Campagne électorale

Présidentielle : les soutiens d'Emmanuel Macron réunis à Saint-Paul

  • Publié le 12 mars 2022 à 16:53
  • Actualisé le 4 avril 2022 à 12:19

Les soutiens d'Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle sont réunis ce samedi 12 mars 2022 au restaurant Paul, à Savannah (Saint-Paul). A l'occasion de cette conférence, les élus réunionnais ayant parrainé le candidat sont accompagnés des représentants des comités locaux appuyant sa candidature. Tous présentent les raisons de leur soutien. (Photos rb/www.ipreunion.com)

  • C'est la fin de ce live, merci à tous de l'avoir suivi

  • Un soutien sans programme complet

    Bien que le candidat n'ait pas encore officiellement déclaré son programme, "il a déjà commencé à le décliner" estime Nassimah Dindar, notamment pour les retraites. Le programme complet sera disponible vers la fin de la semaine prochaine, annonce Eric Leung. "C'est un travail de longue haleine, effectué depuis de longs mois" ajoute-t-il.

  • Deux maires absents pour cause d'agenda

    Le maire du Tampon André Thien Ah Koon et le maire de Sainte-Rose Michel Vergoz sont absents et se sont excusés. Ils ne pouvaient pas se déplacer physiquement, assure Eric Leung, mais soutiennent complètement ce rassemblement.

  • "Le Président a su tenir la barre en bon capitaine" lance Michel Dennemont

    Le sénateur Michel Dennemont prend la parole. "En 2017, les journalistes étaient plus nombreux que nous les élus. Nous rasions les murs. Emmanuel Macron a eu un lancement difficile" concède-t-il alors que le mouvement La République en marche a peiné à convaincre les électeurs réunionnais.

    Le Président a soutenu le pouvoir d'achat, maintient le sénateur. "Je pourrais vous exposer toutes les mesures réalisées sous son mandat. Le Président a fait le job, il a su tenir la barre en bon capitaine. On a pas besoin d'un capitaine de pédalo mais d'un commandant de porte-avions. Et Emmanuel Macron se présente avec un projet solide."

    Emmanuel Macron porte quatre pactes : européen, avec les générations, pour l'emploi, et républicain. Le programme complet du candidat sera prochainement connu, affirme Michel Dennemont.

    Concernant la NRL, "nous avons toujours été pour la NRL, mais contre l'amateurisme et la gabegie". Michel Dennemont salue le soutien de l'Etat sur ce chantier.

    "J'appelle les Réunionnais à voter le 10 avril et faire dès le premier tour le bon choix avec Emmanuel Macron."

  • "Il reste beaucoup à faire" explique Nassimah Dindar

    La sénatrice Nassimah Dindar prend la parole et souhaite parler du logement. "Je souhaiterais que les Réunionnais votent pour Emmanuel Macron, par son bilan positif malgré deux crises majeures, celles des gilets jaunes et du Covid, qui ont quand même fracassé le pays."

    La sénatrice cite "la prime d'activité pour les bas salaires, les contrats d'apprentissage (8.000 signés à La Réunion). Tout ça, ce sont des choses qui ont été faites, dites, accompagnées. C'est le cas de l'augmentation du minimum vieillesse, de l'AAH... Même si on sait que le plan social il reste beaucoup à faire."

    Elle évoque "le logement, le créole dit : moi j'attends toujours un logement, je paye toujours cher mon logement. Nous avons évoqué avec lui la baisse des APL. Nous ne sommes pas logés à la même enseigne à La Réunion, nous voulons les mêmes APL que la zone A à Paris. En France métropolitaine, l'aide à la personne existe, nous demandons qu'il soit identique à La Réunion."

    Nassimah Dindar parle d'Emmanuel Macron comme un Président qui "donne la possibilité aux élus d'agir", notamment dans le cadre de l'agriculture. "Sa vision va bien plus large que les territoires. Il faut un vrai plan de relance sur la question des logements, nous n'avons pas construit assez de logements nécessaires pour répondre aux demandes des Réunionnais."

    La vision du "Président candidat" est connue, via quatre pactes, "dont le pacte générationnel, avec un volet sur l'éducation, là où il a réussi avec le dédoublement des classes, mais nous devons aller au-delà, nous voulons que sur l'université nous retrouvions les moyens de notre rayonnement".

    Réforme des retraites, sport à l'école, santé... Emmanuel Macron se penche sur des sujets de proximité majeurs. Dans le cadre du plan Ségur, "il faut passer au coefficient supplémentaire. Quelles que soient nos couleurs partisanes, il faut aussi développer les hauts, les bas". Emmanuel Macron est "un Président qui sait entendre nos propositions" note-t-elle. "Autour de cette table et derrière nous, ça fait plaisir de voir qu'il y a autant d'élus qui soutiennent Emmanuel Macron, un bon Président pour la France et un bon Président pour le monde. Nous avons besoin d'un homme qui saura prendre les bonnes décisions au moment où il faut le faire."

  • "Le programme proposé en 2017 a été réalisé à 75%" assure Bachil Valy

    Bachil Valy, maire de l'Entre-Deux et référent de La République en marche à La Réunion, prend la parole. "Depuis 2017, nous avons toujours été convaincu du bien-fondé des orientations voulue du Président. Certains m'ont même traité de fou. Nous sommes là pour aller de l'avant."

    Bachil Valy commence par le mot "héritage" : "le Président a hérité d'une situation économique, sanitaire, sur le chômage... des sujets laissés pour compte. On a voulu qu'avec un nouveau Président on trouve des situations immédiates. Le programme proposé en 2017 a été réalisé à 75%. Les promesses ont été tenues, le programme a été réalisé, le bilan est bon".

    Il ajoute : "on a parlé du Président des riches, c'est une caricature. Mais la réponse est là aujourd'hui, dans le bilan : le Président a été à la hauteur, il est dans la consicence, dans l'action. Il a cette dimension humaine en lui, la main sur le coeur". Bachil Valy cite plusieurs exemples d'actions réalisées : "près de 221.000 foyers réunionnais ne payent plus la taxe d'habitation, la revalorisation de 100 euros par mois de l'allocation handicap, la revalorisation des retraites agicoles a minima de 85% du SMIC, la baisse du chômage... Il y a eu une prise en compte des attentes de la population."

    Le maire affirme qu'il a "la reconnaissance du ventre" : "je suis un fervent défenseur de la ruralité, du terroir... Le Président de la République m'a dit : ok monsieur le maire, faites des propositions et nous vous accompagnerons. Là encore les promesses ont été tenues : c'est pas Paris qui décide, c'est nous qui décidons".

    Bachil Valy invite à "jouer collectivement" : "soyons matures, soyons réfléchis". "J'ai testé Macron, j'approuve et je vote Macron et pour cinq ans de plus."

  • "Je suis Gaulliste et je m'engage aux côtés d'Emmanuel Macron" déclare Richard Nirlo

    Richard Nirlo, maire de Sainte-Marie, prend la parole. "Il est important de ne pas minimiser cet engagement" déclare-t-il en parlant de l'élection. Il souhaite d'abord "rassurer les esprits chagrins" : "vous m'avez connu Gaulliste, mais je peux et je veux vous annoncer que je n'ai pas perdu une once de ce grand esprit de rassemblement, de cohésion nationale, au service d'un projet d'avenir, et ce projet c'est bien évidemment La Réunion et cette grande nation qu'est la France."

    Le maire de Sainte-Marie appelle à valoriser le dialogue, sans "arrangements d'arrière-cuisine". "Oui je suis Gaulliste et je m'engage aux côtés d'Emmanuel Macron." Il salue également l'engagement de Sébastien Lecornu, ministre des Outre-mer, avec "une écoute active et une grande disponibilité de l'Etat".

    Richard Nirlo cite le plan France Relance, le soutien fiscal aux entreprises, l'accompagnement de l'agriculture péi, le tourisme durable, l'élargissement du bouclier qualité prix, la recentralisation du RSA...

    "J'ai pu échanger avec Emmanuel Macron et je sais toute la considération qu'il porte pour les élus locaux", "les actions fortes en faveur de nos communes" le montrent selon lui. "C'est bien ensemble que nous devons porter la voix et l'espérance de notre territoire, pour représenter la France à sa juste valeur." Richard Nirlo soutient "sans réserve" la candidature d'Emmanuel Macron, "je pense qu'il est l'homme de la situation, l'homme qui rassure, qui défend notre grande Nation, qui défend aussi l'Europe. Nous avons besoin d'unité."

  • "C'est un Président qui nous écoute" estime Serge Hoareau

    Serge Hoareau prend la parole. "Nous savons que la France a rendez-vous avec son histoire. Les 10 et 24 avril prochains nous aurons un temps fort de notre démocratie. Quand c'est l'intérêt commun qui nous anime, on est prêt à travailler avec tout le monde, avec une ambition : oeuvrer pour notre territoire."

    Le maire de Petite Ile, vice-président du Département et président de l'association des maires insiste sur l'importance de l'agriculture et la ruralité. Serge Hoareau rappelle qu'il a reçu le Président de la République. "Il a repris Agripéi 2030, le projet agricole de La Réunion. Il y a trouvé un projet construit avec l'ensemble des producteurs agricoles." Au salon de l'agriculture, le chef de l'Etat n'est "pas resté longtemps, 45 minutes. Mais il a donné 1mn30 à La Réunion. Voilà un Président qui fait confiance".

    Serge Hoareau aussi salue la recentralisation du RSA, comme Cyrille Melchior, ou encore le projet du viaduc pour terminer la NRL du côté de la Région. L'Etat soutient cette option et va la financer à hauteur de 420 millions d'euros. "C'est un Président qui nous écoute et a le souci de l'équité."

    Serge Hoareau avait signé une tribune avec 600 élus pour appeler à soutenir Emmanuel Macron. "Aujourd'hui nous avons des frémissements de reprise" note-t-il, sur le plan économique. "Oui, sans hésiter, j'ai parrainé la candidature d'Emmanuel Macron pour cette élection présidentielle. La France a retrouvé sa voix dans le concert des Nations."

  • "Préserver" ce qui a été accordé par le gouvernement, selon Patrice Selly

    Patrice Selly prend la parole. Le maire de Saint-Benoît et fondateur du parti Banians cite l'exemple d'un couple de retraités du quartier de l'Abondance à Saint-Benoît. "Ils m'ont posé la question : monsieur le maire, vous soutenez Macron, expliquez-nous pourquoi. Je leur ai rappelé qu'à Saint-Benoît les comptes étaient dans le rouge. Notre premier chantier c'était le redressement des finances et le premier partenaire, c'était le gouvernement. Sans ce soutien, des services communaux auraient été perturbés." Il salue un partenariat qui a "bénéficié au peuple de Saint-Benoît".

    Le maire de Saint-Benoît et président de la Cirest, interco de l'Est, veut que "ce qui nous a été accordé [soit] préservé".  Il donne également l'exemple des heurts ayant eu lieu à Bras Fusil et le soutien de l'Etat, venu sur place, et ayant donné des moyens. 5 millions d'euros vont aussi être injectés dans le GHER, via le Ségur de la Santé instauré par le gouvernement.

    "Gauche, droite, centre, peu importe... Réunionnais avant tout" ajoute-t-il. Il appelle à être "au rendez-vous de l'histoire". "Il y a de plus en plus de Réunionnais aujourd'hui qui se disent : il faut garder ce que l'on a gagné et gagner encore plus. Continuons d'avancer."

  • "Sur le fond comme de la méthode, je trouve que c'est l'homme de la situation" déclare Cyrille Melchior

    Cyrille Melchior prend la parole. "Nous sommes à un mois d'une élection majeure pour notre pays" rappelle le président du Conseil départemental. "Il nous convient de faire le bon choix." Pour rappel, le président du Département a décidé de soutenir Emmanuel Macron et non pas la candidate des Républicains Valérie Pécresse. Il a annoncé son soutien lors de la visite du ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu.

    "Lorsque le Département n'avait plus les moyens de porter ses actions sociales, si l'Etat ne reprend pas sa place en terme de solidarité ne vous étonnez pas qu'il y ait des crises sociales. Et le président Macron m'a répondu favorablement sur la reprise du RSA, un acte politique majeur. Il a redonné à La Réunion une capacité d'agir dans le domaine de l'action sociale" déclare Cyrille Melchior.

    "Emmanuel Macron fonctionne un peu comme je fonctionne, au-delà des clivages politiques et des esprits partisans. On a besoin de ça aujourd'hui car les crises se succèdent" ajoute-t-il alors que la guerre en Ukraine est une nouvelle crise majeure à affonter. "Sur le fond comme de la méthode, je trouve que c'est l'homme de la situation."

     

  • 20 parrainages pour Emmanuel Macron à La Réunion

    Éric Leung, correspondant opérationnel de campagne d’Emmanuel Macron à La Réunion, prend la parole. "J'analyse, il faut dire la vérité", dit-il, soutenant le bilan d'Emmanuel Macron. Il cite un "net recul du chômage, un soutien pour les familles en temps de pandémie". Il affirme qu'Emmanuel Macron soutient également les Outre-mer.

    Il rappelle que 20 élus ont soutenu Emmanuel Macron à La Réunion, contre 7 en 2017. Parmi ces 20 soutiens, 6 maires. Deux parlementaires, présents, soutiennent également le candidat : les sénateurs Nassimah Dindar et Michel Dennemont. Neuf conseillers départements et trois conseillers régionaux viennent compléter ce tableau.

    "Nous sommes de plus en plus nombreux à dire qu'Emmanuel Macron est la meilleure chance pour l'île de La Réunion."

  • De nombreux élus rassemblés

    De nombreux élus réunionnais soutenant le président sortant sont présents : le président du Département Cyrille Melchior, le maire de Sainte-Marie Richard Nirlo, le maire de Saint-Benoît Patrice Selly, le maire de l'Entre-Deux Bachil Baly, le maire de Petite Ile et président de l'association des maires Serge Hoareau, la sénatrice Nassimah Dindar ou encore le sénateur Michel Dennemont.

  • Bonjour, nous ouvrons ce live pour suivre la conférence des soutiens d'Emmanuel Macron

À propos

Les soutiens d'Emmanuel Macron réunis à Saint-Paul

Les soutiens d'Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle se réunissent ce samedi 12 mars 2022 au restaurant Paul, à Savannah (Saint-Paul). Tous les partis et des élus l'ayant parrainé sont présents.

A l'occasion de cette conférence, les élus réunionnais seront aussi accompagnés des représentants des comités locaux appuyant sa candidature. Tous présenteront les raisons de leur soutien.

Pour rappel, le Président de la République a annoncé sa candidature officielle à sa succession vendredi 4 mars 2022 dans la presse écrite et dès le jeudi 3 mars au soir par la diffusion de sa lettre sur le web. Le 4 mars était la date limite pour se déclarer candidat. A ce stade, Emmanuel Macron cumulait déjà les 500 parrainages nécessaires, avant même d'être officiellement candidat, bien que son annonce n'était pas une surprise.

Lire aussi - Emmanuel Macron en campagne malgré la guerre en Ukraine

Dans sa "lettre aux Français" publiée le 4 mars dans les titres de presse régionale, Emmanuel Macron déclarait : "je sollicite votre confiance pour un nouveau mandat de Président de la République (...) Je suis candidat pour inventer avec vous, face aux défis du siècle, une réponse française et européenne singulière. Je suis candidat pour défendre nos valeurs que les dérèglements du monde menacent. Je suis candidat pour continuer de préparer l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants. Pour nous permettre aujourd’hui comme demain de décider pour nous-mêmes".

Le candidat qui brigue un second mandat a déjà reçu à ce stade de nombreux soutiens, de tous camps politiques. A La Réunion nombreux sont les élus appuyant sa candidature. A La Réunion, Emmanuel Macron a reçu 20 parrainages officiels.

 

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14 Commentaires
Papillon diurne
Papillon diurne
2 ans

Lorsque vous serez exemplaire sur la gestion de vos collectivités locales, peut-être qu'on accordera un peu plus de crédit à vos paroles, éventuellement on écoutera un peu votre penchant et/ou vos sensibilités politiques ! Quant à mon choix, notamment en ce qui concerne tout particulièrement l'élection présidentielle en France, là, laissez-moi mon libre arbitre, je suis assez "grand" pour me faire mon opinion...sur le sortant !

Vira et compagnie nou veut pi
Vira et compagnie nou veut pi
2 ans

En politique il faut avoir des convictions et il faut être compétente. Vira et compagnie nou veut pi.

Romuald
Romuald
2 ans

Remarquez dans la bande des soutiens à Macron la présence d'un pharmacien (ça connaît les fins de mois difficiles un pharmacien !), un maire surrémunéré et condamné par la justice et une sénatrice ex-présidente du Conseil départemental. Pour rappel : Les sénateurs, dans l'exercice de leur fonction, ont droit à différents moyens matériels et financiers. Il perçoivent tous les mois une " indemnité parlementaire " d'un montant net de 5 246,81 euros. Soit une indemnité d'un montant de 7 100,15 euros brut par mois. Ils touchent également une " indemnité représentative de frais de mandat " d'un montant mensuel de 6 109,89 euros (au 1er Février 2017). Quel est le montant de la retraite d'un sénateur français, une fois son mandat terminé 'Selon les informations indiquées par le Sénat sur son site, un sénateur français touche une pension moyenne de 3856 euros.Ces soi-disant " représentants du peuple " au train de vie plus que confortable, qui ne connaissent pas les cadences et les conditions de travail infernales des travailleurs d'usine, des infirmières ou des ouvriers du BTP, eux qui sont bichonnés par l'État, sont-ils bien placés pour décider du sort des travailleuses et travailleurs payés à coup de lance-pierre toute leur vie et épuisés bien avant l'âge de 60 ans 'Ces nantis devraient être payés au prix d'un salarié moyen. Ils en rabattraient alors sur leur prétention à décider du sort de celles et ceux qui ont tiré le diable par la queue toute leur vie et aspirent à profiter d'une retraite bien méritée et qui leur permette de vivre !

La raclée à St André
La raclée à St André
2 ans

Kan tu vois qui soutiens macron a St André, tu te dis la raclée n'est pas très loin à St André.

Ernestine
Ernestine
2 ans

Le paquet de vendus! combien de maires ou parlementaires au final qui n'apportent pas pas son soutien à leur seigneur et maître' Et mon vendu de maire qui s'agenouille devant son dieu parce qu'il a obtenu quelques millions d'euros pour Saint-Benoît. Comme si c'était par bonté d'âme qu'on lui a accordé cet argent. Et comme convenu, il se met en mode carpette. Bientôt, il va nous demander de voter aussi pour son seigneur et maître. Je suis juste dégoûtée. Et dire que je paye des impôts dans cette commune de merde. Il ne faudrait pas oublier qu'il était adjoint de Fruteau durant des années et donc, il a contribuer à la couler. Facile aujourd'hui de se la jouer sauveur du monde avec l'argent du contribuable car l'argent donné par son seigneur, il vient d'où' De ma poche, de celles des contribuables d'autres communes de la Réunion et de celles des contribuables métropolitains. Vive la France et vive l'Outre-Mer. A vomir.

Que des seconds couteaux
Que des seconds couteaux
2 ans

Peut t on dire qu'il s'agit que des seconds couteaux cad des elues qui ne posent pas grand chose au niveau régional.

Smaug
Smaug
2 ans

Vous allez le payer cher,très cher..les réunionnais ne vont pas vous rater lors des présidentielles et législatives..

Bilbon
Bilbon
2 ans

En tout les cas Macron avait dit lu augmente la retraite des agriculteurs et lu la fé. Mi di bravo et merci M. Macron. Bravo au élus i soutien à lu

HULK
HULK
2 ans

Encore une belle brochette de personnages qui n'ont pas lu "le traître et le néant". Mais il doit y avoir quelques prébendes à grapiller par ci par là, on peut en être certains.

nirlo remis en liberté
nirlo remis en liberté
2 ans

Nirlo Bourricot ou fait rire à nous avec sept affaires derrière ou dont le détournement ds fonds publics, deux fois mis en garde à vue. Jamais le gal de Gaulle, s'il était encore vivant n'accepterait à ou dans son parti. Arrête de mentir et de prendre comme référence ce grand homme.

Julien D
Julien D
2 ans

Mon dieu que ces gens sont déconnectés de la réalité... ils vont se prendre une claque en regardant les résultats de la Réunion le 10 avril !

Ana
Ana
2 ans

5 ans de plus... une catastrophe pour notre pays. Tout mais pas lui

domtom
domtom
2 ans

https://www.mediapart.fr/journal/france/030322/cinq-ans-de-macron-mediapart-fait-le-bilan10 ans de malheur '

Quota de pêche et y change de camp
Quota de pêche et y change de camp
2 ans

Pecresse s'en souviendra.