Ce mercredi 13 août 2014, un homme a été mis en examen et écroué pour "acte de torture ou de barbarie sur un mineur", après avoir reconnu "être à l'origine de certains hématomes, de la fracture de l'humérus, ainsi que de l'introduction d'un manche de rasoir jetable dans le rectum" de son beau-fils âgé de 3 ans, indique le procureur de la République de Saint-Pierre. La mère a été mise en examen du chef de non dénonciation de mauvais traitement sur mineur.
"Un signalement a été adressé au Parquet le 11 août 2014 par le centre hospitalier de Saint-Pierre concernant un enfant de trois ans originaire de Saint-Louis ayant selon toute vraisemblance été victime de maltraitances graves, l’enfant présentant divers hématomes et lésions mais également une fracture de l’humérus ainsi que la présence d’un corps étranger type manche de rasoir jetable dans le rectum (contrairement aux informations diffusées ce jour notamment dans le JIR aucune lame de rasoir n’a été retrouvée dans le ventre de l’enfant)", précise le procureur de la République de Saint-Pierre Laurent Zuchowicz ce jeudi 14 août.
L’enquête a été confiée à la brigade des recherches de la compagnie de Saint-Pierre, la mère de l’enfant et son concubin ont été interpellé le jour même. A l’issue de sa garde à vue, "le beau-père a reconnu être à l’origine de certains hématomes, de la fracture de l’humérus, ainsi que de l’introduction d’un manche de rasoir jetable dans le rectum de l’enfant, invoquant des accidents domestiques", indique le procureur.
L’homme a été présenté au juge d’instruction ce mercredi 13 août et "mis en examen des chefs de violences habituelles sur mineur de 15 ans par personne ayant autorité suivies d’incapacité supérieure à 8 jours et acte de torture ou de barbarie sur un mineur de 15 ans", puis placé en détention provisoire.
Quant à la mère, "qui contestait toute violence sur son enfant et niait avoir eu connaissance de la présence d’un corps étranger dans le rectum de ce dernier", elle a été mise en examen du chef de non dénonciation de mauvais traitement sur mineur.
"L’instruction devra notamment tenter de déterminer l’origine des différentes lésions constatées sur l’enfant et de cerner le rôle respectif et la personnalité des mis en examen", ajoute Laurent Zuchowicz.
Les sœurs aînées de la victime, âgées de 4 et 8 ans, ont été confiées durant l’enquête à la protection de l’enfance du conseil général, "étant précisé qu’en l’état rien ne permet de considérer qu’elles aient été victimes de maltraitances", souligne le communiqué.
La jeune victime est toujours hospitalisée à Saint-Pierre et s’est vue octroyer une incapacité totale de trois mois.
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Moi mi le ti père i mérite la mort i FO LS gar i f pareiil ek li et la mère elle et compliciter il mérite la mort
Pauvre ange victime de la perversion d'adultes déjantés. D'accord avec Mi.Sel pour lui souhaiter tout l'amour et le bonheur du monde
Encore une fois ma litanie de prénoms d enfants maltraités tortures livres à la folie de jeunes parents irresponsables va s allonger. dans mes prières je rajouterai ce soir : mon dieu faites que ce petit connaisse des jours meilleurs et qu on lui apporte tout l amour possible ! mon coeur saigne.