Le collectif féministe NousToutes, qui lutte contre toutes formes de discriminations ou violences faites aux femmes, propose un petit guide anti-sexiste en ligne pour ces fêtes de fin d'année. Avec lui, ses adeptes pourront développer un sens de la répartie des plus efficaces grâce aux réponses aux remarques désagréables qu'il contient. (Photo d'illustration : rb/www.ipreunion.com)
A l'occasion de la journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes, le préfet de La Réunion, Jacques Billant, a rencontré ce mercredi 25 novembre à l'hôtel Créolia de Saint-Denis quatre femmes victimes de violences. Près de 15% des Réunionnaises en couple ont été victimes de violences conjugales depuis un an. Les différents moyens mis en oeuvre pour venir en aide aux victimes ont par ailleurs été présentés : favoriser l'écoute auprès des victimes, faciliter leur mise à l'abri et développer les moyens de signaler un conjoint ou ex-conjoint violent. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Publiée ce 25 novembre à l'occasion de la journée internationale pour l'élimination des violences à l'égard des femmes, une enquête sur les violences conjugales envers les femmes conduite en 2018 à La Réunion montrent que 15% d'entre-elles sont victimes de violences de la part de leur conjoint ou ex-conjoints sur les 12 derniers mois. Nommée VIRAGE (VIolence et RApports de GEnre) Outre-Mer, cette enquête fut menée dans un premier temps en 2015 en Métropole puis déclinée en 2018 par l'Institut national d'études démographiques (INED) à La Réunion et aux Antilles. L'ARS La Réunion a missionné l'Observatoire régional de la santé océan Indien (ORS OI) afin de pouvoir l'exploiter. Nous publions ci-dessous le communiqué de l'ARS. (Photo d'illustration : rb/www.ipreunion.com)
L'Agence française de développement (AFD) et le Centre de ressources de la cohésion sociale et urbaine de La Réunion (CR-CSUR) ont signé ce jeudi 12 novembre 2020 une convention de partenariat en faveur de l'ORVIFF (observatoire réunionnais des violences faites aux femmes). Ce partenariat s'inscrit dans la co-construction au niveau local de la stratégie 5.0 du ministère des Outre-mer (MOM). Nous publions ci-dessous le communiqué de l'AFD. (Photo : AFD)
A l'occasion d'Octobre rose, l'association "Un autre regard" organise une action en faveur des femmes atteintes du cancer du sein. Un atelier est programmé le 26 octobre 2020 au siège de la Ligue contre le cancer, situé à Saint-Denis pour présenter la socio-esthétique et la socio-coiffure à ces femmes. Des pratiques qui mêlent soin, bienveillance et bien-être pour les personnes fragiles atteintes de maladies. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Nous sommes le 1er octobre 2020 et c'est donc ce jeudi que commence officiellement la campagne "Octobre rose" de lutte contre le cancer du sein. A La Réunion, une femme sur quatre est concernée. Plusieurs actions sont mises en place à travers l'île pour sensibiliser les habitant.e.s et encourager les Réunionnaises à se faire dépister. (Photos : Centre régional de coordination des dépistages des cancers)
Ce samedi 19 septembre 2020, l'association "Papayes" montre qu'elle est solidaire du mouvement Octobre Rose. A l'occasion d'un rassemblement en toute intimité, plusieurs femmes atteintes du cancer du sein vont peindre leur buste. Leurs seins décorés seront ensuite photographiés et publiés sur les réseaux sociaux. Une action motivée par l'élimination d'une candidate à Miss Guadeloupe suite à une photo où elle posait un sein dénudé dans le cadre d'une campagne contre le cancer du sein.
Alors que l'est de l'île est le second arrondissement le plus touché par les violences conjugales, un dispositif de pré-dépôt de plainte a été mis en place au centre hospitalier de Saint-Benoit. Une convention a été signé le 3 septembre 2020 par le préfet et de nombreux acteurs de la lutte contre les violences conjugales. Cette convention permet de proposer aux victimes de renseigner un pré-dépôt de plainte qui ne les engage pas et qui leur laisse un délai de réflexion auprès du Groupe hospitalier de l'est de La Réunion. Sous réserve de l'accord de la victime, celui-ci sera ensuite transmis aux forces de sécurité intérieure qui pourront contacter la victime pour évaluer sa situation et ainsi l'accompagner dans ses démarches. Nous publions le communiqué ci-dessous. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Un an après la visite de Marlène Schiappa, à l'époque Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, la préfecture fait le point sur les mesures prises pour lutter contre les violences conjugales. Le préfet salue la libération de la paroles des femmes victimes de violences, alors que 1.107 plaintes ont été déposées au premier semestre 2020 contre 989 sur la même période en 2019. Nous publions le communiqué complet ci-dessous. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
La polémique agite les réseaux sociaux depuis ce lundi soir : à Sainte-Marie-la-mer (métropole), deux gendarmes ont demandé à un groupe de femmes, bronzant seins nus, de se rhabiller. Une aberration pour les internautes, qui dénoncent par ailleurs une hypersexualisation du corps féminin. Ironie de l'histoire : en cette période estivale, le marronnier habituel est le port du burkini...Nues ou couvertes, il semblerait donc que les femmes ne sont jamais tranquilles sur les plages. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Ce mercredi 12 août 2020, le Collectif pour l'élimination des violences intrafamiliales (CEVIF) organisé un nouveau café-débat. Les discussions seront cette fois-ci centrée sur la levée du secret médical en cas de soupçons de violences conjugales, dont la loi a été votée le 31 juillet dernier. Le débat se déroulera de 17 à 19 heures dans les locaux du CEVIF.
Nous en parlions sur Imaz Press le 5 août dernier : une artiste tatoueuse réunionnaise de Saint-Pierre, Helen Sea Ung, a porté plainte pour viol, 15 ans après les faits. Un acte de courage "libérateur" explique la jeune femme de 36 ans. La sénatrice Nassimah Dindar applaudit le courage de l'artiste et appelle la justice à sévir. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Le 31 juillet, l'Assemblée nationale a adopté en deuxième lecture le projet de loi bioéthique, incluant la PMA pour toutes. Promesse de campagne d'Emmanuel Macron, elle est désormais élargie aux couples de femmes et aux femmes célibataires, et sera remboursée par la Sécurité sociale. Plusieurs principes ont cependant été rejetés, dont le choix ou non de l'appariement qui consiste à choisir une donneuse aux caractéristiques physiques proches. Or les dons d'ovocytes de femmes noires sont beaucoup plus rares. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Ce vendredi 17 juillet 2020, le lancement du concours Miss Ecologie a été annoncé dans la presse. Il vise les femmes "sensibles à la cause écologique", et sélectionne 80 femmes du monde entier pour promouvoir l'éco-tourisme et la protection de l'environnement. Problème : sur les réseaux, l'annonce agite beaucoup. Les critères de sélections sont pour beaucoup d'internautes considérés comme sexistes et dénoncent la récupération de la cause écologiste à des fins commerciales.
Dans la nuit du lundi 6 au mardi 7 juillet 2020, des collages dénonçant les violences sexistes sont apparus sur certaines rues du centre-ville de Saint-Denis. Les féminicides, l'exotisation des femmes réunionnaises ou encore les violences conjugales, ces collages dénonciateurs suivent le pas à une initiative née à Paris en 2019. (Photo as / www.ipreunion.com)