
Connaissant sa passion à la matière et à fond son sujet, puisqu’il était président sortant mais aussi qu’il a presque grandi " dan’ la kour l’asile " étant enfant. Il habitait en face et à quelques mètres de l’établissement. Mais encore sa maman y avait travaillé comme infirmière durant une quarantaine d’années. Ce qui montre toujours son grand attachement et son grand dévouement à se battre pour proposer à la population une offre de soin en santé mentale accessible, diversifiée et de qualité.
Pas simplement, quand on observe les intérêts qu’il a toujours défendu et quand on parcoure la conclusion finale de la Chambre Régionale des Comptes (CRC), qui salue la " bonne gestion de l’EPSMR, l’optimisation des organisations ", la mise en œuvre en totalité de loi dite " Sauvadet " qui réduit la précarité du personnel à un niveau à peu près à 15% environ alors que l’hexagone 30 voire 35%, au vu de la stratégie claire sur les choix et priorités axés sur la prise en charge des patients à travers le projet d’établissement qu’il a soutenu et accompagné par le biais des rencontres ARS, Ministères….etc. Le vote à l’unanimité hier, valide le travail qu’il a accompli avec son équipe, c’est surtout une juste reconnaissance de son investissement d’une grande cause : la santé mentale.
Cependant, espérons que la crise sanitaire ne vienne pas perturber les financements des investissements prévus au programme 2021-2022 dont la santé mentale a grandement besoin.
Jean Claude Comorassamy
Votre avis nous intéresse, soyez le premier à vous exprimer !