[LIVE - PHOTOS - VIDÉOS] Ils vont y passer la nuit

Après l'opération escargot, les transporteurs s'installent à Champ Fleuri

  • Publié le 29 juillet 2020 à 16:38
  • Actualisé le 29 juillet 2020 à 17:40

Après huit jours de mobilisation, les transporteurs sont fixés sur leur sort ce mercredi 29 juillet 2020. Le tribunal judiciaire a tranché en faveur du Conseil régional, les transporteurs doivent quitter les abords de l'hôtel de Région, où ils sont postés depuis le 21 juillet. C'est ce que réclamait le président de la collectivité Didier Robert, qui avait assigné les transporteurs en justice pour obtenir la fin du blocage. Les transporteurs ont assuré que la mobilisation continuait malgré tout, et que la grève se poursuivrait ailleurs. Lors de l'audience de cette assignation en justice par la Région, l'avocat des transporteurs, Maître Olivier Tamil, a dénoncé "l'instrumentalisation politique" de cette affaire. Par le biais de son avocate, Maître Aurore Doulouma, la Région, a quant à elle demandé le départ immédiat des transporteurs assorti d'une astreinte de 2.000 euros par heure de blocage. Le juge a fait droit aux demandes de la Région. Suivez notre live. (Photos rb/www.ipreunion.com)

Nos journalistes sont devant la Région pour suivre la réaction des transporteurs suite à la décision du tribunal :

  • Après l'opération escargot, les transporteurs s'installent sur le parking de Champ Fleuri. Ils vont y passer la nuit

  • La circulation est désormais de nouveau fluide en direction de l'ouest

  • Fluidification vers l'ouest, bouchon vers le nord

    La circulation se fluidifie dans l'ouest, on compte 4 km de ralentissements jusqu'à La Possession, en fin de Route du Littoral.

    Dans l'autre sens par contre on compte 6 km de bouchon puisque les transporteurs sont repartis dans l'autre sens. L'embouteillage est cependant plutôt roulant.

  • Les transporteurs sont sortis au rond-point des pêcheurs, à La Possession.

    Ils pourraient faire demi-tour vers Saint-Denis.

  • Gros bouchon de 10 km sur la Route du Littoral

    Les ralentissements se sont transformés en véritable embouteillage sur la Route du Littoral. On compte désormais 10 km de bouchon vers l'ouest, jusqu'à Ravine à Malheur.

    Selon le CRGT, cet embouteillage est du au quasi arrêt de 25-30 mn effectué au niveau de la Grande Chaloupe.

    Les poids lourds roulent bien sur les deux voies.

  • La pluie commence à tomber sur la Route du Littoral.

    Les transporteurs gardent le même rythme très lent sur la Route du Littoral.

    Dans le sens inverse certains automobilistes font signe de leur soutien en klaxonnant. D'autres semblent excéder par ce convoi.

  • 6 km de ralentissements vers l'ouest

    L'opération escargot provoque quelques ralentissements, qui s'étalent sur environ 6 km, du début de la Route du Littoral jusqu'à la Ravine à Jacque (entre le Cap Bernard et la Grande Chaloupe), selon le Centre réunionnais de gestion du trafic.

  • La circulation est quasiment à l'arrêt sur le Barachois :

  • Les transporteurs se dirigent en opération escargot vers la Route du Littoral :

  • Opération escargot des transporteurs vers le Barachois

    L'avant du convoi roule autour de 30 km/h sur les deux voies

     

  • Les transporteurs quittent la Région en convoi, suivez notre live :

  • L'huissier est sur place pour leur notifier leur obligation de quitter la Région, suivez notre live :

  • Pour Jean-Bernard Caroupaye, la décision de durcir le mouvement n'est pas actée. Les transporteurs doivent d'abord se mettre d'accord entre eux selon lui.

    Didier Hoareau parle de durcir le mouvement "avec intelligence" de son côté.

  • Rangement des chapiteaux et démarrage des camions, après plus d'une semaine de blocage, les transporteurs quittent la Région :

  • Les poids lourds se mettent en route et quittent dès maintenant l'hôtel de Région

    Les transporteurs commencent à tout ranger :

  • "Une décision exécutoire"

    Maître Olivier Tamil dit ne pas comprendre cette décision. Cette décision est exécutoire et donc immédiate. L'huissier de justice n'est pas encore là, mais les transporteurs quittent dès maintenant pour éviter de payer toute astreinte, qui devait être de 2.000 euros par heure de blocage.

    Le recours est possible mais transporteurs et avocat doivent se concerter d'abord.

    Une "petite action" est prévue sur la route a annoncé Didier Hoareau. Le mouvement continue et risque de se durcir. Leur prochaine destination n'est pas communiquée.

     

  • Le tribunal a donné une astreinte de 2.000 euros par heure de présence maintenue devant la Région à partir de la signification du jugement.

    Pour le moment les transporteurs n'ont donc rien à payer.

    Maître Aurore Doulouma, avocate de la Région, avait en effet demandé le départ immédiat des transporteurs assorti d'une astreinte de 2.000 euros par heure de blocage.

    Etant donné que les transporteurs quittent les lieux, ils ne payent pas d'astreinte.

  • "On va continuer la grève ailleurs" assurent les transporteurs

    "On va partir mais il faudra que tous comprennent qu'on ne va pas arrêter la grève, on va la continuer ailleurs" déclare Didier Hoareau. "On risque de bloquer les gens, c'est dommage. Mais on ne va pas se désolidariser pour autant."

    Concernant l'amende réclamée par heure de blocage, les transporteurs estiment que cela doit encore être discuté avec le huissier.

    "On a peut-être perdu une bataille, mais pas la guerre" déclare Joël Mongin. La décision du juge leut paraît "incompréhensible", "il y a une justice à deux vitesses" estime Didier Hoareau.

  • Suivez notre live, nous sommes devant la Région pour écouter les premières réactions des transporteurs suite à la décision du tribunal :

  • La décision est tombée : les transporteurs doivent quitter l'hôtel de Région

  • Les transporteurs continuent d'attendre

  • Partiront, partiront pas ? Les transporteurs attendent la décision du tribunal

    Regardez :

  • La décision attendue d'ici une grosse demi-heure

    Selon l'avocat des transporteurs, Maître Olivier Tamil, la décision devrait tomber d'ici "une demi-heure, une heure".

    "Nous attendons, moi je suis à mon cabinet, on nous a dit qu'une décision serait annoncée dans la matinée" explique-t-il à Imaz Press au téléphone.

  • Bonjour nous ouvrons ce live pour suivre ensemble la décision concernant le blocage des transporteurs devant la Région

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À propos

Dans le conflit qui oppose les transporteurs à la Région, ce mercredi 29 juillet 2020 est une date charnière. C’est aujourd’hui que les transporteurs, assignés en justice par la Région, sont fixés sur leur sort.

Le tribunal judiciaire va se prononcer sur l’autorisation ou non des professionnels du transport et leurs camions de rester aux abords de l'hôtel de Région.

Pour rappel, le président de Région refuse toujours de rencontrer les transporteurs pour discuter de l'avenir du chantier de la Nouvelle route du littoral (NRL). Il a fait savoir dans plusieurs communiqués qu'il n'accepterait pas de rencontre tant que les transporteurs seraient présents devant la Région.

Le président de Région a aussi affirmé, encore une fois par communiqué, que l'arrêt du chantier était uniquement imputable au groupement qu'il accuse de "mensonges" et de "manipulation".

- Une mobilisation au long cours -

Postés devant le siège dionysien de la Région, les transporteurs manifestent leur colère et demandent de rencontrer Didier Robert depuis mardi 21 juillet 2020, soit huit jours désormais.

Le président de Région fait toujours l’oreille sourde et ne s’exprime que par communiqués. Il a notamment indiqué ne vouloir "céder ni au chantage ni à la pression, ni à la désinformation opérés ces dernières semaines" et accusé les transporteurs d'être instrumentalisés par le groupement.

Lequel s'est défendu de toute pression auprès de la Région ou des transporteurs dans son propre communiqué, publié quatre jours après le début des protestations.

- L'impasse dont on ne voit pas l'issue -

Au coeur du contentieux : toujours le chantier de la digue de la NRL, aujourd’hui à l’arrêt faute de signature de l’ordre de service, et dont le marché pourrait bien être résilié.

En cas de résiliation du marché et de lancement d'un nouvel appel d'offres, "il ne se passera rien pendant 6 mois" a reconnu au cours d'une conférence de presse Dominique Fournel, vice-président de la Région, chargé des grands travaux. Six mois où le chantier serait à l'arrêt, et donc l'activité des transporteurs aussi. Une catastrophe, commentent ces derniers en soulignant que leur secteur d'activité est déjà à l'agonie.

Les profesionnels des transports accusent la Région de les abandonner, quand la Région, elle, tient le groupement comme responsable de l'arrêt des travaux.

Une réunion est prévue ce jeudi 30 juillet entre l'Etat, le conseil régional et le groupement. Aucun représentant des transporteurs n'a été convié à cette rencontre où il devrait être décidé de la poursuite ou non du chantier.

Avant cela, la décision du tribunal judiciaire de ce jour,donnera certainement le ton de la suite des la mobilisation des transporteurs. 

Retrouvez tous nos articles sur la mobilisation des transporteurs :

• Assignés en justice par la Région, les transporteurs fixés sur leur sort mercredi matin

• La Région : "l'arrêt du chantier est de l'entière responsabilité du groupement"

 Sixième jour mobilisation des transporteurs : "nous nous sentons trahis par le président de Région"

• Le groupement "réfute les allégations de pressions sur la Région et d'instrumentalisation des transporteurs"

• Le vacancier Didier Robert ou l'art du "c'est la faute de tous les autres, pas de la mienne"

• Jour 3 : les transporteurs sont toujours devant la Région

• "La Région ne cèdera pas au chantage" prévient Didier Robert, les transporteurs préparent leur réponse

• Les transporteurs en colère vont passer la nuit devant la Région

• Les transporteurs sont "en guerre" : "on va sortir l'artillerie lourde"

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7 Commentaires
Jean de l'Est
Jean de l'Est
3 ans

La Réunion, ce n'est pas un département (ou encore plus grand l'écart avec n'importe quelle région administrative de l'Hexagone) comme les autres [le département de la Guyane et aussi de la Martinique (idem région) n'existent plus depuis le 1er janvier 2016, cela fait plus de 3 ans et demi! Le cas de Mayotte est un cas à part, même si officiellement c'est le 101ème...La Corse dispose d'un statut particulier depuis 1982, et depuis quelques temps les deux départements ont été simplement dissous.Passer un marché public ici, ou tout simplement acheter un produit qui vient du reste du monde, ce n'est pas comme passé un contrat en région Nouvelle Aquitaine, même en Guyane : c'est un pays continental, jouxtant un très grand pays qui s'appelle le Brésil (plus de 8,5 millions de km², dont 55 460 km² sont recouverts d'eau non salée), juste derrière la RPC et les USA (à peu près de la même taille => 9,629 & 9,6 environ : unité le million de carré faisant 1 km par 1 km).Certes, le drapeau français flotte bien sur les 2 512 km², il flotte également sur l'île de Clipperton (avec ses 465 000 km² de ZEE!), mais vous conviendrait volontiers que tout est limité ici (même si la Réunion est bien arrosée tous les ans et que l'on dispose aussi de 351 000 km² de zone de pêches rien que pour "nous"), notamment en termes de ressources naturelles (dont font partie l'eau (qui est ensuite traitée), l'espace (pour construire et planter), d'autant que l'on est en partie classée parc national (et non régional), donc identifié au patrimoine mondiale, la production d'électricité (cela ne peut pas se stocker comme le carburant de la SRPP ou le gaz butane dans des réservoirs domestiques (12,5 kg), etc.). C'est on ne peut plus vrai en ce qui concerne les matériaux entrant dans la construction d'ouvrages de bâtiment, de travaux publics et de génie civil (à part la base 181 et celle de Pierrefonds, on n'a pas vraiment de constructions de grande étendue classées dans le domaine militaire (les hectares de l'ex-OMEGA sont être bétonnés!), même pour la construction des casernes de gendarmerie la mairie fournit l'assiette foncière, etc. .Ainsi, pour faire du bon béton (et béton bitumineux: enrobés diverses granulométrie...), et notamment de superbes digues pour arrêter la mer, la houle de l'océan, il faut une quantité impressionnant de matériaux géotechniques (répondant au cahier des charges, etc.), et présentant donc des caractéristiques physiques et surtout mécaniques!!!C'est exactement le besoin (réponses techniques) de l'opération dénommée la NRL.Un marché public, c'est dit simplement faire une chose (fournitures courantes, services, PI, travaux, etc.), à ne pas confondre avec une concession, un affermage, une DSP (prise de risque...) à faire (livrer, bâtir, édifier, ériger, ...) dans un Temps donné. On peut prendre du retard (pas trop si possible!), ce n'est pas une maladie (ça n'arrive qu'au monde du vivant...), mais il y a des pénalités prévues et qui s'appliquent automatiquement...Les ouvrages doivent être conçus et exécutés dans les normes (et bien sÃ"r respect de l'ensemble des clauses du CC).Une fois achevée, l'opération (études-chantier/exé) doit être réceptionnée et être transférée au MOP (avec le départ de l'ensemble des garanties prévues: GPA, biennale, décennale). Tant que la réception n'a pas été prononcé, les ouvrages ne peuvent être la propriété du passeur de commande publique...Si (et seulement si) en cours de phase exécution, on tombe sur une sujétion totalement imprévue (et donc NON IMPUTABLE aux parties), il y a en général 2 signatures sur un contrat..., là cela fait l'objet d'une instruction très encadrée, et le cas échéant on passe un avenant au 1er contrat : mais celui-ci a force de contrat (comme le premier).Que s'est-il passé dans le cas de la NRL?Il me semble que le contrat initial est entaché d'une énorme irrégularité...qui en dit long sur les dessous de ce dossier extrêmement sensible. On ne pouvait (les 2 parties) ignorer le contexte local et surtout le manque de matériaux (avec les carrières autorisées officiellement) pour construire ces ouvrages (notamment la digue de 2,7 km).Les CT ne sont ni plus ni moins qu'un démembrement consenti de l'État (français), la région (comme n'importe quelle CL) travaille sous le contrÃ'le permanent des services de l'État! Le procureur doit également avoir les yeux grandes ouvertes : 365/365 & 24/24...et pas que pour les batailles de quartier...La région, à partir de mars 2010 aura modifié en profondeur le projet (passant de 2 fois 2 voies à 2 fois 3 voies: avec les transformations sur les piles, les contreventements, les fondations, etc.= à vrai dire c'est un tout autre ouvrage (comparé aux études menées avant 2010!).Cela coÃ"t plus cher, et cela demande plus de matériaux, sans compter que les besoins existent pour le bâtiment et toutes autres constructions privées...Les études de ce nouveau projet seront menées au pas de charge (car le mandat devait s'achever en mars 2014), un nouveau protocole viendra même cassé celui du 19 janvier 2007 (la signature de Villepin saute au profit de celle de F²), le 14/10/10 on est dans carrément le reset!En novembre 2013, les trois contrats sont signés sous les applaudissements (y compris ceux des terrassiers et transporteurs locaux: ils ont eu un morceau du gâteau confié au groupement multinational (français).L'exécutif régional est confiant et affiche ostensiblement cette confiance partout et notamment durant toute la période précédent le début de la campagne officielle du renouvellement de cette assemblée locale (comme partout ailleurs, mais on passe de 17 à 13 régions en Hexagone, des fusions qui auront retardé justement ces élections régionales).C'est comme ça que le président sortant aura reconduit une liste et qu'il gagnera son pari devant le peuple et surtout les électeurs (au second tour, sa liste franchira la barre des 50%, contrairement à la triangulaire de mars 2010).Donc, pendant les années 2016 à maintenant tout baignait comme prévu (enfin presque!!!).En effet, les procédures administratives pour ouvrir des carrières à La Réunion sont ce qu'elles sont, on va dire dans l'ère du temps [...], mais les études d'impacts ont en vérité été minorées entre 2010 et 2013, elles existent depuis 1976 en France..., les autorisations ne tombent pas comme on avait misé, parié, mais c'était évidemment joué au petit-bonheur la chance... parfois ça marche, parfois ça ne marche pas, manifestement...de toute façon, la société est bâti sur un rapport de force constant (et pas qu'en France et donc à La Réunion).Vous comprendrez aisément que ce dossier est tout sauf simple.C'est vrai qu'à la base l'esprit d'entreprendre repose sur la liberté (personne oblige personne à ouvrir un lycée à Saint-Philippe ou à Cilaos, personne ne force personne à acheter un hélicoptère et un yacht de 120 ml (Paul...), et c'est vrai aussi pour l'achat d'un 32 ou 19 ou 14 tonnes. Mais, à La Réunion, les affaires ne sont pas comme en région BFC (jouxtant la Suisse, ou bien en Occitanie (voisin de l'Espagne, donnant sur la Méditerranée...), avec 550 trains, 10 aéroports, 3 ports de commerce, 70 ports de plaisance... Grosso modo, si tu n'a pas un marché par-là tu finiras par l'avoir "par-là-bas"...Où se trouverait la juste jauge pour dire qu'un chef d'entreprise aura pris trop de risque en achetant (ou tout simplement en renouvelant sa flotte de MR) 2 ou 20 camions, et la parole donnée par un chef d'exécutif local dans le cadre du levier intrinsèquement contenu dans chaque marché passé ici. La commande publique a un poids considérable à La Réunion, ce n'est pas un secret...Donc, moi j'appelle ça tort partagé ou bien engagement (pas obligé que ce soit écrit) à respecter jusqu'au bout. Un agriculteur se suicide presque tous les jours en France (UE? Banques??). N'attendons pas que cela arrive chez nous (pour un patron pris à la gorge à cause de...).Après, je ne suis pas naïf, il y en a qui non seulement gagne très bien leur vie et profite même les petits transporteurs.Monsieur le préfet, Monsieur le procureur, Monsieur le ministre délégué, Monsieur le Jean, Le Jeune EM, prenez vos responsabilités maintenant avant que cette affaire se gâte encore plus avec des points de non-retour...la vie des familles concernées comptent, selon moi, le petit Jean (de l'Est).

Portoise
Portoise
3 ans

Didier, tes jours sont comptés au sein de la region. 2021, na une phrase i dit : fout deors. Comme pour les transporteurs, 2021 c ton tour

Wilfried
Wilfried
3 ans

L'incapable veut déplacer le problème vers le groupement car il a certainement honte du sitting des routiers - transporteurs donne enkor la passé surtout quand i ministre i arrive montre la décadence de cette demie route - montre le fiasco en live

KUNTA KINTé
KUNTA KINTé
3 ans

Les transporteurs n'ont rien gagner et restent têtus dans leurs stratégies à une école maternelle . A présent une main devant et l'autre derrière !!!2000 â"¬uros / heure ça fait réfléchir ....Le COVID-19 est passé par là , la trésorerie des transporteurs ont fondu comme neige au soleil depuis janvier 2020 . Le type de la pyramide inversée a toutes les cartes en main , il fait ce qu'il veut depuis le 1er jour après 8 jours passés devant les grilles de l'hÃ'tel de Région Pierre Lagourgue !!!Ce type est soutenu et bien conseillé par un petit CERCLE très privé .

tika
tika
3 ans

"On risque de bloquer les gens, c'est dommage. Mais on ne va pas se désolidariser pour autant."" il a pas compris que là s'ils bloquent les gens, on va foutre le feux ds leur camion?

Marie ange MVIEEE
Marie ange MVIEEE
3 ans

Ce robert partira sur et certain en mars 2021! Nous le chasserons de la region, bien comme il se doit et son équipe d'alimentaires..... à la recherche de postes et d'indemnités seulement.... population réunionnaise en colère

Les transporteurs ne feront les malins ce matin
Les transporteurs ne feront les malins ce matin
3 ans

Sans leurs camions sans leurs klaxons et sans les chauffeurs exploités , les transporteurs la joueront humbles ce matin.Bien qu'ils aient l'habitude de passer devant les juges comme tous les kairas de l'île Je leur souhaite une grosse amende