Qu'est censé faire, selon vous, un médecin qui, s'appliquant (ainsi qu'il en a le devoir) à mettre à jour ses connaissances afin de traiter au mieux ses patients, découvre dans la littérature scientifique des résultats de recherches expérimentales qui font état d'effets significatifs de la vitamine C, de la vitamine D comme du Zinc dans l'atténuation du COVID-19 et l'évitement de ses formes graves ? (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
La réponse va de soi : son code de déontologie lui faisant obligation d’" apporter son concours… en vue de la protection de la santé et de l’éducation sanitaire " (article 12), il en informe ses collègues !
Le problème est qu’il se retrouvera alors poursuivi par le Conseil de l’Ordre qui, chose absolument incroyable mais vraie, lui reprochera de prôner l’utilisation de la vitamine C, de la vitamine D et du Zinc comme traitement préventif de la COVID-19.
En des temps où la traditionnelle soumission du corps médical au pouvoir en place nous rappelle les heures les plus sombres de l’Histoire, aucun homme de bonne volonté et de bon sens ne saurait rester indifférent à ce qui apparaît comme une iniquité sans nom.
L’injustice étant ici de mettre en accusation celui qui s’efforce de satisfaire à ses obligations alors qu’on pourrait penser que même les instances représentatives de la profession ne les ont pas respectées, et c’est un euphémisme.
En effet, combien de médecins sont montés au créneau pour dire qu’on ne pouvait raisonnablement, moralement et déontologiquement renoncer à traiter les malades du COVID en leur demandant simplement d’attendre le moment d’aller à l’hôpital si les choses devaient s’aggraver (vous vous souvenez, le fameux 4D du début de la pandémie : Domicile, Doliprane, Dodo, Décès) ?
Plus actuel : combien de conseils de l’Ordre de médecins vont se plaindre et de demander des poursuites contre ceux qui, comme le Pr. Pawlotsky du CHU de Créteil qu’on a pu entendre hier matin sur Réunion la 1ere (journal de 7h, entre 5’ et 6’16"), évoquent d’ores et déjà une troisième piqûre d’un vaccin quel qu’il soit, en affirmant péremptoirement, sans aucune preuve expérimentale et sans prêter l’oreille aux recommandations de prudence émises par l’OMS, que n’importe quel vaccin pourra servir de rappel à n’importe quel autre, ceci devant contribuer à " rebooster la protection immunitaire " ?
Les tests cliniques de rappel ayant démarré depuis peu, aucun résultat de recherche n’est actuellement disponible pour attester de la sécurité d’une pratique aussi peu orthodoxe et, pour tout dire, jamais vue. La situation est, en effet, totalement inouïe, les vaccins appelés à se succéder chez un même patient étant encore tous expérimentaux puisqu’à ma connaissance, aucun n’a officiellement achevé son protocole de validation.
En conséquence, il apparaît évident que nous baignons actuellement dans une farce technoscientifique avec la caution silencieuse du corps médical et loin qu’elles contribuent au respect du code de déontologie, ses instances représentatives se piquent de poursuivre celui qui, justement, agit en conformité avec ledit code puisqu’il contribue à la diffusion des bonnes pratiques au service des patients et non pas celui de la technoscience à but lucratif.
Ce médecin consciencieux, engagé et courageux est le Dr Bruno Bourgeon. Il mérite notre soutien citoyen plein et entier.
C’est pourquoi, si, vous qui lisez ce texte, êtes le président du Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins, je vous demande d’entendre le présent message : renoncez aux poursuites engagées à l’encontre du Dr Bourgeon et vous vous honorerez de mettre un terme à une démarche non seulement erronée mais inique car traduisant un inacceptable deux poids deux mesures.
Si vous n’êtes pas le président du CDOM, alors je vous invite :
à lui écrire à l’adresse reunion@974.medecin.fr en vous appropriant ce texte s’il correspond à votre manière de voir les choses ou en lui exprimant directement votre façon de penser et
à faire circuler votre courrier afin de favoriser l’issue heureuse que nous espérons tous.
Il est grand temps que la médecine reprenne un visage humain et se tienne au serment d’Hippocrate afin de répondre réellement aux besoins d’une population considérablement plus affectée par le (mal)traitement de la pandémie que par le virus lui-même !
Luc-Laurent Salvador avec le soutien du collectif Réveil Citoyen Covid-19
Rien à redire sur le fond et la forme de cet appel à soutenir massivement ce courageux Docteur Bourg..., qui a et ose en premier lieu, comme à peu près tous les "avant-gardistes", de ne pas subir les injonctions douteuses, comme c'est le cas pour le "Remdesivir et autres nouveautés ". Injonctions de plus ne faisant que la part belle aux "directives et analyses de la Big Pharma". Dans la foulée il ne reste plus qu'à interner et condamner aussi une des gloires de la France , le Professeur Montagnier, prix Nobel pour la qualité de ses recherches, qui ose dire haut et fort : attention on ne peut pas imposer le "vaccin ARNm", car par manque de recul est insuffisamment testé, pour justifier de l'efficacité. D'ailleurs les 25 % de personnes atteintes par des effets secondaires et les 0.00099% de décès constatés après vaccinations, devraient suffire à prôner la prudence. A moins qu'après la déconfiture vaccinale de 2009, par suite qu'une majorité de médecins s'est opposée à la vaccination de masse de la population, l'urgence sanitaire aurait-elle été décrétée, pour palier à cet inconvénient des clairvoyants de terrain' En 2009, combien de millions de vaccins ont été inutilisés' Fort de l'expérience passé, ne plus occasionner de perte en C.A., pour les industriels intéressés, ne serait-ce pas là aussi le véritable enjeu, d'autant que pour les effets secondaires liés au produit inoculé, il n'y a aucun recours possible ''' Les "variants " quasi nouveautés pour le grand public, depuis l'existence des pandémies, n'auraient-ils pas bon dos ' Il ne semble pas que " la grippe Espagnole " pandémie de 1919 après avoir fait un détour macabre par notre Ile, ait laissée après son départ un quelconque "variant" '