Le Premier ministre est arrivé un peu avant 8h30 à La Réunion ce jeudi 11 juin 2015. Après une première intervention à la préfecture pour s'expliquer sur son voyage à Berlin, Manuel Valls a pris un premier bain de foule à Saint-Denis. Il s'est ensuite rendu au Port pour inaugurer une centrale de production photovoltaïque avant d'aller déjeuner avec les jeunes du RSMA à Saint-Pierre.
- 11h50 : Manuel Valls et la délégation ministérielle quittent le Port pour rejoindre Saint-Pierre, où le Premier ministre est attendu au RSMA-R (Régiment de service militaire adapté de La Réunion) pour déjeuner avec les jeunes pensionnaires.
- 11h42 : "La Réunion constitue un laboratoire à grande échelle" en matière d'environnement, affirme le Premier ministre. "Je salue le travail réalisé ici, il montre combien les outre-mer sont à l’avant-garde en matière de transition énergétique et combien La Réunion recèle d’atouts, de potentiels, qui demandent à être exploités", a-t-il souligné.
- 11h38 : Manuel Valls réitère l'engagement de l'État à demander à la Commission européenne 38 millions d'euros d'aide supplémentaire pour la filière canne pour faire face à la fin des quotas sucriers en 2017. Alors que les planteurs s'impatientent de voir la concrétisation de ce engagement,"cette demande sera adressée dès que nous disposerons des éléments chiffrés nécessaires à La Réunion, mais aussi aux Antilles afin que la commission soit pleinement convaincue par le bien-fondé de notre démarche", a précisé le Premier ministre.
- 11h30 : "Cette centrale est une chance pour La Réunion", déclare Manuel Valls en débutant son allocution au Port consacrée à la transition énergétique. "Ce site innovant et impressionnant illustre parfaitement la démarche de transition énergétique et de développement durable que nous souhaitons tous conduire en métropole et en outre-mer", souligne-t-il.
- 10h35 : Le Premier ministre est arrivé au Port pour visiter la centrale de production photovoltaïque et de stockage d’électricité Bardzour. Un arbre a été planté symboliquement lors de cette séquence consacrée au développement durable.
- 10h10 : Manuel Valls prend la direction du Port, où il doit assister à l'inauguration d'une centrale de production photovoltaïque et de stockage d’électricité, suivie d’une présentation de la programmation pluriannuelle de l’énergie à La Réunion.
- 10h05 : "C’est un message pour affirmer une nouvelle fois, après celui du président de la République il y a un an, que l’État est là, présent dans tous les domaines, celui de la vie économique, de la solidarité, du soutien aux énergies renouvelables, sur les questions d’écoles, de jeunesse, de rénovation urbaine, sur la question très sensible des attaques de requin...", déclare Manuel Valls. "Bref, un déplacement complet, où j’aurais non seulement l’occasion de dire mon amour de la Réiunion, mais aussi d'affirmer la présence de l’État sur l’emploi, sur l’agriculture...", a-t-il ajouté.
- 10h : Le Premier ministre s'exprime de nouveau rapidement devant la presse. "C'est autour des dossiers de La Réunion que je me concentrerai", assure-t-il.
- 9h50 : Après une minute de silence est respectée devant le monument aux morts, Manuel Valls fait un détour imprévu pour aller à la rencontre de la population.
- 9h45 : Manuel Valls se rend au monument aux morts de Saint-Denis afin d’y déposer une gerbe. Il est chaleureusement applaudi par la foule à son arrivée rue de la Victoire. Outre Patrick Kanner et George Pau-Langevin, il est également accompagné de Sophie Élizéon, déléguée interministérielle pour l'égalité des chances des Français d'outre-mer.
- 9h05 : Le Premier ministre improvise un point presse à la préfecture pour s’expliquer sur son voyage polémique à Berlin pour assister à la finale de la Ligue des champions. Il s’est notamment engagé à prendre en charge le voyage de ses deux enfants.
- 8h25 : L’avion ministériel de Manuel Valls atterrit à l’aéroport Roland-Garros de Saint-Denis. Le Premier ministre est accompagné du ministre de la Ville, de la jeunesse et des sports, Patrick Kanner, et de la ministre des Outre-mer, George Pau-Langevin.
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Evidemment, le 1er Ministre n'aurait pas dû partir de Poitiers avec un avion présidentiel, à nos frais ?? mais s'il y avait de la place, pourquoi n'aurait il pas emmener ses enfants ? cela ne dérangeait personne. C'est l'ensemble du déplacement qui devrait être remboursé, pas spécialement celui des enfants.