L'information révélée par France Mayotte Matin fait froid dans le dos. Selon le quotidien mahorais, 51 corps d'enfants morts nés ou décédés quelques heures après la naissance sont stockés dans un congélateur du centre hospitalier de Mayotte (CHM). Certains y reposeraient depuis plus d'un an et demi...
Le congélateur en question "est celui de la morgue du CHM", indique France Mayotte Matin. "Les enfants morts nés ou ceux qui meurent quelques heures après la naissance sont placés dans une zone réfrigérée (appelée frigo) en attendant que les parents les réclament. Le délai légal est de trois jours, ensuite, les corps sont transférés dans ce congélateur en attendant l’inhumation", explique le journal.
Le problème est que "nombreux sont les parents qui ne récupèrent pas le corps de leurs enfants et ces derniers restent au fond du congélateur et s’entassent durant des semaines, voire des mois", écrit le quotidien mahorais, selon lequel "les plus anciens sont décédés depuis plus d’un an et demi et le plus récent, il y a deux semaines".
En théorie, le CHM mandate les pompes funèbres plusieurs fois par an pour inhumer ces enfants dans une fosse commune, libérant ainsi de la place dans le congélateur. "Mais les règles ont récemment changé avec notamment la présence d’un imam au sein du CHM qui doit s’assurer que l’inhumation se pratique selon les rites musulmans", souligne France Mayotte Matin.
Or, "pour que les rites soient respectés, il faut que les corps soient préparés avant la congélation et ce n’est pas le cas", poursuit le journal. "La préparation religieuse devient donc impossible et les corps s’entassent dans un simple congélateur...", conclut France Mayotte Matin.
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La FRANCE: pays laïc ???
Le CHM de Mayotte semble traiter des bébés décédés dans sa maternité publique comme ses déchets médicaux ; c'est une honte pour un service hospitalier de l'Etat !
En conséquences, l'ouverture d'une enquête administrative des services de l'Etat, voire aussi d'une enquête judiciaire à l'hôpital public du CHM de Mayotte s'imposent.
c'est absolument affreux pour ces enfants et les familles, mais, pour avoir eu dans un passé lointain des responsabilités au sein des etablissements hospitaliers, j'ai aussi une pensée émue pour le directeur qui va devoir résoudre le problème..... comment ????
Et dire que cela se passe sur le sol français, car ils ont voulu être et surtout rester français, il y a les lois de la République de FRANCE qu'il faut respecter avant la religion musulmane qui est la leur et qui ne respecte même pas la personne humaine, pourtant on savait à quoi cela aller nous emmener que de leur donner la nationalité française et surtout le titre de département français d'outre mer, quelle belle représentation de la FRANCE dans l'Océan Indien aux yeux du monde, cet acte c'est la HONTE pour notre pays. Voilà comment cette religion commence à diriger et à s'immiscer dans les différents services administratifs de notre système public français... A bon entendeur salut...
Quand seule compte la stricte obéissance aux rites, la radicalisation est en marche !