" Vous allez payer car vous avez insulté le Prophète "

Charlie Hebdo : le récit glaçant de l'horreur

  • Publié le 8 janvier 2015 à 17:34

Le récit des événements fait froid dans le dos. Le monde.fr raconte dans le détail comment s'est déroulée cette matinée du mercredi 7 janvier 2015 dans les locaux de la rédaction parisienne de Charlie Hebdo. La conférence de rédaction qui commence à 10h30 " et s'anime rapidement à la faveur de quelques blagues grivoises. Et puis près d'une est le premier visé, " puis ils ont égrené les noms des membres de la rédaction, et ont fait feu en rafales ", écrit le site du Monde. Ils ont alors crié " Allahou Akbar " et " Vous allez payer car vous avez insulté le prophète ". Après Charb mais aussi Frédéric Boisseau (agent d'entretien), Cabu, Tignous, Wolinski, Bernard Maris, Honoré, Elsa Cayat (psychanaliste et chroniqueuse), Mustapha Ourrad (correcteur), Franck Brinsolaro (un des policiers assurant la sécurité de Charb), Michel Renaud (invité par la rédaction) et Ahmed Merabet (policier) tomberont sous les balles des assaillants.

" Ils étaient tous là, ou presque. Comme tous les mercredis. Réunis entre chouquettes et croissants autour de la grande table ovale qui occupe toute la pièce pour la conférence de rédaction. " Ainsi débute l’article du monde.fr, comme une journée normale dans la vie de Charlie Hebdo, avant que l’hebdomadaire et la France entière ne bascule dans l’horreur.

La suite de ce récit glaçant est à lire sur le site du Monde.

 


Charlie Hebdo : qui sont les tueurs présumés ? par lemondefr

guest
1 Commentaires
hachemi
hachemi
9 ans

l insulte n est pas une liberte d expression mahomet est plus aimee que le musulman lui meme insulte mahomet c est insulte tous les musulmans et aucun musulman n accepte une insulte car c est de la violence et c est une agression la liberte d expression c est de trouver des failles ds le coran et essayer de convaicre et c est une chose que personne n arrive a faire c est pour ca qu on s attaque a la personne elle meme l arme du faible c est la violence