
S’il apparaît aujourd’hui nécessaire de mieux encadrer au niveau national et européen pour ne pas pénaliser les entreprises frontalières, la distribution, la vente et la consommation de ce type de boissons, l’UMIH, l’organisation professionnelle représentative leader du secteur CHR (cafés – hôtels – restaurants – établissements de nuit) dénonce l’instauration d’une nouvelle taxe qui n’aura aucune incidence sur la consommation de ces boissons auprès des jeunes. Cette énième taxe n’apportera donc aucune réponse concrète aux enjeux de santé publique. Pire ! Elle fragilisera encore un peu plus nos établissements déjà confrontés à de graves difficultés économiques.
En effet, les professionnels CHRD seront mécaniquement impactés par la répercussion de cette taxe au reste de la chaîne de distribution et de vente.
" Ce n’est pas en créant une nouvelle taxe que les jeunes arrêteront de consommer ces boissons. Au lieu de sensibiliser et de faire de la pédagogie auprès des consommateurs, la répression fiscale s’accentue et va pénaliser une nouvelle fois nos petites et moyennes entreprises présentes sur tout le territoire ", déclare Laurent Lutse président UMIH cafés brasseries établissements de nuit.
L’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie
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