
De plus, le 8 mai, jour de l’Armistice et le 9 mai, jeudi de l’ascension, ne se trouvent pas dans la période travaillée à La Réunion, contrairement à la Métropole. Le SNALC/FGAF demande cependant qu’au même titre que la Métropole à la Toussaint, le Ministre accorde les 2 jours et demi sur le congé de Mai qui ne compte que 10 jours! Ce congé amputé suppose une période de mai, juin, début juillet très lourde en collège et dans le primaire. Nous lé pas plus, nous lé pas moins !
Le SNALC/FGAF a dénoncé au Comité Technique Académique l’organisation hasardeuse de la nouvelle épreuve de langues vivantes au baccalauréat intégrant le contrôle continu, mettant en péril l’anonymat inhérent au caractère national du baccalauréat et chronophage pour les professeurs concernés, aucune rémunération n’étant prévue à cet effet.
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