
Lors de déplacements à pied, en journée, il est conseillé de porter le moins possible d’effets personnels, objets de valeurs et sacs sont à éviter, dit encore le ministère.
L'État français rappelle suite que plusieurs touristes, en groupe ou individuellement, ont récemment été la cible de criminels lourdement armés et bien organisés, y compris dans les parcs nationaux. "Le recours à un guide officiel n’est plus une garantie absolue de sécurité" souligne le site internet du ministère.
"Une attention particulière est requise dans les sites ayant fait l’objet dernièrement d’agressions, parfois d’une extrême violence : Nosy Be (où trois personnes dont un Français ont été battus à mort et brûlés il y a quelques semaines – ndlr), parc national de la Montagne d’Ambre, parc national de l’Ankarana, rivière Tsiribihina. Aucune destination touristique ne peut être considérée comme étant a priori épargnée par le risque d’agression" insiste le ministère des Affaires étrangères avant de "fortement recommander" aux voyageurs de s’enregistrer sur le portail Ariane afin de recevoir, le cas échéant, des messages d’alerte.
Le ministère termine en soulignant "jusqu’alors occasionnels et confinés dans des régions très reculées des hauts plateaux, des cas de peste ont été récemment diagnostiqués sur la partie orientale de l’île, dans les régions d’Ivongo et d’Ikongo (au nord et au sud de Tamatave). Cependant, les zones touristiques ne sont actuellement pas affectées".
2 Commentaire(s)
l'hôtel a dû fermer à cause de nombreux dégâts et nous avons tous été relogés
Se faire enregistrer sur le portail Ariane est indispensable, le système, pour l'avoir tester à Fianarantsoa fonctionne bien