
S’y ajoutent particulièrement les services de l’État, l’ARS, le Conseil Départemental, le Conseil Régional, les maires, les associations, les privés… qui se sont mobilisés pour coordonner des actions afin de faire émerger des solutions locales en matière de masques, de gel hydroalcoolique, tests mais aussi les formules d’hébergements de quarantaine dans le cadre de la prévention de lutte contre l’épidémie.
Mais, au moment, où l’état d’urgence sanitaire ne va pas prendre fin avec le déconfinement programmé à partir du 11 mai. Cette transition semble très délicate après huit semaines "d’assignation à résidence", un casse-tête pour la réouverture des écoles et la polémique enfle encore plus sur les masques en nombre et gratuits pour tous. A l’instant même où le gouvernement lui-même a infléchi sa position en annonçant la fabrication de masques "alternatifs", autres que médicaux. Alors, on peut s’interroger sur les initiatives des intercommunalités de la Réunion.
Pourquoi ce long silence de nos intercommunalités et vont-elles réagir à présent en distribuant gratuitement des masques alternatifs à toute la population ?
Quelles sont les mesures d’aide économique, sociale et culturelle possibles au sein des intercommunalités ?
Bref pour agir face virus, les intercommunalités ne doivent-elles pas être aussi en première ligne pour agir et pour faire face à ce grand défi qui nous attend ?
Jean Claude Comorassamy
Saint-Leu
2 Commentaire(s)
Avec le temps tout va !
A nous de nous démerder, comme d'hab !