Les travaux du projet NEO concerneront une large partie du front de mer de Saint-Denis, zone très sensible du point de vue patrimonial. Un diagnostic archéologique est donc nécessaire sur la totalité de l'emprise du projet, avant le démarrage des travaux. Il a été demandé par la co-maîtrise d'ouvrage, mairie de Saint-Denis/Région Réunion/Cinor, et a été prescrit par le ministre de la Culture et le préfet de la région Réunion. La mise en oeuvre de la dernière tranche du diagnostic archéologique est prévue du 21 septembre au 13 novembre 2020. Nous publions ici le communiqué de la préfecture. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Du 15 septembre au 31 décembre 2020, participez à la décision sur l'aménagement du Barachois et la traversée de Saint-Denis ! Fruit de plusieurs années d'études sur le réaménagement du quartier du Barachois, le projet de Nouvelle Entrée Ouest de Saint-Denis (NEO) a l'ambition de transformer durablement cet espace emblématique du chef-lieu de La Réunion en ouvrant la ville sur la mer et en le rendant prioritairement aux piétons. Nous publions ici le communiqué de la ville de Saint-Denis. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Après la Région, c'est le groupement GTOI-SBTPC-Vinci que le SRTT (syndicat réunionnais des transporteurs et terrassiers) a rencontré, ce vendredi 14 février 2020. La Région leur avait assuré que 120.000 tonnes étaient disponibles et que le SRTT serait inclus dans le travail à venir au même titre que l'intersyndicale. Ce que n'a pas confirmé le groupement, faute d'information directe de la Région. Le travail a repris mais progressivement. Le SRTT ne pourra pas travailler sur le chantier de la Nouvelle route du Littoral dès ce lundi comme ils l'espéraient. Il va falloir être patient le temps que le protocole d'accord entre la Région et le groupement soit signé. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Une délégation composée de transporteurs de la SRTT (syndicat réunionnais des transporteurs et terrassiers) a été reçue ce mardi 11 février 2020 à la Région Réunion. Une réunion qui portait sur les accords trouvés entre le groupement de la Nouvelle route du Littoral, la Région et la préfecture concernant la continuité du chantier. La SRTT souhaite trouver sa place dans les négociations et s'inquiétait de ne pas pouvoir travailler sur les roches déjà validées. La Région les a informés que 120.000 tonnes étaient disponibles. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Une nouvelle carte interactive a été publiée il y a deux jours sur le site Reporterre, et pas n'importe laquelle : celle des "grands projets inutiles" et des luttes qui les accompagnent. L'expression de "grands projets inutiles" ne vient pas de nulle part, elle désigne depuis les années 1980 les chantiers jugés contre-productifs, inutiles ou déficitaires. L'Outre-mer n'est pas en reste et à La Réunion, c'est la Nouvelle Route du Littoral qui apparaît sur cette carte, dans la catégorie "transport". Force est de constater que la route est victime de sa mauvaise réputation : une mauvaise gestion, des retards qui s'accumulent, une facture qui continue d'augmenter, des transporteurs en colère, des roches manquantes, des carrières qui n'en finissent pas de faire polémique... Résultat : la NRL, projet nécessaire pour faire face aux éboulements, se retrouve aujourd'hui dans la liste des chantiers qui font honte à la France. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Les transporteurs rencontraient le président de Région ce jeudi 12 décembre. La réunion prévue la veille a finalement été décalée. Il était bien évidemment question de la suite du chantier de la Nouvelle Route du Littoral. Didier Robert a expliqué aux transporteurs que la décision de résilier le marché n'avait pas encore été prise. Une autre réunion, sans les transporteurs, est prévue ce vendredi 13 décembre entre le préfet, le ministère des Transports (par vidéo ou audio conférence), la Région et le groupement. Les transporteurs se disent plutôt satisfaits dans l'ensemble, tout en affirmant attendre le compte-rendu de la réunion de ce vendredi. Une nouvelle table ronde est donc prévue lundi ou mardi, rassemblant l'ensemble des acteurs. Deux solutions : ou bien la route se finira finalement avec le groupement GTOI-SBTPC-Vinci, ou bien le marché sera résilié et il faudra alors lancer un nouvel appel d'offres. Dans ce cas, la Région garantit aux transporteurs une poursuite de leur travail en imaginant la création d'une plateforme dédiée pour stocker les andains réunionnais et assurer la continuité du chantier.
Les transporteurs vont à nouveau rencontrer la Région, la réunion prévue ce mercredi 11 décembre 2019 à la pyramide inversée a été repoussée au lendemain. Six jours après une première réunion avec Dominique Fournel, conseiller régional, ils vont aborder avec la Région la suite du chantier de la Nouvelle Route du Littoral (NRL). Au coeur du dossier : l'approvisionnement en roches massives, nécessaires à la construction de la partie digue. Or le marché en question a été résilié. Selon les informations d'Imaz Press Réunion, un nouvel appel d'offres va être lancé. Il inclut les andains déjà recensés dans les champs de l'île... et des caissons de béton pour remplacer les roches manquantes. Très coûteux, ce procédé technique a déjà été utilisé à Monaco. Les transporteurs pourront travailler sur le chantier, mais à moitié seulement... (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Ce mercredi 4 décembre 2019, les transporteurs rencontrent une nouvelle fois le groupement SBTPT-Vinci-GTOI au Port. Les revendications des syndicats portent sur le stock de roches nécessaires à la construction de la partie digue et donc la fin du chantier de la Nouvelle Route du Littoral. Un accord avait été établi après de longues heures de discussion à la préfecture le 18 octobre dernier, afin de garantir aux transporteurs que la route serait construite avec des roches locales. La Région, avec le soutien de la SAFER, a recensé 2,6 millions de tonnes d'andains dans les champs de La Réunion. Or les commandes promises ne viennent pas et les transporteurs s'impatientent. Ils menacent de se mobiliser à nouveau, faute de réponses concluantes. Après le groupement, les syndicats réclament un rendez-vous en urgence à la Région. (Photos rb/www.ipreunion.com)
Les travaux de construction de la première centrale photovoltaïque ont démarré le 21 octobre dernier à l'aéroport Roland Garros. L'installation sera posée sur la toiture du hall public de l'aérogare passagers, au total elle occupera une surface totale de 2.800 m2 pour 1.600 modules photovoltaïques, fixés sur une structure métallique. Objectif : offrir un meilleur confort thermique du hall public. La centrale devrait être livrée mi-février 2020. Nous publions ci-dessous le communiqué de l'aéroport Roland-Garros.
L'intersyndicale des transporteurs a demandé une rencontre auprès du ministère des Transports, mais faute de réponse, aucune réunion n'est prévue pour l'instant. En outre, le secrétaire d'État auprès de la Ministre de la transition écologique et solidaire chargé des Transports Jean-Baptiste Djebbari, a prévu de rencontrer la Région, le groupement et la préfecture sur le sujet de la NRL. Les retards du chantier seront-ils évoqués ? En effet, quand il était à Mayotte ce mardi 22 octobre 2019 Emmanuel Macron a évoqué en quelques mots "l'échaudage" lié à la Nouvelle Route du Littoral, en déclarant : "nous n'avons collectivement pas su être au rendez-vous, et parfois aussi la production locale, et les acteurs locaux." (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
A la veille de l'arrivée du président de La République sur le sol de La Réunion, l'association Alternative-Transports-Réunion (ATR-Fnaut) ré-affirme son opposition au projet de digue entre la Grande Chaloupe et la Possession sur le chantier de la Nouvelle Route du Littoral. Pour ATR-Fnaut, cette solution profite au groupement mais pas aux usagers de la route. Selon l'association il faudrait d'ailleurs envisager une table ronde plus large, qui regroupe les acteurs du chantier mais également des représentants d'usagers. (Photo d'illustration andains rb/www.ipreunion.com)
Transporteurs, présidents des Conseils départemental et régional, groupement et préfet sont réunis ce vendredi 18 octobre 2019 pour une table ronde afin de discuter de l'avenir du chantier de la Nouvelle Route du Littoral. Cette réunion commune était une condition pour que les transporteurs cessent leurs blocages. Ce mercredi 16 octobre ils ont manifesté leur colère devant le siège du groupement SBTPT-Vinci-GTOI au Port : environ 80 camions ont bloqué les entrées, en attente d'une date claire et fixée pour se réunir avec tous les acteurs concernés par le chantier. Le sujet qui fâche : la recherche de roches massives. Commencée à 14h45, la table ronde s'éternise, et les points de désaccord semblent nombreux.
L'annonce d'une suspension du chantier de la Nouvelle route du littoral de mars 2020 à début 2023 faute d'approvisionnement en roches massives leur avait mis un coup au moral. La médiatisation d'un projet d'importation de roches en provenance de Maurice les avait fait sortir de leurs gonds. Après plus d'un an d'un chantier au ralenti, les transporteurs sont montés au créneau. Ils ont fait planer la menace du blocage. Leurs attentes : des engagements forts de la part des collectivités territoriales et de l'État sur la poursuite du chantier notamment à travers une solution alternative : tirer les andains dans les terrains agricoles. Après plusieurs rencontres avec les acteurs du chantier, bonne nouvelle : il n'y aura sans doute pas de mobilisation. Les transporteurs sont rassurés pourtant ils n'ont rien obtenu de concret.
Ce lundi 14 octobre 2019, les transporteurs rencontraient Didier Robert à la Région. Depuis une quinzaine de jours, ils font planer la menace d'une mobilisation d'ampleur. À l'origine de leur colère, la fin annoncée du chantier de la Nouvelle route du littoral en mars 2020 faute d'approvisionnement en roches massives. Les transporteurs demandent aux collectivités territoriales (Département et Région) et aux services de l'État (préfecture) de prendre leurs responsabilités et de mettre la main à la poche pour financer une alternative, qui selon eux, pourrait permettre la continuité du chantier pour encore deux voire trois ans. Cette solution : tirer les andains dans les champs des agriculteurs réunionnais. Si Didier Robert a affirmé être "prêt à tout pour terminer ce chantier", aucune garantie n'a été prononcée lors des discussions. Le président de Région n'exclut cependant pas la possibilité d'une rallonge financière pour exploiter les andains. (Photos www.ipreunion.com)
Ce vendredi 11 octobre a eu lieu l'inauguration du groupe d'habitations "Grand Pourpier" à Saint-Paul en présence de Gilles Tardy, directeur général de La SHLMR et Joseph Sinimalé, maire de Saint-Paul. Cette nouvelle résidence collective, compte 38 logements, dont 14 réservés aux séniors, et des commerces.