Depuis le vendredi 5 mars, le traditionnel marché forain de Saint-André a été réorganisé. Afin de respecter les gestes barrières liés à la crise Covid et notamment la distanciation sociale, le marché se déroule dorénavant sur deux jours, le vendredi et le dimanche matin de 5h à 12h. L'objectif est alors de répartir sur deux jours les 140 forains présents habituellement sur le marché afin de libérer de l'espace. Cette nouvelle organisation validé conjointement par la municipalité et les forains, a fait ses preuves vendredi 5 mars dernier où seulement 55 forains étaient présents sur l'esplanade de la salle des fêtes. Ce qui a permis aux consommateurs comme aux forains, de respecter les règles sanitaires en vigueur. Nous publions ci-dessous le communiqué de la mairie de Saint-André.( Photo rb/www.ipreunion.com)
Alors que le couvre-feu sera abaissé à 18 heures ce vendredi 5 mars 2021, des commerçants du Conseil du commerce et du service de La Réunion (CCSR) réclament la réouverture des centres commerciaux de plus de 20.000 mètres carrés. Les galeries commerciales sont en effet fermées depuis le 11 février dernier, pour faire face à la multiplication du nombre de cas de Covid-19. Le CCSR dénonce désormais une décision qui n'a eu aucun incidence sur la circulation du virus, et demande donc la réouverture des galeries, alors qu'une perte de 20 millions d'euros de chiffre d'affaire a été enregistrée. Il demande aussi un contrôle en temps réel et un affichage du nombres de personnes présentes dans les centres, et un renforcement du personnel dédié à la bonne mise en pratique des gestes barrières. Nous publions le communiqué complet ci-dessous (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Comme l'a annoncé le préfet ce mercredi 10 février 2021, les galeries commerciales de Duparc (Sainte-Marie), Sacré Coeur (Le Port) et Grand-Est (Sainte-Suzanne) sont fermées. Une mesure prise pour faire face à la reprise épidémique à La Réunion. Le taux d'incidence, 67,2 à La Réunion, a largement dépassé le seuil d'alerte national, qui est de 50 pour 100.000 habitants. Les centres commerciaux de plus de 20.000 mètres carrés sont donc contraints de tirer le rideau. A Duparc, les allées sont vides et les vendeurs s'organisent pour anticiper la fermeture de leurs boutiques pendant deux semaines. Seuls restent ouverts les commerces alimentaires. Reportage. (Photos rb/www.ipreunion.com)
À l'occasion de la Saint-Valentin et en raison des nouvelles restrictions sanitaires, le centre- ville de Saint-Paul ouvrira ses portes de 9h à 18h en journée continue "dans le but de mieux gérer l'affluence du centre-ville et ainsi préserver la sécurité de sa clientèle" annonce l'association des commerçants de Saint-Paul.
Bon nombre de distributeurs ont établi des ventes record cette année en matière d'engins pyrotechniques. Malgré un contexte social et économique fragile, pétards et autres feux d'artifice se sont en effet vendus comme des petits pains pour cette période de fêtes. Preuve de ce succès, certaines plateformes de distribution sont en rupture de stock (Photo : rb/www.ipreunion.com)
La Fédération française des associations des commerçants (FFAC) a tenu une conférence de presse, ce lundi 10 août 2020, pour présenter les raisons de la formation du collectif à La Réunion, les difficultés actuelles des commerçants et leurs demandes, ainsi que leur requête d'entretien avec le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu, lors de sa visite à la Réunion lundi prochain. Parmi leurs demandes se trouvent le gel immédiat de toute nouvelle implantation de grande surface sur le département, la possibilité de pratiquer le partage d'espace, ou encore la prolongation de l'aide de 1250 ? versé par le Régime Complémentaire des Indépendants pour mai et juin 2020. Nous publions le communiqué ci-dessous. (Photo FFAC)
Ce mardi 3 décembre 2019, l'affaire du travail dominical à Monsieur Bricolage a été plaidée devant la Cour d'appel. La décision sur ce dossier sera rendue le mardi 17 décembre. Il s'agira également de statuer sur le fond de l'affaire, ce qui devrait prendre 12 à 18 mois selon les avocats. Ce dossier oppose la direction de la SAS Sorebric (Société réunionnaise de bricolage) et la CGTR (confédération générale du travail de La Réunion). Au milieu, les salariés de l'entreprise, eux, souhaitent continuer à travailler le dimanche tandis que le syndicat s'appuie sur un arrêté préfectoral de 1966 qui interdit le travail dominical dans les commerces. En première instance, la CGTR a obtenu gain de cause, la direction de Monsieur Bricolage a donc fermé ses quatre magasins en partie ou toute la journée le dimanche mais les patrons du commerce espèrent que la décision rendue par le Cour d'appel jouera en leur faveur.
GIFI a choisi d'implanter son plus grand magasin de La Réunion dans la zone commerciale phare " Sacré-Coeur " de l'ouest de l'Ile. Il s'agit du 3ème point de vente GIFI en concession d'enseigne à La Réunion. Il est ouvert depuis le 28 août 2018.
Le président de la Chambre de commerce et d'industrie de La Réunion (CCIR) Ibrahim Patel a présenté ses voeux à la presse ce mardi matin 30 janvier 2018 au siège de la structure à Saint-Denis. L'occasion pour lui de dresser le bilan de l'année écoulée mais aussi d'annoncer l'investissement de 9 millions d'euros pour rénover le port de Saint-Gilles-les-Bains dont la Chambre garde la concession. (Photo RB/Imaz Press)
Les représentants du collectif Saint-Denis en colère participaient ce mardi 12 septembre 2017 en fin de journée à un comité de suivi à la mairie de la ville. Objectif : savoir si leur proposition, instruite par les services communaux, s'avère une solution viable ou non. Suite à la réunion organisée ce lundi soir, ils proposaient la réouverture de la circulation aux voitures dans le sens montant des rues Félix-Guyon et Maréchal-Leclerc. (Photo d'archives)
Des membres du collectif Saint-Denis en colère, composé de commerçants, d'artisans ou encore de riverains, vont manifester le lundi 11 septembre 2017 dans le chef-lieu. Ils réclament le retour à l'ancien plan de circulation. Le cortège partira de la Poste et défilera dans les rues Juliette-Dodu, Félix-Guyon et de Paris à partir de 10 heures. Les professionnels du commerce fermeront le rideau de leur enseigne durant la mobilisation. Une initiative annoncée par le collectif ce mercredi 6 septembre durant une conférence de presse. (Photo d'archives)
On pensait la folie des soldes rangée dans les armoires du passé... Mais il n'en est rien du côté du magasin Weldom de la commune du Port, grande surface dédiée au bricolage. Si une foule semblable est d'habitude visible à l'entrée des enseignes de vêtements, c'est bien pour la peinture, le bois, l'outillage ou le jardin sous le coup de la démarque que les clients se sont rués en masse, à peine les grilles de l'enseigne levées. Les images ont été publiées sur les réseaux sociaux ce dimanche 3 septembre 2017. (Vidéo : Mendelhsson Darencourt)
Le collectif Saint-Denis en colère poursuit sa série d'actions ce mercredi 30 août 2017. Au programme : distribution d'affiches et de pétitions afin demander l'abandon des nouveaux sens de circulation dans les rues Félix-Guyon et du Maréchal-Leclerc à Saint-Denis. Plusieurs commerçants assurent perdre du chiffre d'affaires depuis la modification effectuée par la municipalité début août.
Le collectif Saint-Denis en colère se constituait suite à l'arrêté municipal modifiant la circulation dans les rues Félix-Guyon et du Maréchal-Leclerc. Dans un communiqué envoyé aux rédactions ce lundi 28 août 2017, la structure appelle à la mobilisation collective contre ce changement. (Photo d'illustration)
Une réunion s'est tenue en mairie de Saint-Denis ce jeudi soir, 24 août 2017. Après avoir témoigné leur mécontentement par une pétition lancée sur le net, recueillant plus de 1.300 signatures, les commerçants du chef-lieu ont rencontré le maire de la ville Gilbert Annette, en présence de la Cinor, de la Sodiparc et des associations de commerçants. A leur côté, Ibrahim Patel, président de la chambre de commerce et d'industrie de La Réunion, initiateur de la rencontre. La chambre des métiers soutenait également les artisans concernés. Après deux heures de négociations, Gilbert Annette s'est montré ferme et ne songe pas à modifier la circulation sur l'axe préjudiciable.