[EN DIRECT - PHOTOS/VIDEO] Les Réunionnais défilent en soutien aux Ukrainiens

Ukraine : l'évacuation de Marioupol de nouveau interrompue

  • Publié le 6 mars 2022 à 17:53
  • Actualisé le 6 mars 2022 à 19:56

11ème jour d'invasion de l'Ukraine par la Russie ce dimanche 6 mars 2022. Le bilan humain est impossible à vérifier de manière indépendante. Kiev fait état d'au moins 350 civils et plus de 9.000 soldats russes tués, sans mentionner ses pertes militaires, et Moscou évoque 2.870 morts côté ukrainien et 498 côté russe. Selon le nouveau bilan de l'ONU, plus de 1,5 million de réfugiés ont fui le pays en dix jours. Ce samedi, ce chiffre s'élevait à 1,37 million. Les bombardements s'intensifient sur la périphérie de Kiev. L'offensive russe a aussi repris après le report de l'évacuation de civils de deux villes assiégées. L'armée russe poursuit les bombardements sur la ville de Marioupol. Pour rappel celle-ci était sous un cessez-le-feu ce samedi, accord entre Kiev et Moscou. Les Russes n'ont pas tenu leur engagement et les civils n'ont pas pu être évacués. La deuxième tentative d'évacuation de Marioupol a été interrompue par la municipalité annonce la Croix-Rouge. Emmanuel Macron s'est entretenu avec Vladimir Poutine. Une troisième session de pourparlers entre l'Ukraine et la Russie se déroulera lundi, a annoncé samedi un membre de la délégation ukrainienne. Nous suivons l'évolution de la situation en direct (Photo : AFP)

  • C'est la fin de ce direct

    Nous mettons fin à ce live. Merci d'avoir suivi ce 12ème jour de conflit russo-ukrainien avec nous. Un autre direct sera ouvert demain pour suivre l'invasion de l'Ukraine. Bonne soirée zot tout !

  • Poutine atteindra ses objectifs "soit par la négociation, soit par la guerre"

    Vladimir Poutine a annoncé à Emmanuel Macron qu'il atteindra ses objectifs "soit par la négociation, soit par la guerre".

    Le Président russe a par ailleurs assuré au Président de la République qu'il n'avait pas l'intention d'attaquer les centrales nucléaires.  "Le président Poutine a dit qu'il n'était pas dans son intention de procéder à des attaques de ces centrales. Il a dit aussi qu'il était prêt à respecter les normes de l'AIEA pour la protection des centrales",rapporte BFMTV.

    La centrale de Zaporijjia avait été touché par des tirs russes dans la nuit de jeudi à vendredi.

    Vladimir Poutine "a nié" auprès de Macron que son armée prenait pour cible les civils ukrainiens.

  • Une centaine de personnes défilent pour la paix en Ukraine

    Une centaine de Réunionnais a défilé dans les rues de Saint-Denis puis s'est ensuite retrouvée à côté de la préfecture pour apporter leur soutien aux Ukrainiens, victimes de l'invasion russe. Plusieurs personnalités sont présentes : Maurice Gironcel, maire de Sainte-Suzanne (PCR) et président de la Cinor, Philippe Naillet, député (PS) de Saint-Denis et Élie Hoarau. secrétaire général du PCR. Plusieurs dirigeants syndicaux sont également présents. Les manifestants pacifiques demandent à ce qu'un cessez-le-feu soit immédiatement déclaré pour "ouvrir la voix au dialogue". Toutes les photos et vidéos sont à retrouver ici.

  • L’évacuation de Marioupol est de nouveau interrompue annonce la Croix-Rouge

    La municipalité de Marioupol a anonncé interrompre l'évacuation de Marioupol. C'est la deuxième fois que celle-ci ne peut avoir lieu. Ce samedi, Kiev et Moscou s'étaient accordés sur un cessez-le-feu pour que les habitants de la ville puissent être évacués en sécurité. Mais les forces militaires russes ont continué à la bombarder a expliqué le maire de Marioupol.

  • L'aéroport de Vinnytsia est complètement détruit annonce Zelensky

  • Le Chef d'état-major des armées est en Roumanie

    Le Chef d'état-major des armées est en compagnie de Florence Parly ministre des armées qui se trouve actuellement en Roumanie pour rendre visite aux troups de l'Otan, soldats français, belges et américains.

  • La relance du tourisme en Turquie stoppée en plein vol par la guerre

    Comme chaque dimanche, Noori Sani accueille ses vieux amis autour d'un kahvalti, le généreux petit déjeuner turc.

    Mais autour de lui, les tables de sa terrasse sont vides, son restaurant au pied de la Mosquée bleue, déserté. "On devrait faire le plein un jour comme ça... Et c'est pire à Antalya (station balnéaire dans le sud) disent mes amis", soupire le patron du Serbethane, dans le quartier historique d'Istanbul.

    En quelques jours, les Ukrainiens ont disparu et les Russes ont commencé d'annuler leurs réservations: l'écho de la guerre souffle un vent mauvais sur le tourisme en Turquie, qui représentait 10% du PIB avant la pandémie et commençait à peine à s'en relever, avec de belles perpectives pour la saison 2022.

    Devant la mosquée (ex-basilique) Sainte-Sophie, des groupes de touristes russes avancent encore d'un pas pressé derrière leur guide, la tête dans les épaules, déclinant toute interview.

    Mais d'Ukrainiens, on ne croise plus que des visiteurs échoués, comme ce jeune couple de Kiev "arrivé en touristes et transformé en réfugiés", qui cherche les larmes aux yeux à quitter le pays vers une destination tierce - "peut-être les Etats-Unis?".

    A eux seuls, les visiteurs des deux pays, qui ont fait d'Istanbul et des plages turques de Méditerranée (sud) ou de la Mer Egée (ouest) leur destination favorite, ont représenté plus d'un quart des touristes accueillis en 2021, selon le ministère de la Culture et du Tourisme.

    Les Russes (4,5 millions) en tête, devant les Allemands, et en troisième position les Ukrainiens (2 millions).

    "La Russie et l'Ukraine sont très importants pour notre marché. La guerre qui a éclaté entre eux nous rend tous nerveux ici, à la fois pour des raisons humaines et commerciales" confie à l'AFP Hamit Kuk, responsable de l'Association des Agences de voyages de Turquie (Tursab).

    "On attendait cette année 7 millions de Russes et 2,5 millions d'Ukrainiens... mais il va sûrement falloir revoir ces chiffres", prévient-il. "D'ordinaire, explique-t-il, les réservations pour l'été affluent en mars. Mais les demandes ont cessé".

    La suite est disponible ici

  • Plus de 1.000 personnes arrêtées en Russie

    Selon l'ONG OVDinfo, plus de 1.000 personnes ont été arrêtées en Ukraine en marge des manifestations qui se sont déroulées dans les villes Irkoutsk, Novosibirsk, Omsk et Ekaterinburg.

     

  • Un appel téléphonique est prévu entre Macron et Poutine

    C'est la chaîne BFMTV qui l'a annoncé, le président Emmanuel Macron va s'entretenir avec Vladimir Poutine sur l'invasion de l'Ukraine.

  • Les Russes se tournent vers le réseau chinois UnionPay

    Les géants des cartes bancaires Visa et Mastercard ont annoncé l'arrêt de leurs opérations en Russie. Les banques russes travaillent à l'émission de cartes bancaires du réseau chinois UnionPay. Les Russes qui se trouvent à l'étranger pourraient utiliser leur carte.

  • Les attaques contre les centres de santé se multiplient

    L'Organisation mondiale de la Santé confirme que les centres de santé ukrainiens sont de plus en plus visés par les tirs russes. L'OMS déplore de nombreux morts et des blessés. "D'autres rapports sont à l'étude. Les attaques contre des établissements de santé ou des travailleurs violent la neutralité médicale et constituent des violations du droit international humanitaire" précise l'OMS.

  • Les forces russes se préparent à bombarder le port d'Odessa selon Zelensky

    Selon le président ukrainien Volodymyr Zelensky, les forces russes se préparent à bombarder le port d'Odessa, située dans le sud du pays

  • Le point sur l'invasion de l'Ukraine par la Russie

    • Marioupol veut réessayer d'évacuer des civils

    Le port stratégique de Marioupol, assiégé par les troupes russes, a annoncé dimanche vouloir évacuer ses civils à partir de 10H00 GMT, au lendemain d'une tentative infructeuse à cause de la poursuite d'intenses bombardements.

    Au 11e jour de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, cette ville de 450.000 habitants est sous "blocus humanitaire" selon son maire Vadim Boïtchenko, qui évoque des "milliers de blessés" et affirme que "Marioupol n'existe plus".

    Les habitants n'ont ni eau, ni nourriture, ni chauffage, ni électricité, selon Médecins sans frontières. La chute de Marioupol constituerait un tournant, permettant la jonction entre les troupes en provenance de la Crimée annexée, qui ont déjà pris les autres ports clés de Berdiansk et de Kherson, et celles venues du Donbass.

    • L'armée russe s'approche de Kiev

    Les soldats russes se rapprochent également de Kiev, rencontrant une tenace résistance. D'intenses combats ont lieu dans la périphérie de la capitale, selon l'administration régionale ukrainienne, notamment autour de la route menant vers Jytomyr (150 km à l'ouest de Kiev), ainsi qu'à Tcherniguiv (à 150 km au nord de la capitale).

    Le ministère russe de la Défense a lui annoncé avoir "éliminé" près d'une centaine d'avions, 778 chars et véhicules blindés, et détruit l'aéroport de Starokonstantinov, à mi-chemin entre Kiev et Lviv (ouest).

    "L'ennemi a été stoppé à Kiev et Kharkiv (...) la situation (dans le pays) est sous contrôle", a assuré de son côté sur Facebook le ministre ukrainien de la Défense Oleksiï Reznikov.

    • Zelensky s'est entretenu avec Biden

    Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé dimanche sur Twitter s'être entretenu une nouvelle fois au téléphone avec son homologue américain Joe Biden pour discuter de "questions de sécurité", du "soutien financier pour l'Ukraine" et de "la poursuite des sanctions contre la Russie".

    • Médiation israélienne

    Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a lancé samedi une médiation avec des visites à Moscou puis Berlin et un entretien téléphonique avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Peu de détails ont filtré sur le contenu des discussions.

    • Menaces de Poutine

    Le président russe Vladimir Poutine a affirmé samedi que les sanctions imposées à son pays s'apparentaient "à une déclaration de guerre". M. Poutine a également mis en garde contre une éventuelle perte par l'Ukraine de son "statut d'Etat" si les autorités ukrainiennes ne changent pas de politique.

    • Troisième session de négociations

    Un troisième round de pourparlers entre l'Ukraine et la Russie se déroulera lundi, a annoncé samedi un membre de la délégation ukrainienne, David Arakhamia.
    Toutefois, la probabilité de parvenir à des accords paraît infime.

    • USA et Pologne étudient la fourniture d'avions soviétiques à l'Ukraine (presse)

    Les Etats-Unis "travaillent activement" à un accord avec la Pologne pour l'envoi d'avions de guerre à l'Ukraine, a déclaré dimanche le secrétaire d'Etat américain Antony
    Blinken lors d'une visite en Moldavie.

    •  Réfugiés: la Moldavie demande plus d'aide aux Etats-Unis

    Natalia Gavrilita, Première ministre de Moldavie, a appelé dimanche les Etats-Unis à fournir davantage d'assistance humanitaire pour aider son pays à accueillir les réfugiés fuyant l'Ukraine, lors d'une visite du Secrétaire d'Etat américain Antony Blinken.

    La Moldavie, l'un des pays les plus pauvres d'Europe, peuplé de 2,6 millions d'habitants, accueille actuellement 120.000 réfugiés fuyant l'Ukraine. Plus de 1,5 million de réfugiés ont fui l'Ukraine en dix jours, selon l'ONU, constituant la crise de réfugiés la plus rapide depuis la Seconde Guerre mondiale.

    • Visa, Mastercard et Paypal suspendent leurs services en Russie

    Les géants américains des cartes bancaires Visa et Mastercard, vont suspendre leurs opérations en Russie. Leurs cartes émises par les banques russes ne fonctionneront plus à l'étranger, et les cartes étrangères ne seront plus valables en Russie.

    Le système de paiements PayPal a également suspendu ses services en Russie. La banque centrale russe a demandé dimanche aux banques de ne plus rendre publics leurs bilans financiers.

    Les autorités russes multiplient les mesures tous azimuts pour freiner la fuite des capitaux et empêcher un mouvement de panique, si les banques venaient à manquer de liquidités.

    Et des banques russes ont annoncé dimanche travailler à l'émission de cartes bancaires du réseaux chinois UnionPay.

    • La Russie craint l'essor d'un marché noir alimentaire

    La Russie s'inquiète de l'apparition d'un réseau de revente de produits alimentaires de base, l'économie souffrant sous l'assaut des sanctions occidentales.

    Le ministère russe du Commerce et de l'Industrie a indiqué samedi soutenir des mesures de rationnement adoptées par la grande distribution, sans donner pour l'heure de directives.

    Plus d'informations ici

  • Les hackers se mêlent au conflit russo-ukrainien

  • Une protection temporaire pour les Ukrainiens fuyant la guerre sera mise en place

  • La situation à Marioupol est très critique

    La ville ukrainienne se retrouve sans gaz, électricité et internet coupés par les forces militaires russes.

  • Les bombardements ravagent les villes ukrainiennes

  • Plus de 1,5 million de réfugiés ont fui l’Ukraine en dix jours, selon l’ONU

    L’ONU a publié son nouveau bilan concernant l’invasion de l’Ukraine. Plus de 1 .5 million d’Ukrainiens ont fui le pays depuis le début de l’invasion russe

    "Plus de 1,5 million de réfugiés ukrainiens sont entrés dans les pays voisins en 10 jours – la crise de réfugiés à la croissance la plus rapide en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale" explique le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés Filippo Grandi.


     

  • En Russie les journalistes ont "une épée de Damoclès au-dessus de la tête" affirme Christophe Deloire

    Pour le président de Reporters sans frontières, le travail des journalistes en Russie est périlleux "C'est le signe que l'épée de Damoclès au-dessus de la tête des journalistes est tellement dangereuse qu'ils n'ont d'autre solution que de prendre cette décision".

  • La Moldavie demande plus d'aide aux USA pour accueillir les réfugiés

    Natalia Gavrilita, première ministre moldave a appelé les Etats-Unis à mobiliser plus de moyens humanitaire pour aider la Moldavie à accueillir les réfugiés ukrainiens. Une assistance humanitaire permettrait au pays de 2.6 millions d'habitants et qui fait partie des plus pauvres d'Europe, d'accueillir plus de réfugiés qui sont déjà 120.000 sur le territoire moldave.

    Il nous faut de l'aide pour faire face à un tel afflux, et nous en avons besoin très vite" a demandé Natalia Gavrilita, auprès d'Anthony Blinken, secrétaire d'Etat américain.

  • Les Occidentaux n'ont pas assez fait pour l'Ukraine selon Boris Johnson

    Le Premier ministre britannique affirme dans un billet publié dans le New York Times ce dimanche matin que "l'acte d'agression de Vladimir Poutine doit échouer et être vu comme tel". "En avons-nous fait assez pour l'Ukraine? La réponse est non" a-t-il ajouté.

    Selon lui, le président russe Vladimir Poutine "s'enfonce davantage dans une campagne sordide de crimes de guerre et de violences impensables contre les civils".

  • La banque centrale russe demande aux banques de ne plus publier leur bilan financier

    Les banques russes ne publieront plus leur bilan financier. C'est une demande formulée par la Banque centrale russe ce dimanche 6 mars 2022. "Il s'agit de limiter les risques pour les organisations de crédit du fait des sanctions des pays occidentaux" indique la Banque centrale russe. Les sanctions occidentales à l'encontre du pays envahisseur semblent donc porter leurs fruits. L'institution tente de bloquer la fuite des capitaux après que les banques russes soient retirées du système financier Swift.

  • Les Etats-Unis et la Pologne pourraient envoyer des avions soviétiques à l'Ukraine

    Les Etats-Unis et la Pologne sont acutellement en réflexion pour envoyer des avions de l'ère soviétique à l'Ukraine en échange d'avions de chasse américains F-16, rapporte BFM TV. Les deux pays discutent avec d'autres alliés de l'Otan.

    Le président ukrainien avait réitéré son appel aux Occidentaux pour qu'ils livrent une assistance militaire pour faire face à l'invasion russe.

  • La ville de Marioupol veut évacuer ses civils

    Après une première tentative d'évacuation ce samedi, la ville de Marioupol annonce vouloir en conduire une deuxième ce dimanche à partir de midi (heure locale). La ville est encore sous les bombardements intensifs des forces militaires russes. La première tentative d'évacuation avait échoué car Moscou n'avait pas respecté le cessez-le-feu permettant aux quelques 200.000 civils de quitter la ville.

  • Le Ministère de la Défense ukrainienne fait le point les pertes russes

    "Une guerre très dure. Avec de lourdes pertes de l'agresseur. Au matin du 6 mars, la Russie a perdu environ 11 000 militaires, environ 300 chars, plus de 40 avions et 48 hélicoptères. Des dizaines de systèmes d'artillerie ont été détruits. Les Ukrainiens ont fait tout cela en 10 jours. Et ils feront plus" a indiqué le Ministère de la Défense ukrainienne

  • Cette guerre de l'information que l'Ukraine gagne pour l'instant sur les réseaux

    Quelques heures après l'invasion de son pays, une Ukrainienne en veste noire et bonnet blanc insulte copieusement deux soldats russes en arme, filmée par un comparse. "Occupants", "fascistes !" Une spectaculaire incarnation de la volonté de son peuple de s'imposer aussi sur les réseaux sociaux.

    "Prenez ces graines et mettez-les dans vos poches. Comme ça, des tournesols pousseront quand vous reposerez tous ici", ironise-t-elle. A son image, c'est la guerre de l'information que l'Ukraine, selon plusieurs analystes, domine pour l'instant face à la Russie.

    Depuis onze jours, les contenus pro-Ukrainiens ont inondé la toile : un passant tente d'arrêter un char russe, les locaux hurlent de joie quand des hélicoptères présentés comme ennemis s'écrasent.

    Ils moquent des tanks atomisés marqués du "Z" blanc de l'envahisseur, raillent leurs cadavres. Des légendes invérifiables sont montées en épingle. Comme ce pilote ukrainien qui aurait abattu cinq, six, voire dix aéronefs ennemis.

    "Dans la première phase du conflit, pour l'opinion internationale, les Ukrainiens sont clairement devant dans l'information", affirme Baptiste Robert, fondateur de Predicta lab, une société française de lutte contre la désinformation.

    "Sur TikTok ou Telegram, c’est délirant, c’est fou furieux" de voir le nombre de contenus hostiles aux Russes, opine Damien Bancal, chercheur en cybersécurité.
    Ces derniers jours, à mesure que la Russie bombardait les villes ukrainiennes, les sanglots ont toutefois supplanté la bravade.

    "Ce qui est le plus fort, c'est que c'est organique", analyse Baptiste Robert. "Il y a une vraie volonté des Ukrainiens de documenter cette guerre. Quand il se passe quelque chose, ils sortent leurs téléphones."
    L'armée ukrainienne poste elle aussi les dommages infligés à l'ennemi.

    La suite est disponible ici

  • Les ressortissants français doivent quitter la Russie

    La France demande à ses ressortissants dont la présence n'est pas essentielle en Russie de quitter le territoire avant que cela ne soit plus possible

  • Un bataillon biélorusse combat aux côtés des Ukrainiens

  • La ville de Marioupol, victime des bombardements russes

    Le maire de Marioupol, ville ukrainienne toujours aux mains de l’armée russe, évoque d’importants dégâts. Les bombardements ont fait des "milliers de blessés". Selon l’édile les forces russes empêchent l’arrivée d’aliments et de médicaments. Moscou de son côté, accuse les "nationalistes" ukrainiens d'empêcher les civils de partir et d'avoir tenté de restaurer les défenses de l'armée pendant la trêve avortée, rapporte le Parisien.

     

  • Les missiles Stinger pourraient se retrouver entre les mains de terroristes selon la Russie

    Les missiles Stinger livrés par les pays occidentaux permettent aux Ukrainiens de faire front face à l'armée russe. Ils permettent d'abattre hélicoptères et autres véhicules aériens de l'armée russe. Le Ministère russe des Affaires Etrangères a demandé à l'Otan et à l'UE d'arrêter de livrer des armes ainsi que ce type de missile à l'Ukraine.

  • Le Canada demande à ses ressortissants de quitter la Russie

  • Les Ukrainiens d'Amérique se mobilisent pour aider leurs confrères et consoeurs

     

  • Florence Parly est attendue en Roumanie

    La ministre française des Armées est attendue en Roumanie ce dimanche 6 mars. Elle rendra visite aux troupes françaises mobilisés sur le territoire roumain dans le cadre de l'Otan. Des troupes belges sont également présents en Roumanie en plus des militaires américains.

    Florence Parly rendra visite aux troupes armées en présence du président Klaus Iohannis et du premier ministre Nicolae Ciucă.

     

  • L’armée ukrainienne se bat contre les Russes pour garder le contrôle des villes

    Les forces ukrainiennes "mènent de violents combats" a indiqué l’état-major ukrainien dans un communiqué publié sur Facebook ce dimanche matin. D’intenses combats ont lieu pour garder les villes de Mykolaïev, dans le sud, et de Tcherniguiv, dans le nord. Mais l’effort se concentre davantage sur Marioupol, toujours aux mains des Russes.

     

  • Des Ukrainiens fuient les combats et se réfugient sous un pont détruit

    Une foule d'Ukrainiens s'est réfugiée sous un pont détruit alors qu'il essayaient de fuir en traversant la rivière Irpin dans la périphérie de Kiev.

  • Boris Johnson présentera "un plan d'action international"

  • La Russie a envahi l'Ukraine depuis 11 jours déjà

    Retour sur les évènements qui ont marqué ces 10 derniers jours

  • La Banque alimentaire des Mascareignes se mobilisent pour les réfugiés ukrainiens

    Un appel aux dons est lancé par la Banque alimentaire des Masareignes pour venir en aide à la population ukrainienne et aux réfugiés. La Banque alimentaire des Mascareignes rentre dans le réseau européen des banques alimentaires. Les différentes Banques alimentaires du réseau européen se mobilisent pour déployer de l'aide l'aide logistique et alimentaire aux frontières de l'Ukraine pour les populations réfugiées. La Banque alimentaire des Mascareignes est elle aussi mobilisée.

    L'article est disponible ici

  • Tuer Vladimir Poutine, une des issues possibles selon un général français

    Le Général français Christophe Gomart ancien chef du renseignement, co-auteur de Soldat de l’Ombre était l'invité de RTL ce samedi 5 mars. Il estime que tuer Vladimir Poutine est "une des actions possibles" pour mettre fin à la guerre en Ukraine. L'émission est disponible ici. "Tuer les dicateurs a toujours un des objectifs de certains.  C'est une des actions possibles mais ce sera plus une révolution de palais interne à la Russie qu'une action extérieure" explique le Christophe Gomart.

  • Le président Volodymyr Zelensky a pu échangé avec plusieurs chefs d'Etat

    Le Premier ministre israélien a contacté le président Zelensky après sa réunion avec Vladimir Poutine. Naftali Benett et Volodymyr Zelensky se sont entretenus sur les sanctions à l'encontre de la Russie. Zelensky a pu ensuite s'entretenir une nouvelle fois avec le président américain Joe Biden. Ces derniers se sont exprimés sur les questions ds sécurité, les aides financières allouées à l'Ukraine ainsi que la continuité des sanctions à l'encontre de la Russie.

  • Des bâtiments de Kharkiv en proie aux flammes

  • Les forces russes "en pause opérationnelle"

    Les forces militaires russes pourraient être en "brève pause opérationnelle" et pourraient reprendre les opérations dans les heures ou jours à venir.

  • Les Etats-Unis voient une faille au Venezuela

    Le président Maduro est un fervent soutien du Russe Vladimir Poutine. Les Américains vont tenter de "creuser un fossé" entre les deux chefs d'Etat en profitant des sanctions imposées à la Russie. Les Etats-Unis pourraient profiter de la guerre en Ukraine pour renouveler leur présence au Venezuela alors allié à la Russie.

  • Le point sur les méidas qui ont cessé leurs activités en Russie

  • La défense aérienne ukrainienne abat un missile russe

    La défense aérienne ukrainienne a a abattu un missile russe avant que celui-ci atteigne sa cible

  • Les villes ukrainiennes meurtries par les bombardements

    Les bombardements russes ont détruit plusieurs villes sur le territoire ukrainien. Les habitants craignent pour leur vie et tentent de fuir les zones de combat.

    🎥 @ArmanSoldin #AFP pic.twitter.com/AB3bibKXP0

  • Le nombre de réfugiés est encore en augmentation

    Selon le denrier point de l'ONU publié ce samedi, près d'1,37 million de réfugiés ont fui l'Ukraine depuis le début de l'invasion du pays par les forces militaires russes. Ce chiffre est en constante augmentation à cause de la situation critique de l'Ukraine

  • Visa et Mastecard suspendent leurs opérations en Russie

    Les géants de cartes bancaires ont suspendu toutes leurs opérations sur le territoire russe en réponse à l'invasion de l'Ukraine. Il ne sera plus possible de faire des transactions bancaires dans les jours qui suivent. Il sera également impossible de faire des opérations En Russie avec des cartes émises à l'étranger.

  • Des journalistes Sky News pris dans un guet-apens, blessés par les balles

    Alors qu'une équipe de la chaîne britannique Sky News tournait un reportage à Kiev, ces derniers sont tombés dans un guet-apens.  L'équipe qui a été attaquée en début de semaine alors qu'ils étaient en voiture sont sains et saufs. Un a été touché dans le bas du dos, et l'autre a heureusement été protégé par son gilet pare-balles. Les journalistes ont été rapatriés. Leurs images ont été diffusées par Sky News.  La vidéo est disponible ici

  • Manifestations de soutien à l'Ukraine

    De Paris à Londres, Rome ou Zürich, des dizaines de milliers de manifestants sont de nouveau descendus samedi dans les rues de grandes villes européennes, pour dire "stop" à la guerre et protester contre l'invasion de l'Ukraine par la Russie.

    Plus de 40.000 personnes se sont rassemblées ce samedi

    Selon le ministère de l’Intérieur, plus de 40.000 personnes ont défilés en France en soutien à l’Ukraine. "Sauvez l’Ukraine" et "Poutine assassin" sont les slogans scandés par les manifestants parmi les drapeaux jaune et bleu. Ils étaient environ 16.000 à Paris. A Lyon des personnes se sont rassemblées sur la place Bellecour pour exprimer leur soutien àau présidentVolodymyr Zelenski, et à la population ukrainienne, vicitmes de bombardements russes depuis le début de la crise. A Marseille quelques 500 personnes ont manifesté sur le Vieux-Port.

    A La Réunion, une marche de soutien pour les Ukrainiens est organisée ce dimanche 6 mars à Saint-Denis à partir de 17h.

  • Poutine menace de priver l'Ukraine de son "statut d'Etat"

    L'armée russe maintenait dimanche la pression sur le sud de l'Ukraine et sur Kiev au onzième jour de l'invasion, le président Vladimir Poutine menaçant de priver le pays de son "statut d'Etat" et comparant les sanctions internationales qui frappent la Russie à une "déclaration de guerre".

    Vladimir Poutine a averti que l'Ukraine pourrait perdre son "statut d'Etat" si elle continuait à refuser de céder aux exigences russes. Moscou réclame notamment un statut "neutre et non nucléaire" pour l'Ukraine et sa démilitarisation, ce que Kiev, qui cherche à adhérer à l'Union européenne et à l'Otan, juge inacceptable.

    Les autorités ukrainiennes "doivent comprendre que si elles continuent de faire ce qu'elles font, elles mettent en question l'avenir du statut d'Etat ukrainien. Et si cela se passe, elles en seront entièrement responsables", a déclaré M. Poutine au cours d'une rencontre samedi avec des employées des compagnies aériennes russes à l'occasion de la prochaine Journée de la femme, une des fêtes les plus célébrées dans le pays.

    Lire la suite de l'article ici

  • Environ1,37 million de personnes ont déjà fui l'Ukraine, selon l'ONU

    Les bombardements russes sur l'Ukraine ont jeté sur les routes de l'exode des centaines de miliers de personnes. 1,37 million d'habitants ont ainsi déjà fui l'Ukraine, selon l'ONU.

    L'assaut initial des forces russes sur Kiev, lancé avec des frappes de missiles et un assaut aérien sur une base aérienne, avait cessé à la fin de la semaine dernière.

    Les deux camps se cantonnaient depuis à une guerre de bombardements à longue portée le long de la périphérie de Kiev, plaçant dans la ligne de mire Bucha et Irpin , dont beaucoup d'habitants étaient résolus à rester - jusqu'à ce que des avions de guerre russes commencent à tourner au-dessus de leurs têtes et à larguer des bombes vendredi, racontent ceux obligés de fuir.

    "Des avions de guerre. Ils bombardent les zones résidentielles -- écoles, églises, grands immeubles, tout", pointe Natalia Dydenko, une comptable de 58 ans, avec un dernier regard sur le paysage de destruction qu'elle laisse derrière elle.

    Elle fait partie des milliers d'habitants fuyant le front vers le centre de Kiev avec leurs enfants et, pour tout bagage, les maigres effets personnels qu'ils sont parvenus à empaqueter et emporter avec eux.

    Le bruit répété des bombes russes lâchées par des avions survolant Bucha et Irpin ponctue cet exode désespéré. "Ça a commencé il y a deux jours. Ce n'était pas aussi intense avant. Mais il y a deux jours, ça a commencé à devenir vraiment intense", dit Natalia Dydenko.

    Certains riverains n'ont pas d'autre choix que d'emprunter les décombres d'un pont franchissant la rivière Irpin en direction de la capitale que la défense ukrainienne avait fait sauter la semaine dernière pour bloquer l'avancée russe. Des retraités en fauteuil roulant et des mères de famille avec des poussettes se font aider pour traverser sur un précaire passage en planches de bois par des soldats ukrainiens, fusils d'assaut à l'épaule.

    Des milliers d'autres personnes, massées dans un silence de pierre sous ce qu'il reste du pont en béton, attendent leur tour pour passer.
    Sur l'autre rive, la plus proche de Kiev, un groupe de soldats creuse une rampe de lancement de missiles anti-chars. D'autres militaires préparent un approvisionnement en mortiers et en Kalashnikov pour les acheminer vers le front.

    La suite du reportage est ici

  • "La ville de Marioupol n'existe plus", l'armée russe poursuit son offensive

    Selon un rapport de l'état-major ukrainien publié dimanche sur Facebook, l'armée russe poursuivait son offensive, "concentrant ses principaux efforts sur les environs des villes de Kiev, Kharkiv (est) et Mykolaïv (sud)".

    La situation est "très difficile" à Marioupol, soumise à "un blocus humanitaire" et à d'intenses bombardements, a affirmé pour sa part le maire de ce port stratégique du sud-est du pays assiégé par les forces russes. "Cela fait cinq jours que nous vivons sans électricité, nous n'avons pas de chauffage ni de réseau mobile", a raconté le maire, Vadim Boïtchenko, dans une interview diffusée samedi soir sur YouTube.

    Selon lui, les bombardements des derniers jours ont fait des "milliers de blessés" et les forces russes empêchent l'arrivée d'aliments et de médicaments. "La ville de Marioupol n'existe plus", a-t-il lancé. "Je demande à nos partenaires américains et européens: aidez-nous, sauvez Marioupol!"

    La chute de Marioupol, ville d'environ 450.000 habitants, constituerait un tournant. Elle permettrait la jonction entre les troupes en provenance de la Crimée annexée, qui ont déjà pris les autres ports clés de Berdiansk et de Kherson, et celles du Donbass, puis à ces forces consolidées de remonter vers le centre et le nord de l'Ukraine.

    Les soldats russes se rapprochent également de Kiev, rencontrant une tenace résistance. Des dizaines de civils ont été tués ces derniers jours à Tcherniguiv, à 150 km au nord de la capitale.

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  • Pour Poutineles sanctions internationales sont une "déclaration de guerre et une  zone d'exclusion aérienne serait "une participation au conflit"

    Le président Vladimir Poutine a comparé les sanctions internationales qui frappent la Russie à une "déclaration de guerre"."Ces sanctions qui sont mises en place, cela s'apparente à une déclaration de guerre", a-t-il affirmé. "Mais Dieu merci, on n'en est pas encore arrivé là", a-t-il ajouté.

    Vladimir Poutine mis en garde l'Occident contre la tentation d'imposer une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine, une mesure que Kiev réclame avec insistance mais à laquelle l'Otan se refuse pour ne pas se retrouver entraînée dans un affrontement direct avec la Russie.

    L'instauration d'une zone d'exclusion serait considérée par Moscou "comme une participation au conflit armé de tout pays" dont le territoire serait utilisé pour "créer une menace envers nos militaires", a prévenu M. Poutine.

    Aeroflot a pour sa part annoncé la suspension de ses vols internationaux à partir du 8 mars. Le régulateur de l'aviation russe, Rossaviatsia, a recommandé à toutes les compagnies du pays de cesser les vols vers l'étranger afin d'éviter la saisie de leurs appareils, dont une grande partie appartiennent à des compagnies de leasing occidentales.

     

  • Bilans humains incertains

    Après dix jours de guerre, le bilan est impossible à vérifier de manière indépendante. Kiev fait état d'au moins 350 civils et plus de 9.000 soldats russes tués, sans mentionner ses pertes militaires, et Moscou évoque 2.870 morts côté ukrainien et 498 côté russe.

    Quelque 1,37 million de personnes ont déjà fui l'Ukraine, selon l'ONU.

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  • Bonjour La Réunion

    La guerre se poursuit en Ukraine où l'armée russe continue de bombarder le pays. Nous suivons l'évolution de la situation en direc.

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À propos

1.368.864 ont fui l'Ukraine, le nombre de réfugiés pourrait encore augmenter

Cela fait maintenant 11 jours que la Russie a envahi l’Ukraine. Les forces militaires gagnent toujours du terrain. La ville de Marioupol dont le port est sous blocus est encerclée. Si Kiev et Moscou se sont accordés sur un cessez-le-feu pour évacuer la ville, l’engagement n’a pas été tenu du côté russe. Cette évacuation aurait permis à plus de 200.000 Ukrainiens de quitter la ville en sécurité. Vladimir Poutine n’a donc pas tenu son engagement une situation qui ne présage rien de bon en cas de nouveaux pourparlers.

Alors que ce cessez-le-feu était en vigueur à Marioupol, l’armée russe bombardait la ville c’est ce qu’explique le maire Vadim Boïtchenko qui accuse les militaires russes d’avoir violé à de nombreuses reprises le couvre-feu. "Les Russes continuent de nous bombarder et d'utiliser de l'artillerie, c'est de la folie !" a déclaré le maire-adjoint de la ville, Serhiy Orlov à la BBC.

Les tensions s'intensifient

La Russie est sur le point de déployer plus de 1.000 mercenaires selon CNN. Certains d’entre eux pourraient déjà être mobilisés à certains endroits. En déployant d’autres mercenaires Vladimir Poutine confirme donc son désir de s’emparer de l’Ukraine par tous les moyens possibles. Des journalistes de Sky News ont d’ailleurs essuyé les tirs de forces spéciales russes.

La centrale nucléaire de Zaporojie, la plus grande centrale atomique d'Europe est toujours aux mains des soldats russes. Alros que ces derniers tiraient à proximité du bâtiment, les employés de la centrale les ont interpellés pour qu'ils arrêtent les bombardements.

Les bourses mondiales dégringolent

Les Bourses mondiales sont impactées de plein fouet par la guerre en Ukraine. Les bourses européennes ont chuté : Paris a chuté de 4,97% à 6.061,66 points, Francfort de 4,41% et Milan de 6,24%, bouclant leur pire séance et leur pire semaine depuis l'annonce du premier confinement en mars 2020. Sur la semaine, elles perdent plus de 10% chacune. Londres, plus résistante depuis le début de l'année, a lâché 3,48% sur la journée. La Bourse de New York a reculé plus modestement, l'économie américaine étant moins exposée à la Russie: le Dow Jones a perdu 0,53%, le Nasdaq a lâché 1,66% et le S&P 500, 0,79%.

Lire aussi – Ukraine : les Bourses mondiales dégringolent, inquiètes d’une possible récession

Les sanctions
Le secrétaire d’Etat américain Anthony Blinken est arrivé en Pologne ce samedi 5 mars. Il s’est entretenu avec les hauts responsables du pays. C’est le plus haut responsable américain à se rendre en Pologne depuis le début de la guerre. L’Américain doit faire une tournée des alliés clés en Europe « qui subissent la pression de la guerre, afin de montrer le soutien de Washington à leur sécurité et de renforcer l'unité occidentale contre Moscou. Après la Pologne, il se rendra en Moldavie"indique BFM TV.

Les sanctions à l'encontre de Poutine semblent être un vrai jeu d'équilibriste. La diplomatie est toujours sur la table mais elle semble être insuffisante par rapport à la situation. Poutine continue son offensive sur l'Ukraine.

Le sénateur américain Lindsey Graham n'a pas pris de détour: il a appelé "quelqu'un en Russie" à assassiner le président Poutine. "Nous ne plaidons pas pour l'assassinat du dirigeant d'un pays étranger ou pour un changement de régime. Ce n'est pas la politique des Etats-Unis", a sèchement balayé vendredi la Maison Blanche.

Pour limiter les frappes russes sur Kiev et d'autres villes, le président ukrainien Volodymyr Zelensky implore l'Otan d'instaurer une zone d'exclusion aérienne au-dessus de son pays. Mais pour l'instant, c'est une ligne rouge infranchissable pour l'Alliance transatlantique, dont l'Ukraine n'est pas membre. Mais Vladimir Poutine se montre menaçant face à cette possible sanction "Tout pays imposant une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine serait partie au conflit"

Lire aussi - Sanctions, exclusion aérienne, diplomatie: l'équation difficile des Occidentaux pour stopper Moscou

L'association Reporters sans frontières a d'ailleurs saisit la Cour pénale internationale pour le bombardement de plusieurs antennes de télévision en Russie, une atteinte à la liberté d'expression et à la liberté de la presse.

Une marche de soutien pour les Ukrainiens est organisée ce dimanche 6 mars à Saint-Denis à partir de 17h.

www.ipreunion.com /redac@ipreunion.com avec AFP

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