Tribune libre du collectif citoyen Cimendef

Médiathèque de Saint-Paul : "La justice pourrait donner raison à l'intérêt général face au gaspillage financier"

  • Publié le 21 septembre 2016 à 12:00

Ce jeudi 22 septembre 2016, le tribunal administratif de Saint-Denis siégera sur le recours déposé par des citoyens pour le maintien de la médiathèque Cimendef. Le bâtiment, acheté par la Région, risque effectivement d'être détruit. Le collectif citoyen Cimendef souhaite dénoncer un "gaspillage financier" et un "déni culturel". Nous publions leur communiqué dans son intégralité ci-dessous.

Pour  justifier la vente de la Médiathèque, le Maire de Saint-Paul, Joseph Sinimalé, estimait que le coût de fonctionnement de 25 euros par an et par habitant était " trop cher pour les capacités budgétaires de la commune ". Or, le 2 septembre 2015, le Conseil Municipal de Saint-Paul juge nécessaire de proposer aux Saint-Paulois la construction d’une nouvelle médiathèque en front de mer, à 300 mètres de celle vendue à la Région pour un coût équivalent. Logique bien difficile à saisir … à moins qu’il ne s’agisse tout simplement d’une manœuvre politicienne de l’équipe municipale actuelle avec la complicité du Président de Région pour faire échec à un projet phare de l’ancienne majorité municipale sans considération pour l’intérêt public du projet déjà réalisé.

De son côté,  la Région, par son président Didier Robert, en achetant le bâtiment s’est engagé dans la destruction de cette Médiathèque, qui aurait pu d’ores et déjà ouvrir clé-en-main. En effet, la Région veut aujourd’hui transformer cette Médiathèque ouverte gratuitement à tous, et en particulier à toute la jeunesse,  en un Conservatoire de Musique limité à moins de 500 élèves cotisants. Ainsi, quatre millions d’euros sont prévus pour les travaux de transformation. Il va donc falloir détruire des salles totalement neuves, entièrement décorées et aménagées, qui n'auront jamais servies au public, pour reconstruire d'autres salles pour un usage radicalement opposé. Il s’agit bien là d’un  gaspillage d’argent public avéré. Et ce n'est pas l'opération de communication organisée en ce moment par La Région, avec " 4 cubes " de lecture pour enfants dans l'exiguïté du hall d'entrée qui pourront faire oublier l’ensemble des 5 étages qui devaient être totalement dédiés aux multiples activités de la Médiathèque (Espace Image et Son, Marmothèque, Espace jeunesse, Ludothèque, Postes informatiques, Accès internet, Salon de lecture, Café, Restauration ...).

Ce gaspillage financier et ce déni culturel doivent être stoppés. Les requérants avec le Collectif Citoyen Cimendef  espèrent que le Tribunal administratif saura rendre raison à l’intérêt général après des mois de lutte pour le maintien de la Médiathèque Cimendef de Saint-Paul.

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3 Commentaires
Gérard Jeanneau
Gérard Jeanneau
7 ans

RAPPEL :

Le CRAN, dit son président, Eric Murin, désavoue ces élus qui ferment à jamais des livres, qui incendient le savoir, qui verrouillent l’histoire, qui interdisent la connaissance aux citoyens.

Diable ! une flambée d'hyperboles, révélant une bien stupide colère majuscule d'Eric Murin qui se lance contre l'incendie de la culture à Saint-Paul, celle que la nouvelle municipalité mijote, mais sans la deuxième médiathèque, baptisée avant terme Cimendef, du nom d'un esclave. Le pompier Murin devrait savoir qu'Huguette Bello a laissé en bien mauvais état la médiathèque du front de mer, baptisée, celle-ci, du nom d'un colonialiste, Leconte de Lisle, tant et si bien que les livres ont baigné longtemps dans l'humidité. C'est donc bien la dame, maire déchue, qui a, non pas incendié la culture, mais l'a tout simplement noyée avec le même prétexte qu'on avance quand on veut noyer ses chiots : la médiathèque du front de mer lui paraissait pestiférée du fait qu'elle semblait par son nom glorifier l'esclavagisme et que, bien pis, elle a été construite par un adversaire politique. D'où son ardent désir de tourner la page ! Une ardeur favorisée par le ministère rose de la culture, tout disposé à payer presque rubis sur l'ongle une médiathèque aux maires qui en désirent une; beaucoup d'entre eux ont sauté sur l'aubaine pour marquer la mairie de leur empreinte; et ce qui va de soi, la première a été laissée à l'abandon !

Diable ! remettons en état cette première médiathèque - ce qui se fait actuellement - continuons sa restauration; faisons une bonne extension en l'exhaussant d'un étage et ajoutons des rondavelles entre la route du bord de mer et le bâtiment, comme on le fait au bord de mer, avec WIFI ou prise CPL, espace ouvert 24 heures sur 24. Ouvrons même cette médiathèque bien restaurée le dimanche comme au Tampon ! Gardons le trop peu de foncier constructible pour le commerce, les HLM... Pensons aux sans-logis et aux emplois générés par les commerces ! Accordons harmonieusement le social avec le domaine culturel !

Assurons aussi le portage des documents à domicile, au moins pour les personnes âgées, malades et handicapées. Prenons exemple sur la région grenobloise, ma nouvelle patrie : toutes les bibliothèques sont en réseau ! Il n'y a plus qu'à commander par internet. Et je ne mets même plus les pieds dans une médiathèque pour la simple raison que c'est la médiathèque qui vient à moi. Assurons en sus un service drive, comme savent le faire les grands centres commerciaux ! Soyons de notre temps !

Oui, il faut remettre en état les bibliothèques des écarts, aménager des espaces WIFI ou avec CPL, métamorphoser ainsi ces bâtiments en petites médiathèques et ajouter, là aussi, tout à proximité, quelques rondavelles connectées à internet 24 heures sur 24 ! Et pourquoi ne pas ressusciter troubadours et trouvères qui allaient semer leur culture de château en château ? Pourquoi ne pas faire de même ? Un bataillon d'employés pourrait aller de case en case pour former, lire, guider, initier l'un, faire progresser l'autre ! Le conférencier ne doit pas enfouir son savoir dans un unique endroit, mais le répandre dans telle ou telle bibliothèque. Et une exposition ne doit pas rester accrochée dans une salle de médiathèque comme carapates su tété boeuf ; elle doit être itinérante !

Il faut cesser de regarder avec trop d’admiration son nombril et d'agir tout seul dans son tout petit secteur avec l'idée bien puérile de faire mieux que le voisin. La culture doit se répandre dans toutes les bibliothèques, du battant des lames aux villages perdus des hauts. Je hais le concentré, et le concentré qui reste fixé au même endroit, comme carapates su tété boeuf . Oui, je le répète, il faut SEMER la culture et aller de case en case porter les documents, initier à l’informatique, lire un livre à qui voit mal, etc. … comme à Grenoble !

Voilà, au final, tous les bons ingrédients pour diffuser la bonne culture sans dilapider les deniers publics ni dévorer du foncier !

Gardons-nous d'incarcérer la culture dans une grosse masse de béton comme on allait le faire avec la feue médiathèque Cimendef. Et pour donner un peu de baume au CRAN, débaptisons l'unique médiathèque et appelons-la Cimendef, histoire ... de déverrouiller l'histoire dans le droit fil du CRAN !
RAPPEL :

Le CRAN, dit son président, Eric Murin, désavoue ces élus qui ferment à jamais des livres, qui incendient le savoir, qui verrouillent l’histoire, qui interdisent la connaissance aux citoyens.

Diable ! une flambée d'hyperboles, révélant une bien stupide colère majuscule d'Eric Murin qui se lance contre l'incendie de la culture à Saint-Paul, celle que la nouvelle municipalité mijote, mais sans la deuxième médiathèque, baptisée avant terme Cimendef, du nom d'un esclave. Le pompier Murin devrait savoir qu'Huguette Bello a laissé en bien mauvais état la médiathèque du front de mer, baptisée, celle-ci, du nom d'un colonialiste, Leconte de Lisle, tant et si bien que les livres ont baigné longtemps dans l'humidité. C'est donc bien la dame, maire déchue, qui a, non pas incendié la culture, mais l'a tout simplement noyée avec le même prétexte qu'on avance quand on veut noyer ses chiots : la médiathèque du front de mer lui paraissait pestiférée du fait qu'elle semblait par son nom glorifier l'esclavagisme et que, bien pis, elle a été construite par un adversaire politique. D'où son ardent désir de tourner la page ! Une ardeur favorisée par le ministère rose de la culture, tout disposé à payer presque rubis sur l'ongle une médiathèque aux maires qui en désirent une; beaucoup d'entre eux ont sauté sur l'aubaine pour marquer la mairie de leur empreinte; et ce qui va de soi, la première a été laissée à l'abandon !

Diable ! remettons en état cette première médiathèque - ce qui se fait actuellement - continuons sa restauration; faisons une bonne extension en l'exhaussant d'un étage et ajoutons des rondavelles entre la route du bord de mer et le bâtiment, comme on le fait au bord de mer, avec WIFI ou prise CPL, espace ouvert 24 heures sur 24. Ouvrons même cette médiathèque bien restaurée le dimanche comme au Tampon ! Gardons le trop peu de foncier constructible pour le commerce, les HLM... Pensons aux sans-logis et aux emplois générés par les commerces ! Accordons harmonieusement le social avec le domaine culturel !

Assurons aussi le portage des documents à domicile, au moins pour les personnes âgées, malades et handicapées. Prenons exemple sur la région grenobloise, ma nouvelle patrie : toutes les bibliothèques sont en réseau ! Il n'y a plus qu'à commander par internet. Et je ne mets même plus les pieds dans une médiathèque pour la simple raison que c'est la médiathèque qui vient à moi. Assurons en sus un service drive, comme savent le faire les grands centres commerciaux ! Soyons de notre temps !

Oui, il faut remettre en état les bibliothèques des écarts, aménager des espaces WIFI ou avec CPL, métamorphoser ainsi ces bâtiments en petites médiathèques et ajouter, là aussi, tout à proximité, quelques rondavelles connectées à internet 24 heures sur 24 ! Et pourquoi ne pas ressusciter troubadours et trouvères qui allaient semer leur culture de château en château ? Pourquoi ne pas faire de même ? Un bataillon d'employés pourrait aller de case en case pour former, lire, guider, initier l'un, faire progresser l'autre ! Le conférencier ne doit pas enfouir son savoir dans un unique endroit, mais le répandre dans telle ou telle bibliothèque. Et une exposition ne doit pas rester accrochée dans une salle de médiathèque comme carapates su tété boeuf ; elle doit être itinérante !

Il faut cesser de regarder avec trop d’admiration son nombril et d'agir tout seul dans son tout petit secteur avec l'idée bien puérile de faire mieux que le voisin. La culture doit se répandre dans toutes les bibliothèques, du battant des lames aux villages perdus des hauts. Je hais le concentré, et le concentré qui reste fixé au même endroit, comme carapates su tété boeuf . Oui, je le répète, il faut SEMER la culture et aller de case en case porter les documents, initier à l’informatique, lire un livre à qui voit mal, etc. … comme à Grenoble !

Voilà, au final, tous les bons ingrédients pour diffuser la bonne culture sans dilapider les deniers publics ni dévorer du foncier !

Gardons-nous d'incarcérer la culture dans une grosse masse de béton comme on allait le faire avec la feue médiathèque Cimendef. Et pour donner un peu de baume au CRAN, débaptisons l'unique médiathèque et appelons-la Cimendef, histoire ... de déverrouiller l'histoire dans le droit fil du CRAN !

RAPPEL :

Le CRAN, dit son président, Eric Murin, désavoue ces élus qui ferment à jamais des livres, qui incendient le savoir, qui verrouillent l’histoire, qui interdisent la connaissance aux citoyens.

Diable ! une flambée d'hyperboles, révélant une bien stupide colère majuscule d'Eric Murin qui se lance contre l'incendie de la culture à Saint-Paul, celle que la nouvelle municipalité mijote, mais sans la deuxième médiathèque, baptisée avant terme Cimendef, du nom d'un esclave. Le pompier Murin devrait savoir qu'Huguette Bello a laissé en bien mauvais état la médiathèque du front de mer, baptisée, celle-ci, du nom d'un colonialiste, Leconte de Lisle, tant et si bien que les livres ont baigné longtemps dans l'humidité. C'est donc bien la dame, maire déchue, qui a, non pas incendié la culture, mais l'a tout simplement noyée avec le même prétexte qu'on avance quand on veut noyer ses chiots : la médiathèque du front de mer lui paraissait pestiférée du fait qu'elle semblait par son nom glorifier l'esclavagisme et que, bien pis, elle a été construite par un adversaire politique. D'où son ardent désir de tourner la page ! Une ardeur favorisée par le ministère rose de la culture, tout disposé à payer presque rubis sur l'ongle une médiathèque aux maires qui en désirent une; beaucoup d'entre eux ont sauté sur l'aubaine pour marquer la mairie de leur empreinte; et ce qui va de soi, la première a été laissée à l'abandon !

Diable ! remettons en état cette première médiathèque - ce qui se fait actuellement - continuons sa restauration; faisons une bonne extension en l'exhaussant d'un étage et ajoutons des rondavelles entre la route du bord de mer et le bâtiment, comme on le fait au bord de mer, avec WIFI ou prise CPL, espace ouvert 24 heures sur 24. Ouvrons même cette médiathèque bien restaurée le dimanche comme au Tampon ! Gardons le trop peu de foncier constructible pour le commerce, les HLM... Pensons aux sans-logis et aux emplois générés par les commerces ! Accordons harmonieusement le social avec le domaine culturel !

Assurons aussi le portage des documents à domicile, au moins pour les personnes âgées, malades et handicapées. Prenons exemple sur la région grenobloise, ma nouvelle patrie : toutes les bibliothèques sont en réseau ! Il n'y a plus qu'à commander par internet. Et je ne mets même plus les pieds dans une médiathèque pour la simple raison que c'est la médiathèque qui vient à moi. Assurons en sus un service drive, comme savent le faire les grands centres commerciaux ! Soyons de notre temps !

Oui, il faut remettre en état les bibliothèques des écarts, aménager des espaces WIFI ou avec CPL, métamorphoser ainsi ces bâtiments en petites médiathèques et ajouter, là aussi, tout à proximité, quelques rondavelles connectées à internet 24 heures sur 24 ! Et pourquoi ne pas ressusciter troubadours et trouvères qui allaient semer leur culture de château en château ? Pourquoi ne pas faire de même ? Un bataillon d'employés pourrait aller de case en case pour former, lire, guider, initier l'un, faire progresser l'autre ! Le conférencier ne doit pas enfouir son savoir dans un unique endroit, mais le répandre dans telle ou telle bibliothèque. Et une exposition ne doit pas rester accrochée dans une salle de médiathèque comme carapates su tété boeuf ; elle doit être itinérante !

Il faut cesser de regarder avec trop d’admiration son nombril et d'agir tout seul dans son tout petit secteur avec l'idée bien puérile de faire mieux que le voisin. La culture doit se répandre dans toutes les bibliothèques, du battant des lames aux villages perdus des hauts. Je hais le concentré, et le concentré qui reste fixé au même endroit, comme carapates su tété boeuf . Oui, je le répète, il faut SEMER la culture et aller de case en case porter les documents, initier à l’informatique, lire un livre à qui voit mal, etc. … comme à Grenoble !

Voilà, au final, tous les bons ingrédients pour diffuser la bonne culture sans dilapider les deniers publics ni dévorer du foncier !

Gardons-nous d'incarcérer la culture dans une grosse masse de béton comme on allait le faire avec la feue médiathèque Cimendef. Et pour donner un peu de baume au CRAN, débaptisons l'unique médiathèque et appelons-la Cimendef, histoire ... de déverrouiller l'histoire dans le droit fil du CRAN !
RAPPEL :

Le CRAN, dit son président, Eric Murin, désavoue ces élus qui ferment à jamais des livres, qui incendient le savoir, qui verrouillent l’histoire, qui interdisent la connaissance aux citoyens.

Diable ! une flambée d'hyperboles, révélant une bien stupide colère majuscule d'Eric Murin qui se lance contre l'incendie de la culture à Saint-Paul, celle que la nouvelle municipalité mijote, mais sans la deuxième médiathèque, baptisée avant terme Cimendef, du nom d'un esclave. Le pompier Murin devrait savoir qu'Huguette Bello a laissé en bien mauvais état la médiathèque du front de mer, baptisée, celle-ci, du nom d'un colonialiste, Leconte de Lisle, tant et si bien que les livres ont baigné longtemps dans l'humidité. C'est donc bien la dame, maire déchue, qui a, non pas incendié la culture, mais l'a tout simplement noyée avec le même prétexte qu'on avance quand on veut noyer ses chiots : la médiathèque du front de mer lui paraissait pestiférée du fait qu'elle semblait par son nom glorifier l'esclavagisme et que, bien pis, elle a été construite par un adversaire politique. D'où son ardent désir de tourner la page ! Une ardeur favorisée par le ministère rose de la culture, tout disposé à payer presque rubis sur l'ongle une médiathèque aux maires qui en désirent une; beaucoup d'entre eux ont sauté sur l'aubaine pour marquer la mairie de leur empreinte; et ce qui va de soi, la première a été laissée à l'abandon !

Diable ! remettons en état cette première médiathèque - ce qui se fait actuellement - continuons sa restauration; faisons une bonne extension en l'exhaussant d'un étage et ajoutons des rondavelles entre la route du bord de mer et le bâtiment, comme on le fait au bord de mer, avec WIFI ou prise CPL, espace ouvert 24 heures sur 24. Ouvrons même cette médiathèque bien restaurée le dimanche comme au Tampon ! Gardons le trop peu de foncier constructible pour le commerce, les HLM... Pensons aux sans-logis et aux emplois générés par les commerces ! Accordons harmonieusement le social avec le domaine culturel !

Assurons aussi le portage des documents à domicile, au moins pour les personnes âgées, malades et handicapées. Prenons exemple sur la région grenobloise, ma nouvelle patrie : toutes les bibliothèques sont en réseau ! Il n'y a plus qu'à commander par internet. Et je ne mets même plus les pieds dans une médiathèque pour la simple raison que c'est la médiathèque qui vient à moi. Assurons en sus un service drive, comme savent le faire les grands centres commerciaux ! Soyons de notre temps !

Oui, il faut remettre en état les bibliothèques des écarts, aménager des espaces WIFI ou avec CPL, métamorphoser ainsi ces bâtiments en petites médiathèques et ajouter, là aussi, tout à proximité, quelques rondavelles connectées à internet 24 heures sur 24 ! Et pourquoi ne pas ressusciter troubadours et trouvères qui allaient semer leur culture de château en château ? Pourquoi ne pas faire de même ? Un bataillon d'employés pourrait aller de case en case pour former, lire, guider, initier l'un, faire progresser l'autre ! Le conférencier ne doit pas enfouir son savoir dans un unique endroit, mais le répandre dans telle ou telle bibliothèque. Et une exposition ne doit pas rester accrochée dans une salle de médiathèque comme carapates su tété boeuf ; elle doit être itinérante !

Il faut cesser de regarder avec trop d’admiration son nombril et d'agir tout seul dans son tout petit secteur avec l'idée bien puérile de faire mieux que le voisin. La culture doit se répandre dans toutes les bibliothèques, du battant des lames aux villages perdus des hauts. Je hais le concentré, et le concentré qui reste fixé au même endroit, comme carapates su tété boeuf . Oui, je le répète, il faut SEMER la culture et aller de case en case porter les documents, initier à l’informatique, lire un livre à qui voit mal, etc. … comme à Grenoble !

Voilà, au final, tous les bons ingrédients pour diffuser la bonne culture sans dilapider les deniers publics ni dévorer du foncier !

Gardons-nous d'incarcérer la culture dans une grosse masse de béton comme on allait le faire avec la feue médiathèque Cimendef. Et pour donner un peu de baume au CRAN, débaptisons l'unique médiathèque et appelons-la Cimendef, histoire ... de déverrouiller l'histoire dans le droit fil du CRAN !


Gières, le 16 mars 2015

http://www.courriers-reunion.fr/Murin-ire-bis.html







nini974
nini974
7 ans

Je vis dans les hauts de St Paul et quand je vois ce gaspillage...moi qui vit dans la misère je travail pou la commune de St Paul je peux a joindre les eux bout...la région va casser des salle moi qui n'a pas de porte a ma maison la région et la commune ne veulent pas nous aider (parce que je boss dans la commune de St Paul).
Désolé mais c'est toujours nous qui payons....

panik
panik
7 ans

bien d'accord avec vous!