
Ainsi, dans une copie de la plainte, Thierry Robert indique que "bien que demandé, le document de rendu de cette étude n'a pas pu m'être remis dans sa totalité" et avance que "selon les informations recueillies auprès des spécialistes de la Réserve présents à cette réunion, les conclusions font apparaître que la présence de produits toxiques, notamment des pesticides et de métaux lourds présents dans la terre, sont à l'origine de la détérioration du lagon".
"En aucun cas, le rejet des eaux usées ne serait à l'origine d'une quelconque pollution permanente. D'ailleurs, les informations, qui circulent et les positions des uns et des autres sur ce sujet de pollution, font apparaître que l'écoulement des eaux pluviales provenant du bassin versant du territoire et de soupçons d'apport de grande quantité de terre et de déchets, sont à l'origine de la dégradation du milieu marin. La conséquence de cette situation se traduit par la turbidité fréquente de l'eau qui attire particulièrement les prédateurs en chasse, tels que les requins", explique-t-il ensuite.
Enfin, Thierry Robert indique qu'il se réserve également le droit, "dans l'intérêt" de ses concitoyens, "de porter la ville en tant que partie civile dans cette affaire".
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