Globice recrute chaque année de nouveaux bénévoles pour compléter ses équipes de volontaires. Qu'il s'agisse de collecte de données en mer, de sensibilisation et de médiation scientifique vers le grand public ou encore d'appui à la gestion de l'association, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. La campagne est ouverte ! Nous partageons avec vous le communiqué de l'association. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Les chiffres ne sont pas définitifs, et la saison pas officiellement terminée, mais il y aura de toute façon beaucoup moins de baleines à bosse que l'an passé. Pour cette saison 2019 Globice dénombre 59 individus photo-identifiés. L'année dernière, à la même période, on en comptait déjà plus de 250... Parmi les différences notables, trois fois moins de couples mère-baleineau, quasiment pas de joutes entre mâles, et un changement comportemental observé chez les cétacés. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Presque 5 jours après avoir été taggée, la baleine Ousanousava file vers Sainte-Marie à Madagascar. L'association Globice (groupe locale d'observation et d'identification des cétacés) a posé une balise Argos sur cette femelle, afin de suivre son déplacement et mieux étudier les migrations des baleines.
C'est un fait : on voit très peu de baleines en ce moment... La saison 2019 aura été beaucoup moins riche que les deux années précédentes. Si certains clubs de plongée estiment que la saison est déjà terminée, Globice tempère : il est encore trop tôt pour le dire et techniquement, on croise encore quelques baleines dans l'océan. Preuve en est avec la pose d'une balise Argos sur l'une d'entre elles ce mardi 3 septembre. Certes il est compliqué d'apercevoir les cétacés depuis environ deux semaines, mais qui sait... elles peuvent toujours revenir et ce jusqu'en octobre. Rien n'est impossible. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Globice Réunion débute le samedi 31 août 2019, l'opération MIROMEN II (Migration Routes of Megaptera novaeangliae). C'est la seconde campagne scientifique de suivi satellitaire de 15 baleines à bosse présentes le long des côtes de la Réunion. Dans le cadre de ces actions de pose de balises, extrêmement délicates, le bateau sera amené à se rapprocher des baleines à bosse et donc à déroger aux distances d'approche réglementaires. Tout sera mis en oeuvre pour limiter le stress causé aux animaux. Ces manoeuvres seront réalisées en étroite collaboration avec la Brigade Nature Océan Indien (BNOI), garante de l'application des protocoles prévus.
C'est une information que Globice donne sur sa page Facebook : une chaîne de Podcast appelée "Les sons de l'hydrophone" voit le jour "afin de donner la parole à ceux qui s'investissent dans la connaissance et la préservation des cétacés". Le premier épisode est déjà disponible, il parle de MIROMEN II, un programme scientifique de pose de balises Argos sur 15 baleines à bosse. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
La saison des baleines a débuté en juin pour s'achever au mois d'octobre 2019. Les baleines à bosse parcourent près de 5000 kilomètres afin de venir se reproduire dans les eaux chaudes situées au large de nos côtes. La présence de baleineaux est probable durant cette période. Alors où les observer depuis la terre ferme? On vous dévoile quelques pistes... (Photo : rb/www.ipreunion.com)
Neuf ans après, la baleine à bosse Elen revient nous voir à La Réunion. C'est une annonce de l'association Globice (Groupe local d'observation et d'identification des cétacés). Il s'agit de la première recapture de l'année. Cela signifie que c'est la première fois durant cette saison des baleines 2019 qu'une baleine déjà venue à La Réunion et déjà photo-identifiée est repérée à nouveau dans les mers réunionnaises. La photo-identification est le fait de répertorier les baleines et de les nommer, grâce à la photographie de leur caudale.
Une jeune baleine de près de 13 mètres de long s'est échouée sur une plage de Penmarc'h (Finistère), après être décédée en mer, a-t-on appris mardi auprès de l'Observatoire Pelagis.
Dans le cadre de son programme de photo-identification, Globice (Groupe local d'observation et d'identification des cétacés) invite les observateurs de baleines à envoyer leurs plus beaux clichés. Mais attention, l'identification a des règles bien précises. En effet, il faut photographier la caudale de l'animal. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
L'association Globice (Groupe Local d'Observation et d'identification des Cétacés) a fait une sacrée sortie en mer ce lundi 29 juillet 2019. Les baleines, encore un peu timides pour cette nouvelle saison, ont réalisé un vrai ballet dans les eaux de La Réunion. Des sauts spectaculaires immortalisés par l'association. On vous partage ces belles photos, qui donnent envie d'y croire : les baleines sont bel et bien là, il suffit d'un peu de patience ! (Photos : Facebook Globice)
Mais où sont passées les baleines ? Certes on peut en apercevoir de temps à autre mais rien à voir avec l'année dernière, ni même l'année d'avant. Attention, ne comparons pas avec 2017 et 2018, prévient Globice, (Groupe local d'observation et d'identification des cétacés), car ces deux dernières années étaient exceptionnelles. On revient finalement à une saison plus classique avec une dizaine de caudales seulement observées pour l'instant par l'association. Mais que les amoureux des baleines se rassurent, la saison peut, malgré sa baisse d'affluence, remonter en fin d'hiver austral. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Deux stagiaires chez Globice ont analysé les chants des baleines qui longent les côtes de La Réunion. Grâce à des hydrophones, ils ont détecté et décortiqué les sons des géantes des mers et compris que le cétacé répétait une même phrase pendant plusieurs minutes, comme un thème. Un même chant de baleine peut durer jusqu'à 20 minutes et peut être répété pendant plusieurs jours, tel un tube. Après avoir étudié en détails les chants des cétacés en 2018, Globice se prépare à tendre le micro pour enregistrer ceux que les baleines nous préparent pour cet hiver. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Les morts accidentelles de baleines continuent dans nos mers. Une nouvelle étude, relayée par nos confrères canadiens de La Presse, révèle que dans les 16 dernières années, plus de la moitié des baleines tuées dans l'Atlantique Nord l'ont été à cause de filets de pêche ou de collisions avec des bateaux. Dans les mers réunionnaises, plusieurs incidents ont déjà eu lieu l'année dernière. Sans parler de mort pour autant, entre Méréva la baleine agressive ou le baleineau dont le dos a été lacéré par un bateau, l'année 2018 a aussi montré que l'impact de l'homme pouvait être dangereux pour le bien-être de ces géantes des mers.
L'association Globice (Groupe local d'Observation et d'Identification des cétacés) a organisé des opérations de sensibilisation à La Saline les Bains sur les mammifères marins. Un point avec les scolaires à Trou d'eau.