Ce jeudi 2 janvier 2020, la Marine sri lankaise a fait le bilan de l'année écoulée au cours d'une conférence de presse. Il a, notamment, été question du trafic d'êtres humains qui gangrène le pays, en dix ans, 4763 personnes ont tenté d'émigrer illégalement. La Réunion a été au coeur de la conférence, en 2019, notre île est devenue la destination privilégiée des réseaux de trafics d'êtres humains, détrônant ainsi l'Australie. Il y a encore quelques jours, un navire qui tentait de rejoindre La Réunion a été intercepté. (photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Ce mercredi 6 novembre 2019, onze personnes ont été interceptées par les autorités sri lankaises alors qu'elles tentaient de venir illégalement La Réunion. Depuis que le gouvernement australien a fermé ses frontières en 2013, les passeurs ont développé une nouvelle route, la destination est à 4200 km de là : La Réunion. Six bateaux ont atteint nos côtes, cependant les tentatives pour rejoindre notre île continuent. Les autorités sri lankaises ont donc renforcé les contrôles et tentent de démanteler les réseaux (Photo archives rb/www.ipreunion.com)
Trois Indonésiens, passeurs présumés de migrants sri lankais, devaient être jugés en Cour d'appel à partir de 8 heures 30 ce jeudi 22 août 2019. Cependant, après une demande de renvoi, le procès se tiendra finalement le 12 septembre prochain. Il leur est reproché d'être les passeurs des migrants sri-lankais arrivés à La Réunion le 13 avril dernier et de participer à un vaste trafic d'êtres humains. Le 15 mai ils avaient été condamnés par le tribunal correctionnel à des peines de prison allant de 12 à 18 mois de prison ferme pour "aide à l'entrée ou au séjour irrégulier en bande organisée". Les avocats des trois hommes ont fait appel. Si la décision du tribunal correctionnel devait être confirmée, ce serait la première fois que des passeurs seraient condamnés à La Réunion depuis l'arrivée du premier bateau de migrants en octobre 2018. (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
Un nouveau bateau de migrants pourrait s'approcher de La Réunion, nos confrères de Clicanoo. Les autorités craindraient une arrivée dans les prochains jours, mais le bateau est "intraçable". Il serait parti du Sri-Lanka il y a une semaine environ. (Photo du dernier navire arrivé le 13 avril 2019 à Sainte-Rose rb/www.ipreunion.com)
Le jeudi 20 juin 2019 marquait la journée mondiale des migrants, dans un contexte tendu que ce soit à La Réunion, à Mayotte, en métropole, ou bien même en Europe. Entre vagues migratoires, misères sociales et tensions internes, nous nous retrouvons aujourd'hui au coeur d'une crise prête à exploser à tout moment sous un gouvernement qui ne semble pas prêt à prendre ses responsabilités. Un sujet terrible, rappelé encore une fois ce lundi 1er juillet avec la mort d'un jeune enfant, retrouvé sur une plage mahoraise (Photo rb/www.ipreunion.com)
Arrivés à Mayotte, le lundi 28 mai 2019, à bord d'une coque de noix, les 18 migrants sri-lankais ont demandé l'asile. Leurs demandes seront examinées par l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). Pour le moment, 15 hommes et 2 femmes sont hébergés au Centre Rétention Administrative (CRA) à Dzaoudzi. La seizième personne, identifié comme le capitaine du bateau fait l'objet d'une procédure judiciaire. Il est soupçonné d'être le passeur. (Photo DR/France Mayotte Matin)
Un bateau de migrants a débarqué ce matin, lundi 27 mai 2019, dans le sud de Mayotte à Bouéni. Il transportait 18 personnes, dont des femmes et des enfants. Elles ont été interpellées, remises à la Police aux frontières et placées en Centre de rétention administratif à Dzaoudzi (Petite-terre). D'après la Préfecture de l'île aux parfums, elles souhaiteraient demander l'asile. Selon le maire de Bouéni, Mouslim Abdourahaman elles seraient Sri-lankaisaise. D'autres sources estiment que le bateau viendrait d'Inde. C'est la première fois que des Sri-lankais accostent à Mayotte, jusqu'à présent ils naviguaient jusqu'à La Réunion. Six navires sont ainsi arrivés depuis mars 2018. Suivez-nous, nous sommes en live avec nos confrères de France Mayotte Matin (Photo DR/France Mayotte Matin)
C'est une première : trois hommes de nationalité indonésienne ont été condamnés ce ce mercredi 15 mai 2019 à des peines allant de de 12 mois à 18 mois de prison. Ils étaient poursuivis pour "aide à l'entrée ou au séjour irrégulier en bande organisée". Ils sont soupçonnés d'être les "passeurs" des migrants sri-lankais arrivés à La Réunion le 13 avril, et de participer à un vaste trafic d'êtres humains. Le bateau dans lequel ils se trouvaient transportait 120 migrants sri-lankais. La procureur avaitrequis de 12 mois à 18 mois mois d'emprisonnement contre les trois mis en cause.. Suivez-nous, nous sommes en direct du tribunal de Saint-Denis. (Photo rb/www.ipreunion.com)
Sortis de zone d'attente lundi 29 avril 2019, 19 migrants sont depuis hébergés dans l'ancien hôpital Gabriel Martin de Saint-Paul. Par faute de place. Le Centre d'hébergement d'urgence pour demandeurs d'asile (UDA) à Saint-Denis est plein, 42 personnes y logent déjà. Cette mesure devrait être temporaire. (Photo d'illustration : RB pour Imaz Press Réunion)
Après que soixante migrants aient été reconduits à la frontière à bord d'un avion d'Air Seychelles affrété par l'Etat français ce lundi 29 avril 2019 matin, les 26 migrants restants ont été autorisés, par la Cour d 'appel, à quitter la zone d'attente ce lundi 29 avril après-midi. Ce lundi matin, les soixante migrants étaient accompagnés par 62 personnels de la Police nationale et de la Gendarmerie nationale. Après un marathon judiciaire de plusieurs semaines, tous les recours ont été épuisés par leurs avocats. Sur les 123 personnes arrivées à Sainte-Rose le 13 avril dernier, 60 ont été admises sur le territoire pour déposer une demande d'asile en France et l'autre moitié a été reconduite à la frontière. Les trois membres d'équipage indonésiens ont, eux, été placés en détention provisoire, ils sont soupçonnés d'appartenir à un réseau de trafic d'êtres humains.
En treize mois, six bateaux de migrants sri-lankais sont arrivés à La Réunion. Loin des critiques, des insultes et des piques racistes qui fleurissent sur les réseaux sociaux, à la radio, et même dans la rue, des militants s'organisent. Parmi eux, Fabrice, fondateur d'Ansamb OI. Depuis plusieurs mois, il donne tout son temps et toute son énergie pour leur venir en aide. Dans un local à Saint-Denis, il accueille les demandeurs d'asile et récolte vêtement, nourriture, produit de première nécessité... Imaz Press est allé à sa rencontre. (Photo : RB/Imaz Press Réunion)
Les juges des libertés et de la détention ont ordonné ce vendredi après-midi 26 avril 2019 le maintien en zone d'attente des 80 migrants sri-lankais. Ils resteront donc confinés dans le gymnase de Duparc (Sainte-Marie) où ils se trouvent depuis leur arrivée à La Réunion le 13 avril dernier. Contrairement à ce qu'ils avaient décidé la semaine dernier, les JLD ont cette fois estimé que les règles de procédure pour leur placement en rétention ont été respectées. La possibilité d'une reconduction hors de La Réunion des migrants se précisent de plus en pous.
Les audiences au Tribunal administratif des 90 migrants Sri-Lankais arrivés à Sainte-Rose le 13 avril 2019 et toujours confinés en zone d'attente, se poursuivent ce jeudi 25 avril 2019. Ils ont déposé un recours, contestant la décision de l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) qui a rejeté leur demande de droit d'asile. Depuis mardi, ils passent par groupe de 15 ou de 16 devant le juge. Mercredi, les requêtes de 16 personnes ont été rejetées. La juridiction administrative a estimé elle aussi que leur demande n'était pas justifiée. Mardi, ils étaient 16 également a avoir été reconduits en zone d'attente au gymnase de Duparc à Sainte-Marie, un homme seulement a vu sa demande acceptée. (Photo rb/www.ipreunion.com)
90 migrants sri lankais comparaissent devant le tribunal administratif (TA) à partir de ce mardi 23 avril 2019 et jusqu'au vendredi 26 avril 2019. Regroupant 17 personnes, 16 dossiers sont examinés ce mardi. Les migrants ont déposé un recours, contestant la décision de l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) qui a rejeté leur demande de droit d'asile.Pour rappel 90 des 120 les migrants arrivés à Sainte-Rose le 13 avril 2019, pour obtenir l'asile en France sont toujours enfermés en zone d'attente dans le gymnase Duparc à Sainte-Marie (Photo RB/www.ipreunion.com)
Vendredi 19 avril 2019, la plupart d'entre eux étaient toujours confinés en zone d'attente, dans le gymnase de Duparc à Sainte-Marie. Un peu plus d'une dizaine ont obtenu l'autorisation d'entrer sur le territoire pour déposer une demande d'asile en préfecture. Résumé en plusieurs points des différentes étapes judiciaires et administratives. (Photo : RB/Imaz Press Réunion)