Dans l'affaire des embauches familiales, Sandra Sinimalé, fille de l'ancien maire de Saint-Paul, a été condamnée à 3 ans de prison. Elle écope aussi d'une peine de 10 ans d'inéligibilité. La Cour d'appel confirme donc le jugement rendu en novembre dernier. (Photo rb/www.ipreunion.com)
En novembre, l'ancien maire de Saint-Paul, Joseph Sinimalé et sa fille Sandra avaient été condamnés à trois ans de prison avec sursis et à dix ans d'inéligibilité par le tribunal correctionnel de Saint-Denis ce jeudi 5 novembre 2020. Eric Madouré, le gendre de l'ancien maire de Saint-Paul et compagnon de Sandra Sinimalé a écopé de trois années d'emprisonnement avec sursis. Ils doivent tous payer une amende de 10.000 euros.
Ces condamnations avaient été prononcées dans le cadre d'une affaire de détournement de fonds publics, prise illégale d'intérêts et recel.
- Le rappel des faits -
Selon les grifs reprochés, les faits remontent à fin 2014, début 2015. Élu maire quelques mois auparavant, Joseph Sinimalé, 77 ans, aurait embauché Eric Madouré, le compagnon de sa fille au sein de son cabinet moyennant d'importants émoluments et lui aurait fait bénéficier de coûteuses formations.
Sandra Sinimalé, élue sur la liste de son père, était en charge de la gestion du personnel communal lorsque l’embauche d'Eric Madouré a été faite. C'est à ce titre qu'elle a été poursuivie.
Lire aussi : Fin de garde à vue pour Joseph Sinimalé et sa fille
Lire aussi : Saint-Paul : l'ex-maire Joseph Sinamalé et sa fille jugés en octobre
www.ipreunion.com / redac@ipreunion.com
Ban politichien i rent zamé la zol rienk sursis à nou ti malerè fai un nafer koma ou ral 5 ans la zol
Avec son casier judiciaire, peut-elle encore travailler dans la fonction publique. Attention deux poids deux mesures, la loi s'applique à tout fonctionnaire. Les syndicats sont là pour faire appliquer le règlement en vigueur, n'est-ce pas '
La region l'a embauché n'est ce pas ' Encore une proche du robert qui est condamnée ... Life is dangerous
Elle ne va donc pas aller en prison mais vivre avec un bracelet électronique. Un moindre mal... et du coup une justice plutôt clémente