[VIDEO] A tribute to the dark venus

Musique - Arashkha sort un nouvel album

  • Publié le 30 juin 2018 à 11:00
  • Actualisé le 30 juin 2018 à 11:02

Il a joué cette semaine à la galerie Artéfact pour présenter son nouvel album aux médias et aux professionnels de la musique, Arashkha sort un nouvel opus électro intitulé "A tribute to the dark venus".

Son premier clip a été financé par le Pôle régionale des musiques actuelles de La Réunion, via le dispositif Aide à la mise en image (AMI)

Il est à découvrir ici :

Arashkha sera en concert au Japon en septembre. Il faudra néanmoins attendre 2019 pour le voir évoluer sur les scènes réunionnaises.

En attendant, voici sa biographie : 

"Installé à l’ile de la Réunion depuis 2011, l’artiste franco iranien, Arash Khalatbari (Arashkha) compositeur, producteur et interprète, lance son troisième album, sortie prévue en septembre 2018. Mélange des genres, fruit de ses voyages géographiques et intérieurs, des tableaux reconnaissables pour les amateurs de la World music et des belles références électroniques.

Arashka, fidèle à sa signature musicale riche et éclectique, nous entraîne avec le titre "Gloria a la negra" chanté en espagnol et porté par le rythme
Funana du Cap-Vert. "Funama Javanaise", un autre morceau avec ce même groove capverdien, que chevauchent cette fois, une flute amérindienne et une cornemuse trash et rock’n’roll. "Barbarian Sunrise", est un titre où se côtoient, le groove de la Tarentelle et des mélodies celtes et moyenâgeuses.

Et dans la famille des ternaires, rythmes qu’il affectionne particulièrement il nous présente un triptyque de nuance. "Midnight Kudeta", ou tel un grand chef, il concocte à la sauce Océan Indien, du Salegy malgache version électro.

"Golden Baobab", qui rend hommage au ‘beat’ rebelle du Maloya de la Réunion, et avec "A trip in Rabat", il nous amène au royaume des gnawas du Maroc en y ajoutant un zeste de chaâbi, et de l’électronique à la limite de la distorsion.

On entend sa voix en format chanson, sur des morceaux comme "Nigeria will never die" en mode afro beat, ou " Banyan tree" aux couleurs New-wave. Tout cela, pour mieux signifier que nous ne sommes nulle part et partout à la fois. Bienvenue dans l’univers D’Arashkha.

Ce 3 ème album est aussi l’occasion de retrouver son ami et complice Carmen Rizzo qui a mixé cet album. Producteur de renom établi à Los Angeles il a à son passif, les albums d’Ekova (dont Araskha fut l’un des co-fondateurs), les albums de Coldplay, Alanis Morissette, Seal, Sakamoto, Khaled, Nyaz...

Accompagné également dans cette nouvelle aventure musicale par Gerard Davoust, des éditions Raoul Breton (France) et, Mustapha Terki et Jonathan Gagné des éditions et productions MUSJO Music (Canada).

Autant dire qu’une seule chose est bien absente dans ce projet c’est la notion de la frontière et de la limite géographique."

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