[LIVE/VIDEO] En présence de son avocat et d'Ibrahim Dindar

Nassimah Dindar s'explique sur l'acquisition de sa maison

  • Publié le 11 décembre 2017 à 19:30
  • Actualisé le 12 décembre 2017 à 06:41

Ce lundi 11 décembre 2017, l'avocat de Nassimah Dindar, Maître Jean-Michel Baloup, tient une conférence de presse au siège de la Droite sociale à Saint-Denis. Nassimah Dindar et Ibrahim Dindar sont également présents. L'objet : les explications autour de l'acquisition de la maison des Dindar en 2008 à Saint-Denis, après plusieurs articles de presse accusateurs.

- Ce live est à présent terminé. Merci d'avoir suivi l'actualité avec nous sur Imaz Press -

16h10 - La conférence de presse se termine

16h08 - "Il est fort possible que dans les 15 jours qui viennent, je tienne une conférence de presse en tant que président de la droite sociale pour vous démontrer les failles du rapport attribuant les 2 millions au JIR" conclue Ibrahim Dindar.

16h07 - "Nous n'avons pas eu de coup de fil ni de courrier de Monsieur Didier Robert" répond Nassimah Dindar à notre question : "Vous n'êtes pas étonnée de ne pas avoir de soutien de votre partenaire politique Didier Robert ?"

 

16h05 - "Il y a peut être le regret (de la part du propriétaire du journal - Ndlr) de ne pas avoir réussi à louer des locaux au Département" suppose Maître Baloup. En réponse à la question d'un journaliste, Nassimah Dindar et Ibrahim Dindar lancent : "On sait par qui est financé le JIR".

16h02 - "À chaque fois que l'opinion veut se reposer on (le journal - Ndlr) repart sur une autre affaire" lâche Maître Baloup en énumérant les dossiers de la case, le SDIS, du Glaive. Pour appuyer son propos sur la manipulation de l'opinion publique, il rappelle aussi qu'il n'y a pas eu recours contre l'élection de Nassimah Dindar, mais contre celle des trois sénateurs : "Lorsque l'on veut noyer son chien on dit qu'il a la gale".

16h00 - Maître Baloup reprend la parole pour parler du SDIS : "Nous avons dit à la Chambre régionale des comptes que, non seulement nous sommes d'accord avec ce que vous dites sur la gestion du Sdis, nous l'avons aussi dénoncé avant vous".

15h55 - "C'est une tentative d'assassinat politique" argumente Nassimah Dindar. Elle développe : "À qui profite le crime ? Je constate que le premier article est arrivé le jour où je suis arrivée au Sénat. Cette affaire arrive aussi à quelques semaines de la fin d'une convention entre le Département et Clicanoo à hauteur de 10 000 euros par mois".

15h49 - Ibrahim Dindar raconte comment Nassimah Dindar est allé voir Jean-Claude Coindin des Maisons créoles pour constuire une case à 180 000 euros. "L'entrepreneur a été interviewé par le journal et le journaliste contre son gré apporte de l'eau au moulin de Nassimah Dindar" indique t-il. Il présente ensuite tous les chèques qui ont été faits par la présidente du Département pour sa case (matériaux etc) en notant qu'aucune de ces entreprises ne travaille avec la collectivité.

 

 

15h43 - Ibrahim Dindar raconte la manière dont Nassimah Dindar a décidé d'édifier sa maison. Vente de ses parts, demande de permis de construire, permis de construire, attestation d'achèvement des travaux etc... tous les documents sont projetés devant la presse.

 

15h40 - Maître Baloup a toujours la parole. Il indique qu'en 2010, Ibrahim Dindar revend sa part à Nassimah Dindar à hauteur de 50 000 euros. "Alors que je l'avais achetée 65 000 euros, Nassimah est dure en affaires" plaisante Ibahim Dindar.

15h39 - "C'est la fonction de Madame Dindar, en sa qualité de sénatrice, qui est visée. L'objectif est de salir, de punir, de mentir" enchaîne l'avocat de Nassimah Dindar.

15h35 - Une plainte pour diffamation a été déposée contre le directeur de la publication du Journal de l'Île. "Tous les éléments dans cette affaire sont clairs et il n'y a que les sourds et les aveugles qui ne comprennent pas" estime Maître Baloup en rajoutant : "Nous sommes dans le domaine de la calomnie".

Maître Baloup annonce qu'un courrier signalant les faits a été envoyé par Nassimah Dindar au procureur une ou deux heures plus tôt dans la journée. Dans le courrier, la présidente demande au procureur d'enquêter sur les faits qui lui sont reprochés.

15h30 - Au tour de Maître Baloup, conseil de Nassimah Dindar, de prendre la parole. Il éclaire le propos d'Ibrahim Dindar : "On n'a pas simplement dit qu'il y a une bonne affaire, il y a un sous entendu : la présidente du Département a fait un cadeau à la SPAG qui la remercie en lui vendant un terrain bas pris. La malversation se serait faite au détriment de la collectivité".

15h29 - "En 2005/2006, le Département a refusé une vente à la SPAG et un an après la SPAG nous remercie de lui avoir dit non en nous cédant à bon prix un terrain" ironise Ibrahim Dindar. La vente du terrain au Dindar a eu lieu 2 ans après le refus de vente signifiée au promoteur immobilier par la collectivité.

 

15h25 - La collectivité départementale n'a jamais cédé de terrain SPAG en 2006, affirme Ibrahim Dindar. "Un constat d'huissier prouve qu'aucune transaction n'a été faite entre 2004 et 2017 entre ce promoteur immobilier et la collectivité", appuie Ibrahim Dindar. Pour rappel, le journal souligne que la maison a été vendue par la SPAG aux Dindar a un très bon prix

15h18 - Ibrahim Dindar brandit le Journal de l'Île en parlant de "volonté de nuire et de salir", sans citer le nom du quotidien.

15h17 - "Nous avons acheté une maison non rénovable, cariatée avec le plancher défoncé, en mixité sociale de 197m2 + 13000m2 de terrain. Nous avons fait cette acquisition à un prix tout fait normal" se justifie Ibrahim Dindar. La case a été acquise en 2008 auprès de la SPAG, un promoteur immobilier

15h11 - Ibrahim Dindar présente un premier document de la SCCV (Société civile de construction vente), Le jardin de Petite Île, à qui appartenait la case incriminée, évaluée en 2005-2006 à 420 000 euros. Des pillages et le passage du cyclone Gamète ont ravagé les lieux. "La SCCV ne trouvait pas d'acheteur en raison des dégâts et de la situation du biens (sous un pont entre deux immeubles etc)" précise Ibrahim Dindar. Lui et Nassimah Dindar font une proposition à 130 000 euros, notamment car la maison était située dans le canton de la présidente. C'est en raison de tous ces inconvénients que le propriétaire (la SCCV) accepte de la vendre à 130 000 euros.

 

15h05 - La conférence de presse débute. Nassimah Dindar indique avoir souhaité faire le point avant le changement de présidence à la tête du Conseil Départemental. "Depuis septembre 2017, nous sommes attaqués sur la construction d'une maison et l'acquisition du terrain. Nous avons pris du temps por répondre, notamment car la banque a mis un temps fou pour récupérer l'ensemble des documents" commence Ibrahim Dindar en projetant des documents.

15h02 - Sur l'un des murs de la salle où se tient la conférence de presse ont été épinglés toutes les pages du Journal de l'Île consacrées aux articles sur Nassimah Dindar. "On refait le papier peint" plaisante Maître Baloup.

 

- Pour rappel - 

Depuis plusieurs mois, Nassimah Dindar fait l'objet d'articles accusateurs de la part du Journal de l'Île. L'acquisition et la construction de sa maison située au Bas de la Rivière a notamment été mise en cause. Ce lundi, elle tient une conférence de presse en présence de son avocat Maître Baloup et d'Ibrahim Dindar.

mb/rb/mp/www.ipreunion.com

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1 Commentaires
macatia
macatia
6 ans

Les réunionnais voudraient bien savoir qui paie cet avocat goyave de france,l'argent y sorte dans la poche des Dinedar ou de celles des contribuables réunionnais à travers le CD. Si l'histoire qu'ils nous racontent est vraies pas besoin d'avocat, la justice va donne a zot tout de suite raison et la Jir va rende notre argent que DIDIX lui a donné, deux millions tout de même...