
"Le ministre Véran a expliqué à la tribune qu’il n’y était personnellement pas favorable. Le gouvernement doit entendre cette unanimité de l'Assemblée nationale et s'engager dans la voie de la reconnaissance institutionnelle de l'endométriose. Le combat continue" a réagi Clémentine Autain après le vote à l'unanimité des député.es. A noter qu'une résolution n'a pas de valeur contraignante et marque uniquement l'expression d'un souhait des parlementaires.
Le ministre Véran a expliqué à la tribune qu’il n’y était personnellement pas favorable. Le gouvernement doit entendre cette unanimité de l'Assemblée nationale et s'engager dans la voie de la reconnaissance institutionnelle de l'endométriose. Le combat continue. https://t.co/0l4arrevGz
— Clémentine Autain (@Clem_Autain) January 13, 2022
Pour rappel, l'endométriose touche plus de 10% des femmes dans le monde. A La Réunion, les femmes atteintes par cette maladie sont plus nombreuses qu'en Métropole. Pour autant, certaines femmes attendent plusieurs années avant d'être diagnostiquées et recevoir le traitement adapté.
Maladie chronique, l'endométriose peut se déclarer très tôt chez les jeunes filles et provoquer de fortes douleurs, des troubles de l'estomac ou de la vessie. Et si l'endométriose peut se traiter par des anti-inflammatoires, la maladie peut dans certains cas conduire à des opérations lourdes telles qu'une ablation des ovaires voire de l'utérus. On ne guérit jamais de l'endométriose.
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