
Le chef de l'Etat a ajouté : "être citoyen, c'est avoir des droits et des devoirs, et ce sont d'abord des devoirs. Le concept de liberté (...) s'arrête là où la liberté de l'autre est entravée, là où la vie de l'autre peut être en danger". Malgré la polémique déclenchée par ses propos envers les personnes non vaccinées, Emmanuel Macron assume : "c'était une volonté de tirer la sonnette d'alarme".
"J'assume totalement": Emmanuel Macron réagit à ses propos controversés sur les non-vaccinés pic.twitter.com/h0EFnAg10Q
— BFMTV (@BFMTV) January 7, 2022
Le Président justifie également sa sortie dans Le Parisien comme étant issue d'un "entretien de deux heures" et dont certains extraits ont été "sélectionnés", et non pas le résultats de "déclarations "officielles".
Il ajoute : "la totalité des gens avec qui je parlais était indignée à l'égard de nos compatriotes qui ne veulent pas se faire vacciner. J'avais face à moi deux soignantes qui me disaient : nous on pense qu'il ne faut plus soigner les personnes qui ne sont pas vaccinées quand elles arrivent aux urgences. De là où je suis, je ne peux pas être préoccupé par cela."
Concernant le terme "emmerder", qui a fait réagir l'ensemble de la sphère politique et choqué les internautes : "on peut s'émouvoir sur des formes d'expression qui paraissent familières, que j'assume totalement. Moi je m'émeus de la situation dans laquelle nous sommes. La vraie fracture du pays est là." Les non vaccinés "non seulement mettent en danger la vie des autres mais ils restreignent les libertés des autres."
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