les policiers, c'est aussi la généralisation des drones au sein des manifestations qui dérange
Certains manifestants se sont montrés inventifs, fabriquant des "filets à drone"
Notre filet à drones est de sortie !#StopLoiSecuriteGlobale pic.twitter.com/JjQBLgpcDi
— La Quadrature du Net (@laquadrature) November 28, 2020 -
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Les premières tensions se font sentir dans le cortège parisien
Des manifestants ont renversé une roulotte de chantier et la dirige vers les forces de l'ordre
🇫🇷 FLASH - Une roulotte de chantier est renversée sur le côté et poussée en direction de la #police lors de la manifestation #StopLoiSecuriteGlobale à #Paris. Premières tensions en cours. (@gregoire_mandy pour Mediavenir) #MarcheDesLibertes #28novembre pic.twitter.com/yGxa4Eic7A
— Mediavenir (@Mediavenir) November 28, 2020 -
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A Marseille aussi, la mobilisation est impressionnante
Ça faisait bien longtemps qu’on n’avait pas vu une manif aussi impressionnante à #Marseille.
— Marcel Aiphan (@AiphanMarcel) November 28, 2020
Le feu couvait, la colère se déconfine.
Cette fois-ci, ils ne passeront pas ✊#StopLoiSecuriteGlobale #MarcheDesLibertes #marchesdeslibertes pic.twitter.com/ehX9NzhlVa -
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A Rennes, le gaz lacrymogène a déjà commencé a être utilisé contre les manifestants
Brouillard lacrymogène à Rennes où des milliers de personnes défilent contre la #LoiSecuritaireGlobale
— Marcel Aiphan (@AiphanMarcel) November 28, 2020
La ligne républicaine dont parle Lallement pique les yeux...#StopLoiSecuriteGlobale #marchesdeslibertes pic.twitter.com/OwBaGHyuKD -
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A Paris, la foule est au rendez-vous sur la place de la République
Manifestation contre la #LoiSecuriteGlobale sur la Place de la République à #Rennes. #marchesdeslibertes #MarcheDesLibertes pic.twitter.com/TmBGoGCmfj
— Anonyme Citoyen (@AnonymeCitoyen) November 28, 2020 -
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L'interdiction de défiler déboutée par le tribunal administratif
Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, l'avait initialement interdite et souhaitait un rassemblement statique à République, afin "d'éviter le brassage des populations" pour lutter contre l'épidémie de Covid-19. Une décision finalement cassée par le tribunal administratif de Paris.
La marche aura bien donc lieu demain à 14 heures à Paris au départ de la place de la République direction Bastille.
— Taha Bouhafs 🔻 (@T_Bouhafs) November 27, 2020
Grosse claque pour la préfecture de police qui voit sa décision suspendue !!
Merci à notre avocat Arié Alimi @AA_Avocats et au @SnjCgt 🙏🏽🔥 pic.twitter.com/8xc54uejGSDans une lettre adressée vendredi soir aux policiers, M. Lallement a appelé ses troupes à "tenir" la "ligne républicaine". En "dévier", c'est "perdre le sens de notre mission", a-t-il ajouté.
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Paris, Bordeaux, Lyon, Strasbourg, Marseille, Grenoble, Clermont-Ferrand, Caen...
De multiples rassemblements sont prévus un peu partout dans l'Hexagone, contre ce texte jugé attentatoire à "la liberté d'expression" et à "l'Etat de droit" par ses opposants. Dès vendredi soir, plusieurs milliers de manifestants ont défilé à Nantes.
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Bonjour tout le monde, bienvenue dans ce live !
Nous suivrons la situation en métropole aujourd'hui, alors que de nombreuses manifestations sont prévues contre la loi sécurité globale
A propos
Il y a quelques mois, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin annonçait que lorsqu'il entendait le terme "violences policières", il "s'étouffait". Le président Emmanuel Macron, lui, a réfuté toutes violences policières sur le sol français à de multiples occasions.
Et pourtant, en l'espace d'une semaine, la France a été témoin du passage à tabac d'un producteur noir, sans raison apparente et sur fonds de racisme évident. Plus tôt dans la semaine, un migrant et un journaliste se voyaient molester par des policiers dans le cadre d'une manifestation.
On ne pouvait pas illustrer mieux la nécessité de filmer le visage des policiers, au matin d'une nouvelle journée de mobilisation contre la loi sécurité globale en Métropole. Si Emmanuel Macron s'est dit "indigné" par la vidéo de l'agression, à l'instar de Gérald Darmanin, il a aussi balayé l'idée que le racisme et la violence décomplexés était un problème grandissant au sein de la police.
- Une impunité qui doit cesser -
On ne peut s'empêcher de se demander combien de policiers, en dehors de l'indiscrétion des caméras, s'octroieront – et s'octroient déjà - le droit de passer à tabac des citoyens lambda. Si les forces de l'ordre sont aussi irréprochables que certains aiment l'assurer, affirmant que les violences filmées cette semaine ne sont la faute que de certaines brebis galeuses, pourquoi vouloir restreindre le droit de filmer ?
Combien de Michel Zeclerc n'ont pas eu la chance d'avoir une caméra braquée sur soi pendant qu'ils étaient injustement tabassés par des forces de l'ordre ? Combien d'outrage à agent, refus d'obtempérer, accusations d'agression déclarés par des policiers en réalité coupable de violences volontaires ?
Comment s'étonner de la méfiance d'une partie de la population face à un organe dont sa propre police laisse largement à désirer, deux propositions de sanctions sur 378 enquêtes ayant été prononcées concernant les violences commises sur des Gilets jaunes ? Quand des violences sont commises par des personnes dépositaire de l'autorité ne sont pas sanctionnées, on ne peut s'étonner du sentiment d'impunité qui sembler régner parmi certains membres des forces de l'ordre.
Une enquête a désormais été ouverte, et c'est très bien. Mais si la population est soumise à l'Etat de droit, où la radiation des policiers mis en cause dans l'affaire Michel Zeclerc doit passer par un processus judiciaire strict, il est du devoir du gouvernement de s'assurer que la justice fasse son travail. Et de réfléchir à une réforme profonde du maintien de l'ordre.
as / www.ipreunion.com / redac@ipreunion.com
11 Commentaire(s)
Et surtout :
2 - Il faudrait entendre les consignes du préfet le premier soir, ce doit être édifiant !!!