Tribune libre de Jean-Hugues Ratenon

Mettre fin à l'état d'urgence sanitaire à La Réunion

  • Publié le 7 septembre 2021 à 19:06
  • Actualisé le 7 septembre 2021 à 20:08

Malgré la loi autorisant la prorogation de l'état d'urgence sanitaire dans les outre-Mer et à la Réunion, les conditions sont réuni pour sa fin sur notre territoire. En effet, sur la base des données de l'ARS et si l'on compare les situations en termes d'incidence, la Réunion aujourd'hui il semble proche de l'Hexagone, dont la moyenne nationale se situe aux alentours de 150 cas pour 100 000. (Photo photo RB imazpress)

On peut donc s'étonner qu'ont si attache à y prolonger l'état d'urgence sanitaire pour la Réunion, alors que notre taux de positivité atteint 3,1 % son plus bas niveau depuis le mois d’avril, soit 0,7 % au-dessus du seuil national actuel qui est aux alentours de 2,4 %.

Notre taux d'incidence s’établie à 153 cas pour 100 000 soit en dessous du seuil d’alerte, a contrario 9 départements de l’hexagone sont entre 503 et 203 cas pour 100 000 et ils ne sont pas concernés par l’état d’urgence sanitaire.

Pour ce qui concerne de vaccination au 31 août 2021, 44 % de la population totale dispose d’un schéma vaccinal complet, et près de 60 % de la population totale à au moins reçu une première dose.

Partant de ce constat, je demande que l’état met fin à l’état d’urgence sanitaire à la Réunion et que le préfet de La Réunion retire l’ensemble des restrictions de liberté (couvre-feu et confinement).

D’autre part, puisque le gouvernement peut faire une loi spécifique pour uniquement pour les outre-mer et reconnais nos spécificités, il a donc le pouvoir et le devoir de tout faire afin de planifier de réelles alternatives au confinement et d'investir massivement dans les infrastructures sanitaires au sens large à la Réunion, moyen humais et financier telle que nous ne cessons de le demander.

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6 Commentaires
mékoué
mékoué
2 ans

Peu importe la syntaxe ou les ", six taxes ou tâches", l'essentiel dans tout texte se voulant politique et sociétal, se rapporte au fond de la pensée exprimée. Faut-il le rappeler que les "group' Kiltirel", 1974/75 ont pris naissance et force, suite à l'intervention d'un vice-recteur qui voulait "fusiller le parler Créole à l'école". La forme étant secondaire, dans le texte du député Ratenon comme dans les déclarations de la majorité de ses pairs, l'essentiel est passé sous silence : LE 15 SEPTEMBRE 2021 AVEC LE LICENCIEMENT ANNONCE, des salariés qui ne se feront pas injecter la thérapie génique ARNm. Que ferez-vous donc Madame, Monsieur les parlementaires et autres élus, face à cet ASSASSINAT de la LIBERTÉ ' En effet la Liberté n'est pas négociable, celui qui veut se faire là "vaccine" tant mieux, celui qui n'en veut pas tant pis, déroger à cette règle est criminel. De plus la vaccination classique n'est pas un fait anodin, car le fait allergie grave existe pour tout produit : gluten , lactose, pénicilline..., quel médecin officiel peut prétendre ici le contraire' Puis n'existe-il pas déjà dans ce département une bonne dizaine de décès touchant jeune et vieux, survenu après injection ARNm ' La réponse des officiels à ce constat, il n'y a pas là forcément relation de cause à effet !!' Ces mêmes officiels se sont-ils fait injecter cet ARNm avec une seringue classique avec aiguille non rétractable '

Dom
Dom
2 ans

Après l'écriture inclusive, l'écriture,la syntaxe et l'orthographe insoumiseS.

gueenec
gueenec
2 ans

le grand sorcier de FRANCE INSOUMISE a parlé encore une fois dans le vide

Nelson
Nelson
2 ans

Est-ce le député, monsieur Ratenon, qui a commis cet attentat contre l'orthographe '''
(Bonjour, il s'agit d'une tribune libre donc nous ne faisons que relayer le texte sans le modifier cordialement - webmaster)

Dom
Dom
2 ans

Ce texte est-il plein de coquilles ' Ou est-il conforme à l'original '

mékoué
mékoué
2 ans

Ok pour la levée de l'urgence sanitaire. D'autant que la stratégie sanitaire proposée par les professeurs :Raoult, Perronne,Fouché..., n'a pas été testé, on ne saura pas si l'urgence sanitaire s'imposait réellement. En effet il est indéniable de constater que le "remdésivir" imposé entre autre n'a pas été à la hauteur des espérances escomptées. Maintenant à l'échéance du 15 septembre les personnels désignés qui ne se feront pas vacciner seront mis à pied et licencier s'ils persistent à refuser d'obtempérer à l'injonction vaccinale. Ce harcèlement et chantage édictés pour préserver son emploi relève de l'arbitraire, car le citoyen conformément au code sanitaire de Nuremberg de 1947 est libre de se faire soigner ou pas. De plus Monsieur le Député, vous n'êtes pas sans ignorer que dans ce département suite à vaccination des personnes jeunes et vielles, ont trépassé dans les jours qui suivirent cette injection d'ARNm. (A ce sujet les collectifs de protestation, battant pavés hebdomadairement, peuvent vous fournir la liste déjà conséquente de ces décédés) Bien que les explications officielles fournies après-coup prétendent que tout est question de "comorbidité préalable du patient et qu'il n'y a pas forcément de cause à effet avec le vaccin, même pour un jeune apparemment en bonne santé qui décède brusquement. A quand donc la nomination d'une commission d'enquête paritairement composée des : " pour et contre ", sur les directives sanitaires en cours, pour justifier ou pas le caractère indispensable de cette politique qui s'attaque aux libertés individuelles, car tout acte médical doit à priori être conseillé et non imposé de plus par chantage.