[LIVE - PHOTOS/VIDEO] Présidentielle aux Etats-Unis

Le démocrate Joe Biden aux portes de la Maison Blanche

  • Publié le 5 novembre 2020 à 06:09
  • Actualisé le 5 novembre 2020 à 06:51

Pour la première fois depuis 2000, les Américains se sont réveillés mercredi sans savoir le nom de leur prochain président après un vote à la participation record et dont le dépouillement se poursuivait dans sept Etats-clés. Ce mercredi matin le candidat démocrate Joe Biden était aux portes de la Maison Blanche avec 264 grands électeurs contre 214 au Président sortant, le républicain Donald Trump. Ce dernier 'est engagé de son côté dans une véritable guérilla judiciaire. Ses lieutenants ont commencé à répandre des rumeurs sur les réseaux sociaux et les ondes sur des tricheries et des irrégularités. Imaz Press est en direct toute la journée, suivez-nous (Photo AFP)

  • Les Bourses mondiales sourient à l'hypothèse Biden à la Maison Blanche

    Les Bourses mondiales montaient jeudi au moment où le démocrate Joe Biden se rapprochait de la Maison Blanche, même si le scrutin extrêmement serré face à Donald Trump n'était pas encore définitivement scellé.

    L'Europe se réveillait de bonne humeur: Paris gagnait 1,08%, Francfort 1,26%, Londres 0,37% et Milan 1,47% peu après l'ouverture, vers 9H25 (8H25 GMT). Peu auparavant, les Bourses asiatiques ont nettement progressé à la clôture.

    A Tokyo, l'indice vedette Nikkei a pris 1,73% marquant un plus haut annuel et son premier retour au-delà du cap symbolique des 24.000 points depuis janvier. L'indice élargi Topix a gagné 1,39%. En Chine, l'indice composite de Shanghai a pris 1,30% et celui de Shenzhen 1,67%, tandis qu'à Hong Kong, l'indice Hang Seng a bondi de 3,25%.

    Le pétrole reculait pour sa part: le baril new-yorkais de WTI pour livraison en décembre perdait 0,84% à 38,82 dollars et le baril londonien de Brent pour livraison en janvier 0,75% à 40,92 dollars. Les investisseurs s'accommodaient de la perspective d'un pouvoir fragmenté aux Etats-Unis ces prochaines années, entre une Chambre des représentants à majorité démocrate et un Sénat sous contrôle des républicains, avec donc, potentiellement, un chef de l'Etat démocrate.

    Une telle situation "va rendre difficile de modifier en profondeur la taxation des entreprises et la réglementation dans les nouvelles technologies", comme souhaitent le faire les démocrates, a commenté Juichi Wako, stratégiste chez Nomura Securities.

    C'est notamment ce qui a permis au secteur technologique américain d'enregistrer des gains impressionnants mercredi, notamment Alphabet et Facebook. Jeudi, les contrats à terme sur les indices boursiers américains affichaient encore une nette hausse, portés par l'indice Nasdaq.

  • À mesure que les résultats tombent d'État en État, la conseillère spirituelle de Donald Trump, Paula White, a fait une prière pour le moins enflammée, caractéristique des évangéliques.

     

     

  • 160 millions d'électeurs ont voté : un record

    Jamais autant d'Américains n'avaient participé à l'élection présidentielle: 160 millions d'électeurs ont voté, soit une participation estimée à 66,9%, contre 59,2% en 2016, selon le US Elections Project.

    Jamais les Américains ne s'étaient autant mobilisés.

    "Nombre d'Etats ont été débordés par le déluge de bulletins envoyés par correspondance, encouragés en raison de la crise sanitaire. Ouvrir les enveloppes et scanner ces bulletins va prendre dans certaines villes plusieurs jours, en particulier à Philadelphie, fief démocrate" note lefigaro.fr.

  • Dans plusieurs villes comme à Boston, dans le Massachusetts, des manifestants se sont rassemblés pour demander la prise en compte de chaque bulletin de vote

     

  • Le décompte des bulletins ira à son terme, déclare le gouverneur de Pennsylvanie

    Le gouverneur de Pennsylvanie Tom Wolf a tenu une conférence presse pour réaffirmer que chaque vote sera compté dans son Etat.

    "C'est nous qui décidons quand le dernier bulletin sera compté. "Je vais me battre pour que le vote de chaque habitant de Pennsylvanie soit compté", a-t-il décalré. Il a également qualifié de "honteuse" l'action en justice intentée par Donald Trump contre son Etat pour obtenir l'arrêt des opérations de dépouillement.

     

  • Donald Trump en pleine offensive judiciaire

    L'équipe de campagne du républicain a entamé une offensive judiciaire. Les républicains veulent demander un recomptage des suffrages dans le Wisconsin, remporté par Joe Biden avec un écart de moins de 1% et ont demandé à un juge local de réexaminer les bulletins déjà comptés.

    Ils ont également déposé un recours pour obtenir la suspension du dépouillement dans l'Etat-clé de Pennsylvanie, à l'issue toujours incertaine. "Nous agissons en justice pour suspendre le dépouillement en attendant plus de transparence", a indiqué Bill Stepien, directeur de campagne de Donald Trump.

    Le président lui-même avait menacé dans la nuit de mardi à mercredi, dans une allocution confuse, de saisir la Cour suprême, tout en restant évasif sur les motifs.

    Le système électoral américain est par ailleurs fragilisé par une persistante campagne de désinformation. Les lieutenants de Trump commençaient à répandre des rumeurs sur les réseaux sociaux et les ondes sur des tricheries et des irrégularités.

    Twitter et Facebook ont émis une mise en garde contre des publications de Donald Trump accusant les démocrates de "voler" l'élection ou proclamant une" grosse victoire" à venir.

  • Joe Biden veut être le président de tous les Américains

    Une fois le résultat connu, il sera temps "de mettre les discours agressifs de la campagne derrière nous", a déclaré Joe Bidne dans un pays profondément divisé.

    "Pour avancer, nous devons arrêter de traiter nos opposants comme des ennemis. Nous ne sommes pas des ennemis", a-t)il souligné avant de lancer une des phrases qu'il a martelées durant des mois: "Je fais campagne en tant que démocrate mais je gouvernerai comme un président américain."

    "Il est particulièrement important à mes yeux que nous ayons remporté une majorité des (voix des) Américains", a-t-il poursuivi, même si remporter le vote populaire n'est pas gage de victoire aux Etats-Unis.

     

  • Joe Biden confiant

    Le candidat démocrate à la Maison Blanche Joe Biden s'est dit convaincu mercredi de remporter la présidentielle américaine

    Les Américains ne seront "pas réduits au silence", a proclamé Joe Biden lors d'une déclaration dans son fief de Wilmington, dans le Delaware. "Il est évident que nous sommes en train de gagner assez d'Etats pour remporter les 270 votes de grands électeurs" a affirmé l'ex-bras droit de Barack Obama.

    "Je ne suis pas venu vous dire que nous avons gagné", a nuancé Joe Biden, 77 ans, lors de sa brève déclarations. "Mais je suis venu vous dire que lorsque le dépouillement sera terminé, nous pensons que nous allons gagner", a-t-il ajouté, sa colistière Kamala Harris se tenant à ses côtés sur la scène, masquée.

    "Toutes les voix doivent être comptées", a exhorté Joe Biden, alors que le républicain Donald Trump a lancé une offensive judiciaire, notamment pour suspendre le dépouillement en Pennsylvanie.

  • Un peu d'humour

    Allez, on ne résiste pas à l'envie de nous déposer là cette vidéo. Un peu d'humour ne fait jamais de mal (surout en ces temps troublés)

     

  • Donald Trump le perturbateur

    Sans aucune retenue Donlad Trump a vociféré qu'il se lancerait dans "une guerilla juridique". Tempêtant contre de supposées fraudes, non prouvées, il réclame un recompage des voix. Cette attitude de perturbateur agace même chez les républicains. La menace du président de saisir la justice choque. "Stop. Les bulletins seront comptés et soit vous perdrez, soit vous gagnerez. Et l'Amérique l'acceptera.

    La patience est une vertu", a tweeté le parlementaire républicain Adam Kinzinger. "Nous ne savons pas encore qui a gagné l'élection présidentielle", a déclaré le chef de la majorité sénatoriale, Mitch McConnell.

  • Biden veut rejoindre l'accord de Paris sur le climat

    Bien que les résultats officiels de l'élection présidentielle américaine ne sont pas encore communiqués, Joe Biden est confiant. Il a indiqué que 'une de ses premières décisions une fois aux commandes dans le bureau ovale serait de rejoindre l'accord de Paris sur le climat, dont les États-Unis sont officiellement sortis mercredi.

    Joe Biden s'engage à cela dans un tweet publié ce jeudi matin (mercredi soir heure de La Réunion)

     

  • Joe Biden: 64 grands électeurs - Donald Trump : 214

    Chaque Etat attribue un certain nombre de grands électeurs. Avec ceux déjà déterminés, Joe Biden compte actuellement 264 grands électeurs et Donald Trump 214. Il en faut 270 pour accéder à la Maison Blanche.

    L'AFP fait le point sur les Etats où le décompte des voix était encore en cours

    • Alaska
    Les trois grands électeurs n'ont pas encore été attribués, mais aucun démocrate ne s'y est imposé depuis des décennies et l'issue du scrutin n'y fait aucun doute.

    • Géorgie
    16 grands électeurs en jeu. 94% des votes ont été comptabilisés dans cet Etat du Sud-Est qui vote traditionnellement républicain. Donald Trump y fait la course en tête depuis mardi soir, mais son avance s'est réduite au fil de la journée mercredi et les médias américains prédisent un score extrêmement serré.

    Le président sortant est à l'heure actuelle crédité de 50% des voix, contre 48,8% pour son adversaire démocrate Joe Biden. Les autorités locales ont dit être en mesure de boucler le dépouillement dans la nuit.

    • Nevada
    6 grands électeurs en jeu. 86% des votes ont été comptabilisés dans cet Etat désertique de l'Ouest, qui avait choisi Hillary Clinton en 2016. Joe Biden y pointe pour l'instant en tête, avec 49,3%, contre 48,7% pour Donald Trump. Les autorités locales ont fait savoir dans un premier temps mercredi matin qu'elles ne diffuseraient pas de nouveaux résultats d'ici jeudi.

    Avant d'annoncer sur Twitter qu'elles communiqueraient finalement de nouveaux chiffres dès mercredi soir, "en raison d'un intérêt marqué pour le vote du Nevada". Le résultat final, qui pourrait ouvrir pour de bon à Joe Biden les portes de la Maison Blanche, ne devrait cependant pas être connu avant jeudi matin.

    • Pennsylvanie
    20 grands électeurs en jeu. 86% des votes ont été comptabilisés dans cet Etat industriel de la "ceinture de la rouille" du Nord-Est, où les deux candidats ont âprement fait campagne. Donald Trump y comptait toujours une avance relativement confortable mercredi soir (51,4% contre 47,3% pour Joe Biden), mais selon les médias américains, le décompte des nombreux votes par correspondance devrait faire sensiblement remonter le candidat démocrate, natif de Pennsylvanie. Les autorités locales espèrent être en mesure de terminer le dépouillement d'ici vendredi.

    • Caroline du Nord
    15 grands électeurs en jeu.
    95% des votes ont été comptabilisés dans cet Etat du Sud-Est, traditionnellement républicain. Avantage pour l'heure à Donald Trump (50,1%) sur Joe Biden (48,6%), mais les votes par correspondance envoyés au plus tard le jour de l'élection - le 3 novembre - y sont acceptés jusqu'au 12 novembre.

  • Bonjour La Réunion

    Les Etats-Unis ne connaissent toujours pas le nom de leur 46ème président !

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À propos

264 grands électeurs pour Joe Biden, 214 pour Donald Trump

Avec le Wisconsin et le Michigan en poche, deuxième et troisième Etats repris à Donald Trump avec l'Arizona, Joe Biden dispose ce jeudi matin (heure de La Réunion) de 264 grands électeurs contre 214 àpour Donald Trump. S'il remportait le Nevada (6) il atteindrait le nombre magique de 270 pour être élu président des Etats-Unis. "Je ne suis pas venu vous dire que nous avons gagné. Je suis venu vous dire que, quand le dépouillement sera terminé, nous pensons que nous allons gagner", a-t-il déclaré lors d'une brève allocution.

Pour la première fois depuis 2000, les Américains ne connaissaient pas le nom de leur prochain président (qui prêtera serment le 20 janvier 2021) au lendemain du scrutin.

L'équipe de campagne du républicain a annoncé une première offensive judiciaire, dans le Wisconsin, remporté par Joe Biden avec un écart de moins de 1% selon des résultats quasi-complets, selon plusieurs médias américains.

Les républicains veulent demander un recomptage des suffrages et ont demandé à un juge local de réexaminer les bulletins déjà comptés. Ils ont également déposé un recours pour obtenir la suspension du dépouillement dans l'Etat-clé de Pennsylvanie, à l'issue toujours incertaine. "Nous agissons en justice pour suspendre le dépouillement en attendant plus de transparence", a indiqué Bill Stepien, le directeur de campagne de M. Trump.

- Allocution confuse de Donald Trump -

Le président lui-même avait menacé dans la nuit de mardi à mercredi, dans une allocution confuse, de saisir la Cour suprême, tout en restant évasif sur les motifs. Le système électoral américain est par ailleurs fragilisé par une persistante campagne de désinformation. Ses lieutenants commençaient à répandre des rumeurs sur les réseaux sociaux et les ondes sur des tricheries et des irrégularités.

L'Organisation sur la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE) a critiqué mercredi les "allégations infondées" du président américain sur l'élection. "Notre démocratie est mise à l'épreuve dans cette élection", a déclaré de son côté le gouverneur de Pennsylvanie, Tom Wolf, appelant à la patience.

L'issue finale pourrait toutefois se dessiner prochainement, peut-être jeudi ou vendredi, dans deux Etats-clés: Pennsylvanie et Nevada.

Au terme d'une longue campagne d'une virulence exceptionnelle, perturbée par la pandémie, les résultats partiels montrent du reste que le dirigeant républicain n'a pas subi la répudiation électorale que les sondages présageaient, prouvant que même s'il était battu, sa base d'électeurs lui reste largement fidèle. Le milliardaire a dénoncé un ratage d'ampleur "historique" chez les sondeurs. "Hier soir j'avais une bonne avance, dans de nombreux Etats-clés", a tweeté Donald Trump mercredi matin. "Puis, un par un, ils ont commencé à disparaître magiquement avec l'apparition et le comptage de bulletins surprise."

Il n'y a pas de bulletins surprise démontrés, mais des bulletins envoyés par courrier et traités lentement par les autorités. Ils viennent majoritairement d'électeurs démocrates, ce qui explique qu'ils aient fait fondre l'avance initiale du président, dont les électeurs ont privilégié le vote en personne mardi. "Nous ne nous accorderons aucun répit jusqu'à ce que chaque bulletin de vote soit compté", a tweeté l'ancien vice-président de Barack Obama. Sa directrice de campagne s'est dite certaine des réserves de voix dans les bulletins restants. "Joe Biden est bien parti pour remporter cette élection, et il sera le prochain président des Etats-Unis", a déclaré Jennifer O'Malley Dillon.

L'équipe Biden a mis au défi Donald Trump de saisir la Cour suprême, jugeant invraisemblable d'exclure des voix simplement parce qu'elles n'ont pas été comptées le jour de l'élection.

- Etats débordés -

Jamais autant d'Américains n'avaient participé à l'élection présidentielle depuis que les femmes ont le droit de vote: 160 millions d'électeurs ont voté, soit une participation estimée à 66,9%, contre 59,2% en 2016, selon le US Elections Project.

Nombre d'Etats ont été débordés par le déluge de bulletins envoyés par correspondance, encouragés en raison de la crise sanitaire. Ouvrir les enveloppes et scanner ces bulletins va prendre dans certaines villes plusieurs jours, en particulier à Philadelphie, fief démocrate. Et si la justice s'en mêlait, comme en 2000, "cela pourrait durer des semaines", a dit mercredi à l'AFP Ed Foley, spécialiste du droit électoral à l'Ohio State University.

- Etats en suspens -

Même chez les républicains, la menace du président de saisir la justice choquait. "Stop. Les bulletins seront comptés et soit vous perdrez, soit vous gagnerez. Et l'Amérique l'acceptera. La patience est une vertu", a tweeté le parlementaire républicain Adam Kinzinger. "Nous ne savons pas encore qui a gagné l'élection présidentielle", a déclaré le chef de la majorité sénatoriale, Mitch McConnell.

Une certitude: la vague démocrate "bleue" n'a pas eu lieu. Mais le chemin de Donald Trump pour décrocher un second mandat reste étroit: il doit remporter l'essentiel des Etats-clés qui restent en suspens.

Dans le système américain, le président est élu au suffrage universel indirect: les électeurs désignent, Etat par Etat, des grands électeurs. Un candidat doit obtenir au moins 270 des 538 grands électeurs.

En Pennsylvanie (20 grands électeurs), Donald Trump avait mercredi plus de 300.000 voix d'avance au total, mais son avance pourrait fondre après la prise en compte de bulletins envoyés par courrier. Ceux déjà comptés étaient à 78% pour Joe Biden.

C'est notamment dans cet Etat que M. Trump voudrait faire intervenir la Cour suprême. Ses avocats, dont Rudy Giuliani, étaient mercredi en route pour Philadelphie. En amont du scrutin, la Cour avait déjà été saisie par les républicains locaux pour empêcher le décompte des bulletins postés avant mardi soir mais qui arriveraient dans les trois jours suivant l'élection.

La haute juridiction avait refusé de se prononcer en urgence mais, si le résultat est serré, elle devra examiner le fond du dossier et dire s'il faut invalider ou non les bulletins arrivés entre mercredi et vendredi.

Quoi qu'il arrive, le prochain président devra composer avec le Congrès. Comme cela était largement anticipé, les démocrates ont gardé le contrôle de la Chambre des représentants, mais les chances d'un basculement du Sénat du côté démocrate s'amenuisaient, après la réélection de plusieurs républicains.

www.ipreunion.com avec l'AFP

Retrouvez notre live de la première journée d'élection sur ce lien

www.ipreunion.com avec l'AFP

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3 Commentaires
Mayaqui, depuis son mobile
Mayaqui, depuis son mobile
3 ans

Mégalomane et psychopathe .... un danger public cet homme !
Il est cap d'appuyer sur le bouton de la mallette pour nous faire tous sauter (heureusement il existe un secrétaire de La Défense et le président des états majors !) ....

Missouk
Missouk
3 ans

Que cet abruti mégalo se fasse battre ne serait que justice. Que la justice de son pays lui colle un sérieux redressement fiscal au regard des multiples années d'impôts non ou trop payés, et que le judiciaire s'occupe sérieusement des multiples plaintes pour harcèlement moral, physique et sexuel. L'Amérique a besoin d'un vrai démocrate pour redresser son image intérieure et extérieure. Pas sûr que BIDEN soit à la hauteur, mais dans tous les cas, il fera bien mieux que TRUMP !

Christian
Christian
3 ans

Hier matin, mercredi 4 novembre, le résultat semblait plié en faveur de Trump. Ce matin, on reprend espoir d'une Amérique un peu plus humaine (mais une Amérique probablement encore plus fracturée) grâce à la dynamique des votes par correspondance à l'avantage de Biden. Comme le souligne un média, "Biden has multiple paths to victory and Trump's road is narrow".